l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

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> 10 000 tonnes de saumons élevés sur terre : le plus grand projet aquacole d’Europe divise

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          Alors que l’aquaculture est promue par la France et l’Europe, un élevage intensif de saumons tente de s’implanter dans l’estuaire de la Gironde, au grand dam des écologistes.

          C’est un projet qui fait des remous jusqu’au Parlement européen. Le 23 mars dernier, Esther Dufaur, porte-parole du collectif Eaux Secours Agissons, y était auditionné par la commission des pétitions (PETI). Selon elle, le projet d’élevage de saumons dans l’estuaire de la Gironde contrevient au droit européen.

          « C’est un projet absurde et démesuré qui comportera des faits, par l’État français, de violation existante et à venir de 18 directives européennes, dont les directives habitats, oiseaux, eau et nitrates. […] 10 000 tonnes de saumon, équivalent au poids d’un élevage de 10 000 porcs, au cœur de zones classées à 70 % par des directives européennes », détaille la militante.

          Ce projet colossal à 200 millions d’euros, porté par la multinationale Pure Salmon, pourrait voir le jour en 2024 au Verdon-sur-Mer, et s’imposerait comme la plus grande ferme aquacole d’Europe.

Élevage terrestre

          Avec 200 000 tonnes de poisson rose consommé par an, les Français sont les plus gros consommateurs du continent, dont la quasi-totalité provient de Norvège ou d’Écosse. Seul un élevage en Normandie (Saumon de France) élève les saumons « made in France » et haut de gamme dans les eaux fraiches de la Manche.

          Mais à la différence des poissons normands, ceux qui sortiront de la ferme du Verdon-sur-Mer, n’auront jamais connu l’océan. La méthode choisie par la société Pure Salmon est celle de l’élevage terrestre, impliquant d’immenses bassins alimentés avec l’eau des nappes souterraines.

          « Cette méthode permet d’éviter les impacts négatifs des élevages en mer. Nous assurons aux poissons une eau de qualité optimale, nous maitrisons la croissance, cela a énormément d’avantages », explique à EURACTIV France, Paul Miliotis, responsable du projet pour la société 8F, principal investisseur. Le procédé existe déjà en Norvège. Il permettra selon le porteur de projet de répondre à la demande croissante et de garantir un saumon frais de qualité en « circuit court ».

          « Le temps qu’un saumon arrive de Norvège jusqu’à Rungis, il a déjà perdu plusieurs jours. Notre but est d’offrir aux supermarchés un saumon du jour même à 500 – 600 km de la ferme », poursuit Paul Miliotis.

Pollution des eaux

          De leur côté, les opposants alertent depuis des mois sur les dangers potentiels de cette production hors norme. Selon eux, la situation géographique et la démesure de cette « ferme aux 10 000 saumons » – par analogie à la « ferme des 1 000 vaches », incarnation de l’élevage industriel – ne peuvent que conduire à de nombreux dégâts.

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> l'oppressomètre

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> aujourd'hui, Macron reçoit 200 patrons au château de Versailles

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          Provocations en série de la part de Macron en plein mouvement social historique. Jeudi 11 mai, le président a reçu «400 acteurs du monde de l’industrie» en grande pompe à l’Élysée. Lundi 15 mai, c’est carrément le château de Versailles qui est privatisé pour recevoir des patrons venus de toute la planète. Plus de 200 chefs d’entreprises seront au rendez-vous, «un record» selon l’Élysée. Il s’agit d’un sommet intitulé «Choose France», créé par Macron. Le site de l’Élysée qualifie l’évènement de «chance pour les français», destiné à «présenter et expliquer aux grandes entreprises internationales les réformes menées pour favoriser l’activité économique de notre territoire». En clair, alors qu’il met à genoux la population sur les retraites, Macron invite les patrons pour leur dire de venir profiter des opportunités néolibérales en France. Symboliquement, le lieu, l’évènement et les convives de cette fête obscène sont lourds de sens.

          Pour ce sommet, évidemment, des mesures autoritaires sont déjà prises. Dès dimanche matin le stationnement devant le château de Versailles et sur une dizaines d’axes de la ville est interdit. Lundi, c’est la «la circulation des véhicules de toute nature» qui sera empêchée, y compris les transports en commun. Le parc du château de Versailles sera lui aussi bouclé.

          Ce sommet outrageant n’est pas le premier. Par exemple, le 20 janvier 2020, alors que le précédent mouvement social sur la question des retraites secouait déjà la France, Macron recevait 200 dirigeants de multinationales pour une «opération séduction» à Versailles. En 2019 déjà, 140 patrons avaient été reçus comme des rois à la même date, en plein soulèvement des Gilets Jaunes. À chaque fois, c’est un crachat au visage des millions de personnes qui luttent pour un peu de justice et de dignité. En pleine crise sociale, le monarque détesté festoie avec les plus riches parmi les riches dans le somptueux château de Versailles.

          En 2020, l’idée affichée de «Choose France» était de «séduire» les PDG de Total, Coca-Cola, Netflix ou encore General Electric pour les inviter à participer à la «reconquête industrielle» des territoires français en leur offrant des sites dits «clés en main». Le deal de Macron : offrir un «prêt-à-construire» au nom de l’attractivité et de la compétitivité sans passer par les procédures environnementales. Ce qui permet aux industriels d’implanter leurs projets rapidement et à moindre coût.

          Cette année, même proposition : permettre aux patrons de passer outre les règles environnementales. «La clé, c’est la simplicité et la rapidité surtout face à la Chine et aux États-Unis» explique Macron. Donc s’aligner sur les pires modèles mondiaux en terme de capitalisme destructeur et dérégulé. Le président a d’ailleurs réclamé à l’Union Européenne «une pause dans les règles environnementales» pour permettre aux industries de se développer. La sécheresse, les canicules et l’extinction des espèces ne font pas de pause par contre.

          Versailles est le lieu de toutes les provocations des puissants. En mars 2014, le grand patron de Renault, Carlos Ghosn, aujourd’hui inculpé pour des détournements de sommes faramineuses, organisait une fête luxueuse dans le Château. Dans une vidéo de cette soirée, on voyait les amis du millionnaire s’empiffrer dans le palais du Roi Soleil, privatisé pour l’occasion, entourés de serviteurs déguisés à la mode de l’Ancien Régime. Une soirée de décadence totale pour plus de 600.000 euros.

          «La première condition de la paix sociale est que les pauvres aient le sentiment de leur impuissance», écrivait l’auteur d’extrême-droite Maurice Barrès il y a cent ans. Une réflexion qui pourrait résumer à elle-seule le programme politique du gouvernement Macron. - source -

Que va leur dire Macron ? Facile : "Venez vous installer en France où j'ai organisé - avec mes très chers amis - son pillage intégral. On vous donnera d'énormes subventions déguisées, de très grosses remises fiscales et presqu'aucune charge sociale"... On solde ! 10 millions investis, 10 millions donnés...

 

 

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> pour lutter contre la haine en ligne, le mieux est de censurer tout le monde, n’est-ce pas.

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          Petit-à-petit, de moins en moins lentement, les choses se mettent en place. On avait déjà plus qu’évoqué la question dans un précédent billet, mais il devient impossible de ne pas revenir sur la question brûlante de la liberté d’expression et des tentatives de censure croissante qui parcourent actuellement tout l’Occident.

          La question a en effet été récemment remise sur le tapis en Irlande alors qu’une loi (“Criminal Justice Bill”) poursuit son parcours législatif et entend pénaliser la simple détention de contenu ou de matériel haineux ou même potentiellement haineux. Cette loi, assez justement qualifiée d’attaque massive contre la liberté d’expression par différentes personnalités, dont Elon Musk, n’est cependant pas la seule actuellement en cours de mise en place dans les pays occidentaux.

          De façon encore plus préoccupante, on retrouve le même type de lois parcourant tranquillement leur petit bonhomme de chemin législatif dans les tubulures de ce qui passe pour des processus démocratiques : pendant que les peuples sont occupés à différentes tâches et que des médias, extrêmement complaisants, leur bourrent le crâne d’âneries plus ou moins grosses et périphériques, tout se met doucement en place dans différents pays pour museler proprement toute dissidence.

          Ainsi, pendant que l’Irlande sombre du mauvais côté de la dystopie, le Royaume-Uni en fait autant avec la proposition d’une loi pour la sécurité en ligne, une “Online Safety Bill” dont on aura du mal à ne pas rapprocher l’essence de celle en cours de discussion un peu plus à l’Ouest.

          Au Canada, avec le “Online Streaming Act”, le chemin suivi est le même, et les petits cris étonnés de certains médias n’y changent absolument rien.

          En Allemagne, l’affaire fut pliée en 2022. C’est une habitude des Teutons de ne pas perdre de temps lorsqu’il s’agit de couper le sifflet aux opposants.

          Du reste, ces derniers ne sont pas mal placés pour pousser le Digital Service Act, l’équivalent de ces lois iniques au niveau de l’Europe qui vient ajouter une couche européenne aux législations locales, dans l’hypothèse où un État membre aurait manqué le coche ou fait preuve d’un peu trop de zèle à protéger ses libertés fondamentales à son niveau, sans doute.

          La Constitution américaine aura peut-être permis aux États-Unis de se ménager, jusqu’à présent, une porte de sortie puisque le Disinformation Board que l’administration Biden avait tenté de mettre en place en 2021 fut piteusement démantelé en 2022. Cependant, ne vous inquiétez pas : le désir de fermer le clapet des opposants, pardon, de lutter contre la haine et la désinformation en ligne est bien présent outre-Atlantique aussi, et les attaques contre le premier amendement (qui offre une liberté d’expression constitutionnellement garantie) sont devenues monnaie courante.

          Ne vous leurrez pas : ce qui se passe dans ces pays n’a rien de fortuit et cela se passe donc aussi en France, pour exactement les mêmes raisons. Actuellement, c’est le petit ministricule Barrot qui pousse l’affaire dans les tuyaux chromés de la République d’Absurdistan, mais les tenants et les aboutissants sont exactement les mêmes qu’ailleurs.

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> Eurovision 2023 : le geste de la main de La Zarra au moment des résultats fait polémique

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          Les internautes relaient en nombre les images du majeur dressé de La Zarra au moment des résultats du concours, lorsqu'elle a appris que le public ne lui avait attribué que peu de points.

          La Zarra, la représentante de la France a l'Eurovision 2023, a retenu l'attention des téléspectateurs avec un geste inattendu. Ce samedi soir à Liverpool, au moment où les points attribués à la France ont été révélés, elle a regardé la caméra et dressé le majeur, dans un geste semblable à un doigt d'honneur.

          La chanteuse venait d'apprendre que le public n'avait attribué que 50 points à la France, privant le pays d'un beau score. Classée dixième à cet instant précis, la chanteuse a fini seizième du classement lorsque tous les points ont été distribués.

          L'image du geste de La Zarra n'a duré que quelques secondes, mais elle n'a pas échappé aux internautes. La vidéo est relayée et commentée par de nombreux comptes Twitter.

          D'autres internautes ont noté qu'au moment où la Finlande et la Suède, au coude à coude, attendaient de savoir qui l'emporterait, la silhouette de La Zarra est apparue en arrière-plan. Laissant supposer que la chanteuse avait quitté la Green Room, là où les délégations attendent ensemble les résultats, avant la fin de l'attribution des points.

Déception de taille

          Le tempérament de la chanteuse québécoise a été commenté à plusieurs reprises au cours des mois de campagne qui ont mené à cette finale de l'Eurovision. "J’avais prévenu qu’elle était compliquée à gérer", titrait Le Parisien à la mi-avril lorsque la chanteuse a annulé deux prestations en dernière minute.

         Cette seizième place représente une déception de taille pour La Zarra et la délégation française: il y a encore quelques jours, elle était classée troisième par les parieurs.

          C'est la Suède qui s'est imposée ce samedi à Liverpool lors de la finale de l'Eurovision 2023. La chanteuse Loreen, qui avait déjà remporté le télé-crochet en 2012 avec le tube Euphoria, a gagné cette 67e édition avec le morceau Tattoo. - source -

Je m'étonne, comme beaucoup, que ce soit une canadienne qui représente la France... Et je ne m'étonne pas du tout de sa 16ème place, car selon un ancien directeur de France 2, - lien - "ils" choisisse(aient?) toujours un tocard pour représenter la France, France 2 estime(ait?) que s'ils gagne(aient?), l'organisation de l'Eurovision suivant coûterait plus cher qu'il ne rapporterait, donc, il faut perdre, logique, non ?...

Quant aux concours TV ou autres, tout le monde sait aussi que les résultats sont toujours bidonnés...