l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> Le Lien : association de défense des patients et des usagers de la santé

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Informations médicales sur leur site, et, si jamais cela, malheureusement, vous arrivait, une aide :

          " Le LIEN est une association de défense des patients et des usagers de la santé. Son cœur de mission est de défendre les victimes d’accidents médicaux.

         Son action s’exerce dans le cadre de la lutte contre les infections nosocomiales et les accidents médicaux, qu’il s’agisse d’erreurs, de fautes ou d’aléas.

          Le LIEN n’a qu’un seul parti pris, celui des patients et de leur sécurité et sa mission première est d’apporter une aide personnalisée aux victimes d’accidents médicaux et plus particulièrement aux victimes d’infections nosocomiales.
Sa seconde mission est une mission plus générale et plus politique, celle de défendre les intérêts des patients et de les représenter devant les différentes institutions de santé et autorités administratives pour promouvoir la sécurité des soins et la qualité de la prise en charge. (...)

>>> c'est par ici

 

💩 Europe : laisse les populations se gaver de cadmium pour que les actionnaires se goinfrent encore plus

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          Ça phosphore sur le phosphore, au ministère de l'Agriculture. La France est le premier utilisateur d'engrais phosphatés en Europe, à raison de plus de 400 000 tonnes par an. Un fertilisant bourré de phosphore dont raffolent les plantes, surtout les céréales et les pommes de terre. Sauf que cet engrais, qui assure de gros rendements a aussi un gros défaut : il est farci de cadmium. Ce métal lourd, classé cancérogène pour l'homme, vous dézingue, à haute dose, les reins, les os et l'appareil respiratoire. Une cochonnerie qui plombe les sols puis contamine toute la chaîne alimentaire, jusqu'à notre assiette.

          Dans son dernier numéro, « Que choisir » met les pieds dans le plat. Après avoir analysé la teneur en cadmium de 117 aliments courants, la revue a calculé qu'un adulte pouvait en une journée et trois repas dépasser de 136 % la dose maximale quotidienne ! Déjà, l'année dernière, Santé publique France avait tiré la sonnette d'alarme. Son étude menée sur près de 4 000 personnes avait révélé que les Français faisaient plus le plein de cadmium que tous leurs voisins européens, notamment les enfants : près de 15 % d'entre eux sont dans la zone à risque, à cause, entre autres, des céréales du petit déjeuner.


          Petit malaise à l'Agriculture, vu qu'a minima la moitié de cet assaisonnement en cadmium provient des engrais phosphates. Il faut dire que nos paysans ont la main leste, d'après une étude menée par l'Institut national de recherche en agronomie, ils en épandent 30 % de plus que nécessaire. Fait aggravant, ils s'approvisionnent quasi exclusivement dans les mines de phosphate du Maroc, à très haute teneur en cadmium. Ce qui donne des granulés plus charges que la moyenne européenne.

          Après dix-neuf ans de bataille avec les fabricants d'engrais et les syndicats agricoles, la Commission européenne a baissé d'à peine 30 % la quantité de cadmium maximale autorisée dans les fertilisants. Depuis cet été, il est interdit de commercialiser en Europe des engrais phosphatés dont la teneur dépassé 60 mg par kilo. Encore trop haut, selon les toxicologues.

          En 2019, notre Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) a recommandé de descendre à 20 mg par kg. Inacceptable pour l'Union des industries de la fertilisation et pour la FNSEA, le principal syndicat agricole, qui ont aussitôt brandi l’épouvantail d'une chute des rendements.


          Résultat : on attend toujours le décret promis par le ministère de l'Agriculture pour appliquer la recommandation de l'Anses. En attendant, mangeons du cadmium...

( extrait du Canard enchaîné n° 5314 du 14 septembre 2022 )

 

Encore un exemple, s'il le fallait, cette merde d'union européenne qui temporise et minore - en l'espèce accepte 3x plus que la limite recommandée ! - pour les plus grands bénéfices des actionnaires qui se goinfrent tout en sachant qu'ils rendent leurs populations malades !!!

 

💩 Europe : origine des viandes et protection du consommateur

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( extrait 60 millions de consommateurs n° 593 de septembre 2022 )

 

Cela confirme, s'il le fallait encore, que cette Union Européenne de merde est aux ordres des multinationales comme Lactalis qui va pouvoir vendre ce qu'elle veut comme elle veut ! Merci qui ?

> Wikipédia : " Le groupe Lactalis est le 1er acteur mondial des produits laitiers en 2020, et le 1er fromager mondial. C'est aussi le 1er groupe agroalimentaire français en 2019, et le 16e groupe agro-alimentaire mondial. (...)

Procès et condamnations judiciaires :
Fraude sur le lait (1969, 1993-1998, 2012, 2018)
Arrêt forcé d'un mouvement de grève (1982)
Abus de position dominante sur le Roquefort (2004)
Entente sur les prix (2015, 2019)
Interdiction éphémère de rediffusion d'une émission Envoyé spécial (2016-2017)
et,
Multiples violations du code de l'environnement et pollutions
et,
Lait infantile contaminé aux salmonelles (2017)
et,
Accusation de tromperie des consommateurs
Recyclage de fromages périmés
Critiques vis-à-vis de la rémunération des éleveurs, (...)

 

> cette étrange et récente surmortalité

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          Un précédent article (extrait ci-dessous) notait l’étrange épidémie de coïncidences qui agitait à la fois les services hospitaliers de cardiologie et quelques obscures revues scientifiques à faible tirage comme Nature, JAMA ou le British Medical Journal : un nombre statistiquement significatif de troubles cardiaques sont actuellement enregistrés alors même qu’une intéressante expérimentation vient de se produire à grande échelle, et le lien entre le premier et la seconde devient difficile à nier.


(...) Ainsi, une étude parue dans Nature (un obscur opuscule scientifique) montre une augmentation de 25% des événements cardiovasculaires d’urgence chez les 16-39 ans suivant les premières et secondes doses de vaccin. Stupéfiante coïncidence.

Ainsi, une autre étude semble montrer un taux de myocardites plus élevé chez les hommes de moins de 40 ans après deux ou trois doses de vaccin, et dans une proportion supérieure aux myocardites observées pour les hommes de la même tranche d’âge après un Covid.

Dans JAMA, on découvre que deux doses de Pfizer multiplieraient par 133 le risque de myocardite chez les jeunes de 12 à 15 ans par rapport à la valeur initiale. Le hasard fait écrire des choses étonnantes. (...)


          (...) dans tous les cas il apparaît que les pays occidentaux enregistrent tous actuellement une surmortalité statistiquement significative (de plus de 10% par rapport à la période précédent 2020).

          (...) la plus grande compagnie d’assurance maladie d’Allemagne, BKK, a récemment publié un communiqué basé sur ses données actuarielles qui montrent là encore une surmortalité inquiétante et elle conclut à une sous-déclaration importante des effets secondaires des vaccins.

          Plus récemment, c’est Lincoln National, une autre société d’assurance américaine, qui a fait état d’une augmentation de 163% des prestations de décès versées au titre de ses contrats d’assurance-vie collective en 2021. On pourra aussi, sans trop s’aventurer dans l’étrange, inclure le rapport d'activité de Reinsurance Group of America, qui montre des pertes importantes pour 2021…

          Devant ces éléments, les contorsions habituelles des fact-checkers et autres conformistes du narratif officiel vont devenir intéressantes à regarder. Pour les autres, il apparaît maintenant clairement que les campagnes de vaccination ont entraîné une surmortalité marquée observée dans la plupart des pays qui les ont pratiquées. Cette surmortalité est maintenant supérieure à la mortalité provoquée par le virus et ses variants.(...) - source -

 

Comme il est dit dans l'article c'est la suite dans le temps qui montrera les origines de cette surmortalité et " La réponse à cette question est primordiale puisqu’elle déterminera le tribut total que nous aurons à payer pour cette expérimentation hasardeuse."

Et, les stats de l'INSEE : " Sur la période allant du 1ᵉʳ juin au 31 décembre, le nombre de décès, qui était de 367 665 lors de la diffusion du 28 janvier 2022, est revu à la hausse pour s’établir à 368 446 à la date du 25 février 2022, soit une révision de + 0,2 %. La hausse du nombre de décès par rapport à la même période en 2019, qui était estimée à + 6,5 %, est révisée à + 6,7 %. Pour suivre l’évolution de la mortalité en 2021, l’Insee fait le choix de privilégier la comparaison avec l’année 2019, année sans épidémie Covid..." - source -

je penche plutôt sur la destruction de l'hôpital public qui entraine une inefficacité certaine donc un nombre de morts de tous âges plus important...

(...) " Officiellement, [ les urgences ] ce ne sont pas des fermetures, mais le barrage est tel et le reste de l’hôpital si exsangue que l’accès aux soins d’urgence, déjà fortement dégradé, est fondamentalement remis en cause. Et pour longtemps. Présenté comme solution temporaire pour faire face à un « été à haut risque », ce fonctionnement est en réalité l’occasion de ce « changement de paradigme » dont rêvent les gestionnaires publics. Les urgences hospitalières ont depuis longtemps été conçues comme dernier recours et manne d’actes rentables pour l’hôpital. Aujourd’hui que des lits ont été fermés dans tous les services et que les urgences s’en trouvent submergées, elles sont appelées à être réduites à peau de chagrin, quitte à amputer largement l’accès aux soins. Et le privé ne sera pas loin… La crise de l’hôpital, qu’ils ont eux-mêmes créée en organisant depuis des années un manque criant de personnel, et dont le Covid n’a été que le révélateur, est donc instrumentalisée pour achever la casse de l’hôpital public. (...) - source -

 

 

 

> carte Adonis d'utilisation des pesticides en France sur les surfaces agricoles

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          La carte Adonis a pour ambition de porter à la connaissance de tous les données communales sur l'usage des pesticides.

          Face aux enjeux environnementaux et de santé publique, il est nécessaire de construire une agriculture durable économe en intrants et respectueuse des ressources naturelles et d'assurer aux Français une alimentation de qualité pour réduire la prévalence des maladies chroniques.

          La valeur de l'indice de fréquence de traitements phytosanitaires (IFT) communal répond à deux finalités majeures : être utilisée à des fins de recherches scientifiques et servir de référence pour la définition et l'évaluation des politiques publiques nationales et européennes, dans des démarches de labellisation des exploitations agricoles et d'établissement de plans de progrès visant à réduire l'utilisation des produits phytosanitaires.

>>> c'est par ici

L'indice se rapporte aux seules surfaces agricoles de la commune, quelle que soit la part de la surface agricole du territoire communal. L'Indicateur de Fréquence de Traitement (IFT) correspond au nombre de doses de produits phytosanitaires appliquées par hectare pendant une campagne culturale. L'IFT communal correspond à la moyenne des IFT par culture. L'IFT total (hors biocontrôle) concerne tous les types de produits de synthèse (herbicides, insecticides, fongicides, traitements de semences, autres).

vous saurez pourquoi, vous ou vos enfants, avez des maladies chroniques ou pourquoi votre mère ou père sont morts d'un cancer. Curieusement mais certainement volontairement, la carte reste imprécise sur les traitements phytosanitaires déversés par chaque exploitation...

 

😷 et si on parlait de la pandémie et du covid ? (15 août 2022 )

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          On entend plus parler du Covid depuis pas mal de temps, ou plus exactement il semblerait qu' "on" ne veut plus informer les gens sur l'évolution de cette pandémie en France...

(...) depuis le 8 juin 2022, Santé publique France et Data.gouv ne fournissent plus d'actualisation des données les week-end et les jours fériés. Par ailleurs, depuis le 16 janvier 2022, la publication officielle du nombre total de cas confirmés depuis le début de l'épidémie (cumul total) est suspendue "en raison d'un allongement du délai de consolidation des données", précise Data.gouv. Le premier chiffre affiché ci-dessus n'est donc pas un chiffre officiel, mais provient d'un cumul réalisé par nos soins à partir des données non consolidées publiées quotidiennement via la base SI-DEP. Les réinfections sont comptabilisées comme des nouveaux cas.

Voici le nombre de cas de Covid-19, de décès, hospitalisations, de réanimations et de guérisons observés en plus ou en moins par rapport au précédent bilan (généralement la veille). Dernières données disponibles en France selon les bilans quotidiens de Santé publique France et de Data.gouv :

et sur l'évolution journalière de cette pandémie, le dernier jour indiqué est le 12 août 2022 :

- source -

un grand vide !!! il apparait clairement qu'"on" fait en sorte de ne surtout pas informer la population !!!

          Après recherches car on trouve difficilement des données compréhensibles pour le public (source), ce tableau récapitulatif perso fait à la main  :

          Du 5 au 11 août 2022 (7 jours), il y a eu quand même 175 351 nouveaux cas et 502 personnes décédés ! Sans oublier les 1047 patients en réanimation, les 17 524 hospitalisés et les 24 312 nouveaux cas confirmés du 11 août.

A part cela ? Tout va bien les gueux mais faites quand même attention, mettez vos masques...