l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



L'humour, c'est aussi une façon de résister - Guy Bedos
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> les pôvres agriculteurs, fonctionnaires européens...

Classé dans : en ligne

un petit tour sur ce site et vous serez édifié :

>>> c'est par ici

          Vous constaterez que tous les agriculteurs de votre commune touchent un salaire annuel ou "aides" de l'union européenne, ils sont donc rémunérés par l'UE comme des fonctionnaires. Les pôvres ! Et, c'est sans compter sur toutes les autres aides/primes/remises fiscales/... qu'ils perçoivent, évidemment plus discrètes ou secrètes les unes que les autres ! Et après ça pleure et ça détériore les biens publics comme des voyous de gilets jaunes, sans grandes réactions de l'état !

          On peut y voir que dans ma commune, il y a 23 agriculteurs. Ils ont perçu un don global de l'UE de 620 611 € en 2021 ou 2022 (pas très claire la période indiquée), soit une moyenne de 27 000€ par agriculteur. Bien évidemment pas de chiffres pour 2022 ? ou 2023, secret des affaires !

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> même pas 700 000 bébés !

Classé dans : presse

          C’est la cata. Mardi 16, l'Insee a publié son bilan démographique 2023. « Chute de la natalité », titre « Le Parisien » (15/1). « La France à la traîne », titre « L'Express » (11/1). « Pourquoi il faut relancer la natalité ». titre « La Croix » (16/1). La France fait de moins en moins de bébés. Seulement 678 000 l’an dernier. Voilà dix ans, une femme avait 2 enfants, en moyenne. En 2023, elle n'en faisait plus que 1.68. Ça baisse d'année en année. Ce n’est pas sérieux.

          Qui va payer nos retraites ? Traverser la rue pour trouver du travail ? S'occuper des baby-boomeurs, nés entre 1945 et 1965, lesquels vont bientôt envahir les Ehpad ? C’est une menace pour la croissance. Une menace pour les finances publiques. Une menace pour la France.

          Certes, la population continue d’augmenter, mais très peu : seulement de 0,29 % en 2022. Nous sommes 68,4 millions. Quand atteindrons-nous les 70 millions ? Ce n'est pas pour demain. Pauvres de nous. Aujourd’hui, les femmes sont plus diplômées que les hommes. Elles travaillent, et, la double journée de travail, elles n'en veulent plus. Ajoutez à cela le coût de la vie, les logements trop chers et trop petits...

          Et l’éco-anxiété. La peur des catastrophes, des famines, du réchauffement, de la sixième extinction, de l'exploitation à mort des ressources naturelles. On nous a répété que nos « petits gestes » allaient sauver la planète. On peut dire que les femmes le font, ce petit geste : en faisant moins d’enfants.

          Marine Le Pen crie au feu, et Bayrou, et l’Eglise catholique. Vite, il faut une relance de la natalité bleu-blanc-rouge, avec des aides, des prêts, des primes. Maman !

          Bon, en Espagne c’est pire que chez nous : 1,29 enfant par femme. Et en Italie, en Allemagne, en Chine, en Corée du Sud. au Japon... A ce rythme-là, pas sûr que la planète héberge 10 milliards d’humains à la fin du siècle. Heureusement, Elon Musk nous montre le chemin. Il a déjà 10 ou 11 enfants. Il prône l'hypematalité. Il veut « sauver l'humanité ». C’est qu'il va en falloir, des Terriens, pour s'enfuir sur Mars et la transformer en planète habitable ! (J.-L. P. )

Quitte à me répéter, il faut être inconscient ou très riches pour faire des enfants aujourd'hui. Car ces enfants n'auront pas d'avenir radieux mais uniquement les esclaves ou soldats de dictatures financières cupides, perfides et impitoyables ; inconsciemment les gueux l'ont compris...

 

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> le cartel des conserves au bisphénol

Classé dans : presse, santé

          De mieux en mieux. On connaissait les ententes sur les prix entre géants de l'agroalimentaire sur le dos du consommateur, voilà qu'on découvre, avec effarement, que 11 grandes marques de l'alimentation, dont Unilever, Andros, D'Aucy et Bonduelle, ont comploté au détriment de la santé de leurs clients. Un cartel de la conserve sur lequel l'Autorité de la concurrence vient de taper en lui infligeant une amende de plus de 19 millions d'euros.

          L'occasion, pour « Le Canard », de raconter les détails d'une enquête qui révèle que, pour se faire de l'oseille, certains grands groupes alimentaires ont sciemment joué la montre afin d'utiliser le plus longtemps possible dans leurs canettes et boîtes de conserve une substance chimique qu'ils savaient dangereuse. Tout commence lorsque l'Assemblée nationale, alertée sur la nocivité du bisphénol A (BPA), décide de l'interdire dans les tétines de biberon dès le 1er janvier 2013, puis dans tous les contenants et ustensiles en contact avec les denrées alimentaires à partir du 1er janvier 2015.

          Dès 2010, l'Institut national de la santé et de la recherche médicale, l'Inserm, s'est en effet fendu d'un rapport sur les dangers du BPA sur le système de reproduction humain - des inquiétudes confirmées un an plus tard par l'Agence nationale de sécurité sanitaire.

          Consternation du lobby des fabricants de plastique, qui saisissent le Conseil constitutionnel pour torpiller la loi, en vain (« Conflit », 17/3/21).

          C'est alors que les industriels de la conserve s'entendent en loucedé pour empêcher quiconque, avant la date fatidique du 1er janvier 2015, de vendre des boîtes ou des canettes sans BPA en faisant un argument commercial. Et gare aux récalcitrants. L'Association nationale des industries alimentaires rappellera ainsi à l'ordre Tetra Pak, Fleury Michon ou encore Système U, qui avaient eu l'outrecuidance d'afficher une mention indiquant l'absence de bisphénol A sur leurs produits.

          Résultat : trois ans durant, les consommateurs ont fait leurs courses sans pouvoir identifier, dans les rayons, les conserves et les canettes exemptes de BPA. Non seulement le cartel s'est arrangé pour que la grande distribution, qui réclamait des conserves sans BPA, en reçoive le moins possible avant l'entrée en vigueur de la loi, mais il a continué après cette date d'écouler ses stocks au BPA jusqu'à la dernière boîte.

C'est ce qui s'appelle agir de conserve...

En macronie, les entreprises se sentent toutes puissantes et plus puissantes que l'état ( et l'union européenne de merde ) qui les dorlote,... D'ailleurs, 19 millions d'amende, c'est une goutte dans l'océan des profits de ce cartel. Une telle petite amende incite bien évidemment les entreprises à récidiver car, en bons commerçants, pourquoi se gêner, lorsque les profits sont largement supérieurs aux pertes !

précisions ( - source - ) Il s’agit d’Andros, Bonduelle, Charles et Alice, Cofigeo, Conserves France, D’Aucy, General Mills, et Unilever, conserveurs, ainsi que d’Ardagh, Crown et Massilly, fournisseurs de boîtes. = donc, tous inscrits sur ma liste rouge de produits à éviter...