l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Il n'est pas si facile de se taire quand le silence est un mensonge - Victor Hugo

> le glyphosate est immortel

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          COURAGE, FUYONS ! Vendredi 13, tous les pays de l’Union européenne étaient appelés à voter à propos du glyphosate. Fallait-il, comme le propose la Commission, autoriser de nouveau pendant dix ans cet herbicide tue-tout, pas cher, classé « cancérogène probable » par l’OMS, décrété pas nocif par l’Efsa et dont l’autorisation s’arrête le 15 décembre ?

          La France, qui, en 2017, avait voté contre (on se souvient qu’alors Macron avait promis d’en sortir dans les trois ans), ne cessait de tergiverser, expliquant sans convaincre qu’il fallait (en même temps) prolonger le glyphosate, mais, bon, sept années, pas plus, tout en procédant à quelques restrictions de-ci de-là. De leur côté, l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique et les Pays-Bas avaient annoncé qu’ils voteraient contre ou s’abstiendraient.

          Si la France votait pour, la prolongation était adoptée. Contre, elle était retoquée. Résultat : la France s’est courageusement abstenue. Voter contre l’autorisation, c’était fâcher sévèrement les agriculteurs. Voter contre, c’était se mettre les écolos et nombre de scientifiques à dos. S’abstenir, voilà qui permet de jouer les Ponce Pilate : on se lave les mains tout en étant sûr du résultat.

          En effet, les Vingt-Sept ayant échoué à s’entendre, la suite est connue. En novembre aura lieu un deuxième vote. Si celui-ci ne dégage de nouveau aucune majorité, la décision finale reviendra à la Commission - le gouvernement de l’Europe. Elle fera alors comme le gouvernement français le fait à l’aide d’un vulgaire 49.3 : elle décidera de la prolongation. En l’assortissant du bla-bla habituel (sous conditions, avec un usage raisonné, raisonnable, etc.). Chez Bayer-Monsanto, le champagne est au frais. Bientôt, encore dix ans de gagnés. " J.-L.P.

Si on se demandait où était l'arnaque, " la décision finale reviendra à la Commission " car les 27 ne seront pas d'accord, évidemment... Et l'on sait que les intérêts financiers passent avant tout dans cette union européenne de merde !

 

> le système européen d'échange de données personnelles...

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“Je reçois un recouvrement amiable pour non-paiement d’une autoroute italienne de 21 € en 2017. Faut-il payer, j’ai vendu ma voiture depuis ?”

Vous pouvez vous passer de régler, car le délai de recouvrement d’une amende en Italie est de 360 jours. Ici, il y a donc prescription. Faites le mort et ne contestez pas le PV sous peine de relancer le délai de recouvrement. En revanche, notez-le pour l’avenir : la mise en place progressive du système européen d’échange de données personnelles “Toll”, imposée par l’arrivée des premiers péages sans barrière (dits en flux libre), risque d’accélérer les procédures de recouvrement. Sachant que le fait de vendre le véhicule entre-temps ne vous exonérera en rien de devoir payer.

Vous résidez en France et vous avez commis une infraction à l'étranger ? Selon le pays et selon l'infraction, vous pouvez être poursuivi(e). Depuis la mise en application de la directive européenne 2019/520 en 2021, les pays membres de l'UE peuvent s’échanger des informations sur les conducteurs en cas de non-paiement de péages routiers > pour en savoir plus

> les textes européens de 2015 : CELEX 32015L0413 FR TXT.pdf et de 2019 : CELEX 32019L0520 FR TXT.pdf

Vous commencez à comprendre pourquoi toutes vos données personnelles, et autres qui vous sont attachés, seront enregistrés dans un système d'identification unique européen consultable dans n'importe quel pays de cette merde d'union européenne ( voire chez nos "amis" américains ),...

 

> logiciels espions : la Commission et le Conseil défaillants, selon Amnesty International

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          L’Union européenne est un sanctuaire pour les fabricants de logiciels espions à cause la défaillance du Conseil de l’UE et de la Commission européenne en matière de lutte réglementaire contre les exportations de ces logiciels et de technologies de surveillance, indique Amnesty International dans un rapport publié lundi (9 octobre).

          Le rapport, intitulé « Dans les mailles de Predator » (« The Predator Files : Caught in the Net »), plonge dans les « Predator Files ». Il a été publié jeudi (5 octobre) par le réseau de médias European Investigative Collaborations (EIC) et Amnesty International, et révèle l’inefficacité de l’UE en matière de réglementation du secteur des logiciels espions, notamment en ce qui concerne l’alliance Intellexa.

          Intellexa est « impliquée dans le développement et la commercialisation d’une large gamme de produits de surveillance, y compris des logiciels espions avancés, des plateformes de surveillance généralisée et des systèmes tactiques de ciblage et d’interception d’appareils à proximité », selon Amnesty International.

          Le rapport révèle qu’en France, des logiciels espions ont été exportés depuis une succursale de l’alliance Intellexa située aux Émirats arabes unis qui lui permet de contourner les mécanismes de contrôle aux exportations de l’UE, et que « des licences d’exportation de technologies de surveillance ont été accordées à des entités commerciales de l’alliance Intellexa en France ».

          « Le rapport révèle une fois de plus l’ampleur du problème. Les logiciels espions sont devenus une hydre, et l’Europe est leur refuge », a déclaré à Euractiv Sophie in ‘t Veld, eurodéputée néerlandaise du groupe Renew Europe, qui a dirigé l’enquête Pegasus, désormais close, au Parlement européen.

          Les enquêtes du Parlement européen et de sa commission d’enquête chargée de l’affaire Pegasus et des logiciels espions de surveillance équivalents (PEGA) ont démontré qu’Intellexa avait reçu l’autorisation de vendre des logiciels espions à Madagascar et au Soudan par le biais des autorités grecques.

► pour lire la suite...

> en Europe, les activistes climatiques subissent une pression de plus en plus importante

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          Les activistes climatiques sont soumis à une pression croissante en Europe, a confié Michel Forst, rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des défenseurs des droits humains, à Lusa, média partenaire d’Euractiv, lundi (2 octobre). Il a également exprimé sa surprise face à la violence avec laquelle ces derniers sont traités par certains gouvernements du continent.

          « Les défenseurs des droits de l’Homme dans leur ensemble sont confrontés à plusieurs défis et risques majeurs dans de nombreux pays, y compris en Europe, mais ceux qui paient actuellement le plus lourd tribut sont les défenseurs de l’environnement et les personnes qui tentent de défendre leurs terres et le climat », a expliqué M. Forst lors de l’entretien accordé à Lusa.

             M. Forst, qui est le premier à occuper le poste de rapporteur sur la situation des défenseurs des droits humains, était à Lisbonne pour participer à la conférence internationale de la plateforme des droits de l’Homme de la Fondation Gulbenkian. « Je ne comprends pas pourquoi, mais le fait est que de plus en plus de responsables politiques, dans de plus en plus de pays, comparent des manifestants pacifiques à des terroristes violents », a-t-il déclaré. Et d’ajouter qu’il observait ce phénomène « en Espagne, aux Pays-Bas, au Danemark, au Royaume-Uni, en Allemagne et en Suisse ».

          « J’ai fait le tour de plus de 20 pays de l’Union européenne pour rencontrer des militants et des gouvernements, les invitant à décrire l’atmosphère [dans laquelle ils opèrent] dans leur pays, et je peux vous assurer que la situation devient très, très, très tendue », a-t-il poursuivi, soulignant que des gouvernements comme ceux de la France ou de l’Autriche qualifient ces militants d’« éco-terroristes » ou de « talibans verts ».

Non-respect des obligations internationales

          M. Forst a également expliqué qu’il travaillait avec un groupe d’ONG « pour essayer de mieux comprendre ce qui se passe en Europe, afin de guider les gouvernements de l’UE sur la manière de répondre à la désobéissance civile ». En insistant sur le fait que la désobéissance civile est régie par le droit international des droits humains, il a indiqué avoir été alarmé lors de sa rencontre avec des juges espagnols, français et allemands et qu’il a constaté que ces derniers « ne comprenaient pas du tout » ce droit.

          « Les militants qui s’engagent dans la désobéissance civile ne devraient pas être pénalisés, mais dans la réalité, nous constatons que les juges et les gouvernements ne respectent pas les obligations internationales », a souligné le rapporteur. Son objectif est désormais de fournir des documents et des lignes directrices aux États afin qu’ils respectent mieux leurs obligations internationales.

          « Certains États ont été très réceptifs, comme l’Irlande et la Norvège, mais beaucoup d’autres ne l’ont pas été », a-t-il indiqué, citant l’exemple du Royaume-Uni et ajoutant que, dans certains cas, la police infiltre même des groupes afin de mieux contrôler les militants et leurs activités. « Nous avons maintenant la preuve que certains [défenseurs de l’environnement] ont été placés sous haute surveillance, que leurs téléphones ont été piratés et que leurs ordinateurs ont été mis sur écoute », a-t-il également affirmé. Pour M. Forst, les défenseurs de l’environnement ne sont pas différents de ceux qui luttent pour les droits humains, et ils doivent être mieux protégés. - source -

Étonné M. Forts ? Ce sont les maîtres réels de cette union européenne de merde qui trouvent tous les biais possibles pour détruire les démocraties et développent, en cela, des dictatures de plus en plus dures, car elles sont beaucoup plus favorables aux affaires,...

 

> La France a enregistré en 2022 son plus faible nombre de naissances depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale

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          Avec moins de 726 000 nouveau-nés l'an dernier, le recul entamé depuis le début des années 2010 se confirme. Il risque de s'aggraver encore en 2023, avec un fort repli déjà enregistré au premier semestre.

          La dégringolade s'accentue. Le nombre de naissances enregistré en France a atteint, en 2022, son niveau le plus bas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, a révélé, jeudi 28 septembre, l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). L'an dernier, 725 997 bébés sont nés dans le pays, soit un recul de 2,2% en un an. Ce repli vient confirmer une "tendance à la baisse" observée depuis une dizaine d'années, seulement marquée par un rebond ponctuel en 2021 expliqué par les "confinements et déconfinements dus à la crise sanitaire", selon l'Insee.

          Le recul des naissances en 2022 a été particulièrement prononcé durant la seconde moitié de l'année, note l'Insee. "Cette baisse se poursuit au début de l'année 2023", alerte l'organisme public, qui a enregistré un effondrement de 6,8% au premier semestre par rapport à la même période en 2022.

          Toutes les tranches d'âge des mères sont concernées par la baisse de la natalité l'an dernier, à l'exception des 40 ans et plus, toujours plus nombreuses à donner la vie (+3,3%). La plus forte diminution est constatée chez les mères de 30 à 34 ans (-3,6%) et plus globalement chez les 25-34 ans, "âges auxquels les femmes sont les plus fécondes", relève l'Insee. L'âge moyen des mères à la naissance s'établit désormais à 31,2 ans, contre 30,2 ans une décennie plus tôt. Les naissances hors mariage continuent de progresser, représentant 65% du total (contre 57% en 2012).

          A l'échelle régionale, le recul des naissances est notable dans le Grand Est (-3,2%) et en Bretagne (-3,1%), ainsi qu'en Guyane (-5%) et en Martinique (-3,7%). Seules la Corse (+0,8%) et Mayotte (+1,5%) affichent une évolution positive.

          Au plan international, notre pays reste malgré tout un bon élève en matière de natalité, souligne l'Insee. La baisse dans l'ensemble de l'Union européenne a été plus de deux fois plus forte qu'en France en 2022 (-4,9%), dépassant même les 10% en Estonie et en Grèce. Chez nos voisins, la baisse a été de 7,1% en Allemagne, 6,7% aux Pays-Bas, 3,6% en Belgique, 2,1% en Espagne et 1,9% en Italie. - source -

Excellente nouvelle ! Les français ont donc pris conscience qu'un futur enfant serait un futur esclave au sein d'une dictature vérolée... Et, s'il la France "reste un bon élève en matière de natalité", c'est simplement parce que, de plus en plus de gueux tombant dans la misère, les alloc. leur permettent de surnager ( quelques temps ) !

 

> appauvrissement des européens : le fiasco économique de l’UE

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          C’est une information un peu trop passée sous le radar : la grande divergence économique entre les États-Unis et l’Europe depuis 15 ans. Non pas que le modèle économique états-unien soit un modèle, il ne l’est pas. Mais il est de plus en clair que l’UE, loin d’apporter croissance et prospérité à ses membres, est un poids de plus en plus lourd pour nos économies, tant sont nombreux ses vices de formes.

L’UE, c’est l’appauvrissement, sauf pour les plus riches

          Avant l’intégration économique européenne apportée par le marché unique mis en place en 1992, dans les années 1980, les pays européens avaient une croissance économique plus forte que les États-Unis. Depuis, la croissance est plus forte de l’autre côté de l’Atlantique, et l’écart tend à s’accroître année après année. Et les chiffres sont assez incroyables : en 2008, alors que l’euro était à un sommet, le PIB de la zone euro était proche du PIB des États-Unis. Aujourd’hui, le PIB des USA est 80% plus important ! Et même si une part importante de la population des États-Unis s’est appauvrie en 20 ans, dans l’UE, c’est la population de pays représentant 89% du PIB de l’UE dont le niveau de vie a baissé. Le choc est particulièrement dur pour l’Europe du Sud, dont les salaires ont baissé depuis 2008, notamment en Grèce. Pour couronner le tout, dans la plupart des pays européens, le niveau de vie des ménages en 2022 reste inférieur au niveau de vie en 2019, alors qu’il a sensiblement progressé outre-Atlantique.

          Le pire, c’est que ces moyennes, comme la plupart des moyennes, sous-estiment l’ampleur de la crise et de la détresse économique de la population. En effet, la pointe des classes supérieures n’a pas vu cette crise. Depuis 15 ans, ses revenus continuent de progresser, fortement au sommet. Les patrons du CAC40, qui gagnaient 3,6 millions d’euros en 2008, ont touché une rémunération de 7,9 millions en 2022, et ont entrainé les cadres dirigeants, et une partie des cadres supérieurs dans leur course au sommet. En clair, ces moyennes sous-estiment le recul de pouvoir d’achat des 80 à 90% de la population, compensé, dans des statistiques moyennes par l’enrichissement d’une petite minorité. Le phénomène est aussi valable pour les États-Unis, pour lesquels j’avais publié une analyse de statistiques en libre accès d’Emmanuel Saez il y a 10 ans, mais la situation est donc encore plus critique sur notre vieux continent.

          Et parce que l’économie est le principal motif de coopération entre les pays de l’UE, et que l’intégration économique n’a cessé de progresser, comment ne pas incriminer l’UE (et tous les dirigeants français et européens qui ont contribué à construire ce monstre institutionnel) dans le fiasco économique européen ? Car derrière quelques réussites individuelles, ce qui frappe ici c’est la marche arrière enclenchée pour des dizaines, voir des centaines de millions d’européens, pris au piège de cette construction byzantine qui ne sert que les intérêts de l’oligarchie européenne et globalisée. Les mécanismes sont multiples. D’abord, le laisser-passer des biens, capitaux et hommes. Ce faisant, les marchés européens ont été offerts aux produits et services venus du monde entier, trop souvent élaborés avec des normes sociales et environnementales bien inférieures aux nôtres, notamment venant d’Asie et d’Amérique.

          Ceci a permis les transferts d’usines dans d’autres pays. Et l’effondrement productif a été camouflé dans les statistiques du commerce extérieur par le recul du pouvoir d’achat, et donc de la consommation, limitant la progression des importations... Et la persistance d’un flux migratoire important a permis de maintenir la pression sur les travailleurs, comme le dénonçait Jean Jaurès il y a près d’un siècle. Mais à cette machine infernale du laisser-passer, l’UE y a ajouté deux autres mécanismes redoutables. En premier lieu, une monnaie unique complètement inadaptée à une zone euro si hétérogène, imposant une politique taille unique qui ne convient à personne. Cela a produit un penchant austéritaire structurel, très clair lors de la crise sanitaire, où les plans de relance européens n’ont été que des broutilles par rapport aux plans de soutien votés par les républicains et les démocrates aux USA.

          Autre levier de déclassement économique : la privatisation de service public qui sont des monopoles naturels, créant des rentes juteuses pour tous les investisseurs à la recherche de rentabilité et de sécurité, que ce soit avec les autoroutes ou le marché de l’énergie. Bref, c’est en menant des politiques servant les intérêts de l’oligarchie globalisée que l’UE s’appauvrit. Seul le Frexit permettra de s’en sortir. - source -

Bref, l'union européenne de merde dans toute sa splendeur, et, malheureusement, ce n'est pas demain qu'on quittera cette merde puante ambulante, la dégringolade va continuer de plus belle !

 

> le privé remplace le service public...

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Moyens alloués, besoins des citoyens, concurrence du privé... Ce que révèle un rapport accablant sur l'état des services publics en France

          Le collectif "Nos services publics" a analysé deux décennies de politiques publiques et les a comparées à l'évolution des besoins, dans l'éducation, la santé, la justice, la sécurité ou encore les transports.

          "Les moyens des services publics augmentent depuis vingt ans moins rapidement que les besoins sociaux", c'est-à-dire les besoins des citoyens, alerte un rapport publié jeudi 14 septembre par le collectif "Nos services publics", et rédigé par une centaine d'agents du service public, de chercheurs et de citoyens.

          Selon les auteurs, les politiques publiques n'ont pas su s'adapter aussi rapidement à l'évolution de la société. Le secteur privé en profite donc pour se développer, en proposant une réponse à ces besoins non assouvis. Pour arriver à ce constat, le rapport s'appuie sur l'analyse de deux décennies de politiques publiques, en comparaison à l'évolution des besoins dans l'éducation, la santé, la justice, la sécurité ou encore les transports. Tour d'horizon des grands axes de l'étude.

Santé

          Le nombre annuel de passages aux urgences est passé de 17 millions en 2010 à 21 millions en 2019, soit une hausse de "plus de 20% en moins de dix ans". Le vieillissement de la population et la "croissance massive" des maladies chroniques pèsent sur le système de santé, alertent les auteurs du rapport. Cela "nécessite une meilleure coordination et répartition des soins". Dans le même temps, les cliniques privées "augmentent leur place".

Justice

          Concernant la justice et la sécurité, le "sentiment d'insécurité ressenti par la population demeure élevé". Mais malgré l'augmentation des moyens alloués, les auteurs notent une "dégradation de la qualité et de l'efficacité de la réponse judiciaire". Le délai de jugement d’une affaire civile devant le tribunal de grande instance, par exemple, est passé de sept mois en 2005 à 14 mois en 2019.

Éducation

          Le rapport note aussi un "phénomène de massification" dans l'éducation : il y a de plus en plus de bacheliers et d'étudiants. "La proportion de diplômés du supérieur a été multipliée par deux en 25 ans chez les 25-34 ans". Dans ce contexte, de plus en plus de parents se rabattent sur les écoles privées et les cours particuliers, mais majoritairement des "famille favorisées". La "part des enfants à fort capital culturel" dans les écoles privées sous contrat est passée de "29% en 2003 à 40% en 2021".

          Les politiques publiques en matière d'éducation ne "parviennent pas à se renouveler" pour prendre en compte ces inégalités et le bien-être des élèves, insiste le rapport. D'après ses auteurs, les services privés sont plus coûteux pour l'État, et ils ne permettent pas un "accueil inconditionnel", contrairement aux services publics. Les inégalités ont donc encore tendance à se creuser.

          "Ce développement d'un service privé entraîne progressivement la transformation du service public en un service minimum et dégradé, et, donc, la perte progressive de sa vocation universelle", alerte le collectif, qui espère susciter un débat public après ce rapport inédit. - source -

Ben, on s'en doutait presque pas ! Sarkozy, l'ignoble Hollande et Macron, en respectant les ordres de l'union européenne de merde et de la finance, font en sorte de détruire - tous les jours un peu plus - les services publics français pour que s'installent à la place des services privés payants et juteux. Au sein de cette union européenne de merde, les pays nordiques - qui ont le pouvoir - considère par ailleurs la France comme les USA, c'est-à-dire un pays d'esprit communiste, qu'il faut détruire pour un capitalisme et une finance triomphant européens ... Donc, contrairement à l'article, il n'y a pas de surprise !

 

> le glyphosate ( roundup ) pourrait être encore autorisé 10 ans de plus dans l’UE

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          Un rapport d’un régulateur estime que le niveau de risque ne justifie pas d’interdire le glyphosate.

          Pour les écologistes, ce n’est ni plus ni moins un « scandale ». La Commission européenne a proposé ce mercredi aux États membres de renouveler pour dix ans l’autorisation du glyphosate dans l’UE, jusqu’au 15 décembre 2023. Elle se fonde sur le rapport d’un régulateur, qui estime que le niveau de risque ne justifie pas d’interdire cet herbicide controversé, selon un texte mis en ligne.

          La proposition de l’exécutif européen sera examinée vendredi par les Vingt-Sept qui devront ensuite la valider le 13 octobre. Cette proposition précise que l’usage de glyphosate doit s’accompagner de « mesures d’atténuation des risques » aux alentours des zones pulvérisées, en « apportant une attention particulière » aux effets indirects sur l’environnement.

          L’autorisation actuelle du glyphosate dans l’UE, renouvelée en 2017 pour cinq ans, expirait le 15 décembre 2022, mais a été prolongée d’un an dans l’attente d’une évaluation scientifique sur l’herbicide.

          Début juillet, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) avait finalement publié son rapport. Verdict : elle n’a pas identifié de « domaine de préoccupation critique » chez les humains, les animaux et l’environnement susceptible d’empêcher son autorisation. Mais elle avait aussi relevé « un risque élevé à long terme chez les mammifères » et reconnu que le manque de données empêchait toute analyse définitive.

          Pour en tenir compte, la Commission enjoint les États, chargées de délivrer les autorisations au niveau national et de fixer les conditions d’utilisation selon les spécificités locales, à « apporter une attention particulière » aux effets sur l’environnement et les petits mammifères. En envisageant, « si nécessaire », des mesures d’atténuation ou des restrictions.

          « Quel scandale ! Les études scientifiques, y compris celles très partielles de l’EFSA pointent la toxicité à long terme de cette substance, souligne l’agronome Benoît Biteau, également député écologiste européen. Et même avec ça, la Commission européenne persiste et signe. Kafkaïen ! »

           La députée écologiste européenne Marie Toussaint parle également « d’aberration totale » : « Sa ré-approbation et pour une telle durée constituerait une violation des droits humains à la vie et la santé, et des droits du vivant. »

          Le glyphosate, la substance active de plusieurs herbicides - dont le célèbre Roundup de Monsanto, très largement utilisé dans le monde - avait été classé en 2015 comme un « cancérogène probable » pour les humains par le Centre international de recherche sur le cancer de l’Organisation mondiale de la santé.

           À l’inverse, l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) a jugé l’an dernier que les preuves scientifiques disponibles ne permettaient pas de classer le glyphosate comme cancérogène. - source -

Annonce faite mercredi 20 septembre, la veille de la journée mondiale de la maladie d'Alzheimer dont l'origine de dégâts neurologiques, comme pour celle des maladies de Parkinson ou la sclérose en plaques est dûe en grande partie par ce glyphosate ! La maladie d'Alzheimer touche de plus en plus de personnes en France et malheureusement des personnes de plus en plus jeunes, ça craint ! Mais l'union européenne de merde va autoriser pour 10 ans ce poison, voilà, c'est ça l'union européenne de merde dont les français n'ont surtout pas voulu par référendum du 29 mai 2005 !!!