l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Un homme qui garde des chaussettes de ville avec un bermuda ne peut pas être totalement mauvais - Guy Bedos
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> Dijon : des amendes (sur la base de vidéosurveillance) pour des casserolades

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          À Dijon, plusieurs personnes ont reçu des amendes de 68 euros pour «émission de bruit portant atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme». En cas de non paiement dans les 45 jours, le montant passe même à 145€ ! Il s’agit de verbalisations suite à une manifestation qui a eu lieu le 7 mai derniers lors d’un anniversaire de la Cité de la Gastronomie, en présence de députés macronistes. Les explosions de grenades de la police, elles, ne semblent pas porter atteinte à la tranquillité…

          Le syndicat Solidaires explique que ces amendes ont été réalisées sur la base d’images de vidéosurveillance, puisque les personnes qui les reçoivent n’ont pas fait l’objet d’interpellation ni de contrôle au moment de la manifestation. D’ailleurs, d’autres participants à différentes casserolades organisées à Dijon commencent à recevoir des amendes.

            Il s’agit d’une atteinte évidente au droit de manifester. Une sorte de racket pour taxer les contestataires, dans un contexte de grande précarité et après un mouvement social qui a déjà coûté de nombreux jours de salaires aux grévistes. Cette mesure d’intimidation est vicieuse : qui peut prendre le risque de perdre des dizaines d’euros à chaque manif un peu bruyante ?

          Cela suppose que des policiers aient reçu la consigner de visionner attentivement les images de vidéosurveillance en quête de frappeurs de casseroles à verbaliser. Et qu’ils disposent déjà d’un fichier de personnes militantes, afin de pouvoir les reconnaître sur les bandes. Une pratique probablement illégale, car une contravention implique un contrôle direct par un agent assermenté, excepté pour les infractions routières.

          Pourtant, ce n’est pas une première. Dans la petite ville d’Epinay-sous-Sénart, en banlieue parisienne, le maire d’extrême droite avait dépensé plus de 500.000€ pour déployer des caméras de vidéosurveillance. Durant le printemps 2020, lors du confinement, l’élu a voulu «rentabiliser» la dépense de façon malhonnête : des centaines d’amendes ont été envoyées à des habitants sur la seule base de la vidéosurveillance. Plusieurs jeunes ont reçu des amendes pour «non respect du confinement» directement chez eux, sans jamais avoir été contrôlés. Ils évoquaient «des PV à une minute d’intervalle pour deux personnes différentes à deux endroits distants de plus d’un kilomètre. Des PV malgré une attestation de sortie à cette heure-là.» Ils ne voyaient qu’une explication : «la police municipale nous reconnaît sur les caméras de la ville et nous envoie les amendes sans même nous contrôler. Qu’on sorte pour aller à la boulangerie ou quoi que ce soit on est verbalisés. Pourtant on n’a croisé aucune patrouille de la police municipale.» La somme totale de ces amendes atteignait 50.000€. La défenseure des droit a été saisie pour ces pratiques scandaleuses.

          Après Dijon et Épinay-sous-Sénart, bientôt des amendes par drone sur la base de la reconnaissance faciale ? - source -

Cela parait évident, les mairies vont vouloir "rentabiliser" leurs systèmes de reconnaissance faciale et, quoi de mieux que des amendes qui tombent du ciel pour tout et n'importe quoi ?

 

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> destruction des services publics : travail de sape, mode d'emploi

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          D’après une enquête IFOP, par rapport à il y a 5 ou 10 ans, 81% des Français·es estiment que la qualité et l’efficacité des Services publics s’est dégradée à l’Hôpital, 74% dans l’Éducation, 68% dans la Sécurité, 67% dans la Justice et 57% dans les Transports.

          Comment s’en étonner après des décennies de travail de sape acharné des libéraux pour détruire ces biens communs…

          Prochaine étape, nous dire que mettre autant d’argent public dans un système qui ne fonctionne pas n’est pas viable et en profiter pour fermer encore plus de Services publics, les céder au privé, avec l’assentiment de la population ?

          Ne les laissons pas faire ! Organisons-nous, misons sur l’éducation populaire pour reprendre la main sur nos vies et nos communs, imposons une co-gestion de nos Services Publics pour sortir de la politique du chiffre et redonner du sens aux métiers au service du public ! - source -

 

"ils" ont trouvé mieux : sous-payer les salariés qui se sauvent = pénurie de personnels = faire bosser les fainéants assistés pour rembourser leur RSA pour les plus grands profits des patrons...

 

 

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> pourquoi les prix vont baisser...

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          ce n'est pas grâce au gouvernement ni aux industriels, c'est principalement simplement le fait que l'euro, très affaibli en fin d'année 2022, remonte vis-à-vis du dollar...

source

 

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🎨 Marc Simonetti, vous connaissez ?

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          Marc Simonetti (né en 1977 en France) est un directeur artistique, un artiste conceptuel, un illustrateur et un artiste plasticien établi à Annecy.

          Après une formation d'ingénieur à l'INSA de Lyon, Marc décide de poursuivre une carrière artistique et étudie aux Beaux-Arts d'Annecy puis à l'école Emile Cohl. Il s'est rapidement imposé en tant qu'artiste conceptuel et a fait ses armes dans des productions de premier plan telles que le space opera en 3D Valérian et la Cité des mille planètes, pour lequel il a travaillé en étroite collaboration avec le célèbre réalisateur français Luc Besson. Il a également collaboré avec des sociétés d'effets visuels de premier plan, notamment MPC, basée à Los Angeles, et Wētā digital. Son travail le plus récent en tant qu'artiste conceptuel, pour le développement visuel et la mise en scène d'éclairages et de designs spectaculaires, inclut Aladdin, Maleficent 2, Aquaman 2 et le prochain film Transformers Rise of the Beasts, parmi beaucoup d'autres. Il travaille actuellement comme directeur artistique chez DNEG, l'un des plus grands studios d'animation et d'effets visuels au monde.

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> goûte, c'est du nano

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          LA COMMISSION européenne vient de se prendre un coup de louche par notre Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). Dans un rapport publié le 17 mai, l'Anses dit tout le mal qu'elle pense de la nouvelle définition des nanoparticules pondue par Bruxelles.

          Chaque année en France, 400 000 tonnes de ces matériaux lilliputiens et aux propriétés magiques sont utilisées pour fabriquer aes médicaments, des peintures, des cosmétiques, mais aussi comme additifs dans notre assiette. Si les nanos sont précieuses pour l'industrie pharmaceutique, qui s'en sert pour agir directement sur les cellules, l'agroalimentaire les emploie à la pelle afin d'épaissir le ketchup, de blanchir la sauce vinaigrette, d'éradiquer les grumeaux des préparations pour dessert ou encore de faire briller les bonbons, sans trop connaître leurs effets sur la santé. Or, ce qui inquiète les toubibs, c'est que ces nanoparticules, 10 000 fois plus petites qu'un cheveu, s'immiscent partout dans notre organisme, jusqu'au cerveau, et que certaines d'entre elles sont suspectées d'être cancérigènes. C'est notamment le cas du dioxyde de titane, dont la France interdit l'usage comme nano-aliment depuis 2020.

          Petit retour en arrière. En 2011, l'Europe, après un an de négociations à couteaux tirés avec les industriels, adopte une définition officielle du nano-aliment. Sauf que l'industrie obtient une formulation a minima : est considéré comme un nanomatériau tout produit dont au moins 50 % des particules oscillent entre 1 et 100 nanomètres, ce qui laisse de côté une palanquée de nano-ingrédients...

          En 2013, la Commission européenne annonce qu'elle va remettre le couvert sur la définition au vu des nouveaux éléments scientifiques inquiétants. Chose faite, mais... dix ans plus tard. Et, surprise, publié l'éte dernier, le texte, qui devait resserrer les boulons, est encore plus permissif. Raison pour laquelle l'Anses a sorti la sulfateuse. Dans son avis, elle réclame « une définition plus large », afin de « ne pas passer à côté des nanomatériaux qui s'avéreraient préoccupants pour la santé ». Exemple de reculade : les nanomatériaux sous forme liquide ne sont plus pris en compte. Les experts de l'Agence accusent aussi entre les lignes Bruxelles d'avoir rédigé son texte dans un dangereux charabia qui ajoute
à la confusion parce que propice à plusieurs interprétations.

Nano, que nenni !

 

Cela confirme, s'il le fallait encore, que cette union européenne de merde en à pas grand chose à cirer de la santé des populations, seuls les profits comptent ! Attention aux dégâts dans 25 ans...