l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



La liberté commence où l'ignorance finit - Victor Hugo

🏛️ masque de la province de Henan ( chine, -1600 à -1046 )

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          Un masque en or vieux de 3 000 ans a été découvert par des archéologues dans d'anciennes tombes royales de la province du Henan. L'artefact date de la dynastie Shang, la plus ancienne dynastie régnante jamais enregistrée en Chine, entre 1600 et 1046 avant notre ère.

 

> nids de poule : quelles responsabilités en cas d’accident ?

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          Un nid de poule, une chaussée dégradée, une route déformée, peuvent être la cause d’un accident. Il convient alors de déterminer la responsabilité de chacun. Si le conducteur doit toujours rester maître de son véhicule, la responsabilité indirecte des élus ou des services d’entretien et de maintenance des voies publiques ou privées peut être mis en cause sous certaines conditions…

Nids de poules, trous en formation, chaussée dégradée ou déformée…

          Nos routes sont durement malmenées, surtout pendant l’hiver, et il est fréquent que des nids de poule (trous dans la chaussée) se forment. La cause : les différentiels de température importants, les intempéries et la circulation automobile provoquent des fissures dans la chaussée. L’eau s’infiltre et s’il gèle derrière, le revêtement d’asphalte se soulève et des trous apparaissent.

           Le réseau routier est fréquemment contrôlé car ce phénomène est connu, tant par sa fréquence que ses risques pour la sécurité des automobilistes. Mais il est fréquent que les réparations se fassent attendre et qu’entre temps, le nid de poule soit à l’origine d’un accident…

État de la chaussée, qui est responsable ?

Le réseau routier français n’appartient pas à un seul et même organisme. Ainsi,

- Les routes nationales et autoroutes gratuites (non concédées) appartiennent à l’Etat et sont entretenues par la DIR (Direction Interdépartementale des Routes).
- Les routes départementales sont gérées par les départements via la DDE (Direction Départementale de l’Equipement).
- Les routes communales sont de la responsabilité des communes ou selon les cas des communautés de communes, d’agglomérations ou urbaines. Les services techniques sont compétents.
- Les autoroutes payantes sont gérées par des sociétés d’autoroute privées.

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> le puritanisme américain : Etats-Unis, ce pays qui marie ses enfants

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          Aux États-Unis, en moins de 20 ans, 300.000 enfants ont été mariés, essentiellement des jeunes filles de parfois dix ans à peine. Bien que peu connues des Américains, ces unions sont tout à fait légales dans 43 des 50 états du pays. Et dans neuf d’entre eux, elles se font sans aucune limite d’âge.

          Dans 90% des cas, ce sont des jeunes filles. Elles ont 16 ans, 15 ans, parfois tout juste 10 ans. Souvent victimes d’abus sexuels, elles sont poussées par leurs parents, leur communauté religieuse ou leur milieu social à une union qu’elles ne désirent pas. Entre 2000 et 2018, 300.000 mariages d'enfants ont ainsi été recensés. “A 13 ans, on m’a obligé à épouser l'homme qui me violait. Ça faisait deux ans qu'il m'agressait sexuellement. Le mariage a eu lieu pour lui éviter d’être poursuivi en justice. Et je me rappelle avoir eu l'impression d'être en train de mourir. C'était comme une mort lente”, témoigne Dawn, mariée de force en 1986 à un homme de 20 ans son aîné.

          Selon les Nations unies, ces mariages précoces " privent les filles de leur enfance et constituent une menace pour leur vie et leur santé ". Elles sont " plus exposées à la violence domestique et moins susceptibles de poursuivre leur scolarité ". Conscients de ces faits, aux États-Unis, des associations et des élus se battent pour changer la loi et interdire, sans aucune exception, le mariage au moins de 18 ans.

De puissants lobbies

          C'est le cas de Jerry Hill, ancien sénateur de Californie, qui a découvert que ces mariages étaient autorisés et légaux dans son état. “ Un jour, une jeune fille de 16 ans m'a appelé. Elle m’a raconté qu'une élève de son collège, âgée de 13 ans, était fiancée à un homme de 28 ans. Elle m’a expliqué qu’ils prévoyaient de se marier et que l'école était au courant. Quand j'ai entendu ça, les bras m'en sont tombés ! “, raconte l'ancien élu démocrate.

          Il a tenté de changer la loi, mais comme beaucoup d'autres avant lui, il s'est heurté à de puissant lobbies américains refusant la moindre concession au nom " des libertés individuelles ". Ce qui fait enrager de nombreuses anciennes victimes, comme Sara, mariée de force à 15 ans et mère de deux enfants. Aujourd'hui âgée de 42 ans, elle vit à l'est de San Francisco et milite sans relâche pour qu'un âge minimum soit fixé dans tous les états américains.

          " En dessous de 18 ans, vous n’avez pas les mêmes droits qu’un adulte. En fait, c’est comme si on demandait à un mineur de prendre une décision qu’il n’est pas en âge de prendre. Quand la loi interdira aux adultes de se marier avec un enfant, là les enfants seront protégés, point final “, explique-t-elle. - source -

Étonnant quand on constate la vocation mondiale d'un puritanisme forcené prôné, entres autres, par les évangélistes et une grande partie nos amis américains, non ? Sans oublier que des pays comme l'Iran - et d'autres arriérés - font de même : vous voulez vous marier, facile, violez une mineure...

 

⚠️ cabines de téléconsultation médicale : attention aux arnaques sur les tarifs !

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CABINES DE TÉLÉCONSULTATION : attention à l'affichage des tarifs

          Medadom, Tessan, H4D... les cabines de téléconsultation gagnent du terrain. On les retrouve dans les pharmacies, les locaux communaux et même les supermarchés. À l'intérieur, plusieurs équipements connectés (tensiomètre, thermomètre, stéthoscope, balance, dermatoscope...) pilotés à distance par le médecin. Grâce à eux, le praticien peut affiner son diagnostic.

          En octobre 2022, Medadom, l'un des principaux acteurs du marché, affirmait avoir franchi le cap du million de téléconsultations. En 2023, il vise l'installation de 6000 dispositifs.

          Côté tarif, si vous faites le choix d'une téléconsultation dans l'un de ces équipements avec un médecin généraliste conventionné en secteur 1, vous aurez droit à la même prise en charge que pour une consultation classique. Gare, cependant, aux défauts d'information sur les tarifs et les honoraires. C'est ce qui ressort de la première enquête de la répression des fraudes sur le secteur de la télémédecine, dont les résultats ont été dévoilés en avril 2021. Selon elle, 23% des opérateurs ont présenté des «anomalies», principalement des «défauts d'information sur les tarifs et les honoraires». Plus grave, la répression des fraudes a aussi relevé «une pratique commerciale trompeuse telle que la présentation confuse d'un service de téléconseil qui, lui, n'est pas pris en charge par l’assurance maladie, à la différence d'une téléconsultation».

Et, ce qui me semble encore encore plus grave que grave, ces fraudes ( évidemment organisées donc, disons "arnaques" ) sont subies par des personnes MALADES donc fragilisées...

 

> 31e anniversaire de la mort d'Isaac Asimov

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          Isaac Asimov « Aïzek Azimov », né vers le à Petrovitchi, en Russie, et mort le à New York, aux États-Unis, est un écrivain américain et un professeur de biochimie à l'Université de Boston, surtout connu pour ses œuvres de science-fiction et ses livres de vulgarisation scientifique.

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> 6,6 millions d'euros d'amende pour le groupe Urgo pour manquement massif à la loi anti-cadeaux

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          6,6 millions d'euros. C'est l'amende imposée au groupe Urgo pour manquement massif à la loi anti-cadeaux. Urgo a offert plus de 55 millions d'euros de cadeaux à des pharmaciens, d'après une enquête de la Répression des fraudes. Près de 40 % des pharmaciens d'officine seraient concernés. (60 millions de consommateurs - avril 2023)

Excellent, voilà une réponse à la question que je me posais depuis quelques temps, ne trouvant plus certains produits dans des pharmacies, mais seulement de l'Urgo par ailleurs beaucoup moins efficace que mes produits habituels...

Et les pharmaciens ripoux ? Pas d’amendes ?

 

💩 quand la commission européenne étouffe l'affaire Ursula von der Leyen / Pfizer / BioNTech

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Vaccins Covid-19 : Ursula von der Leyen n’a jamais été impliquée dans les négociations, selon la commissaire à la Santé

          La commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides, a insisté sur le fait que la présidente de l’exécutif européen, Ursula von der Leyen, n’avait joué aucun rôle dans la négociation des contrats de vaccins Covid, lors d’une discussion animée devant la commission spéciale du Parlement européen sur le Covid-19 (COVI), lundi (27 mars).

          À la suite de révélations du New York Times en avril 2021, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer Albert Bourla sont soupçonnés d’avoir négocié un contrat de 1,8 milliard de doses directement par textos.

            « La présidente de la Commission n’a été impliquée dans aucune négociation de contrats. Je l’ai déjà dit et je le redirai », a déclaré Stella Kyriakides. Stella Kyriakides a rappelé que tous les contrats, Pfizer ou autres laboratoires, avaient suivi le processus législatif. « Il y avait une équipe conjointe de négociations et un comité de pilotage », a-t-elle précisé.

          Le comité de pilotage est chargé d’octroyer un mandat de négociation à l’équipe de négociation, elle-même composée de représentants de la Commission et des États membres. « Les États membres ont toujours eu la possibilité de retoquer un contrat [ … ] Ils étaient parfaitement au courant des conditions des contrats », a encore dit la Commissionnaire.

          Après la signature de l’accord, Pfizer et la Commission européenne ont justifié le manque de transparence des contrats – qui n’ont été fournis aux législateurs qu’à un stade ultérieur avec de nombreuses parties caviardées – par des clauses de confidentialité.

          Plusieurs eurodéputés, dont la présidente de la commission COVI, la socialiste Kathleen Van Brempt, ont insisté sur le fait que les eurodéputés devraient être en mesure de voir tous les contrats signés sans caviardage. « Nous avons fait de notre mieux pour tenir les eurodéputés informés tout en tenant compte des obligations contractuelles », a ajouté Mme Kyriakides, reconnaissant toutefois que les réponses de la Commission aux législateurs n’ont pas été « pleinement satisfaisantes » en raison des clauses de confidentialité contenues dans les contrats.

Contrats caviardés et SMS introuvables

          En 2020, la Commission européenne a commandé au nom des Etats membres des doses de vaccins contre le virus de la Covid-19. Plusieurs laboratoires, dont Pfizer, AstraZeneca, Moderna, Novavax ou encore Sanofi ont signé des contrats avec la Commission. A ce jour, grâce aux achats groupés de vaccins, 70% de la population européenne est vaccinée, a rappelé Mme Kyriakides. Parmi ces contrats, les députés européens s’intéressent particulièrement au troisième et plus gros contrat signé entre la Commission et le géant américain Pfizer, en partenariat avec le laboratoire allemand BioNTech.

          Lorsque le journaliste Alexander Fanta, du site d’informations netzpolitik.org, a demandé l’accès aux SMS révélés par le NY Times, la Commission lui a répondu qu’elle ne les avait pas « identifiés » et qu’elle ne les retrouvait plus. Ces déclarations de la Commission ont donné lieu à une plainte de la médiatrice européenne Emily O’Reilly en janvier 2022, qui a rappelé l’exécutif européen à l’ordre et a exhorté la Commission à « effectuer une recherche plus approfondie des messages pertinents. »

          Invité à deux reprises à s’expliquer devant les membres de la Commission COVI, Albert Bourla n’est jamais venu. Le 6 mars dernier, la présidente du Parlement européen Roberta Metsola a envoyé une lettre à Ursula von der Leyen dans laquelle elle demande l’accès aux contrats dans une salle sécurisée pour les eurodéputés. « Nous mettons tout en œuvre pour que vous ayez une réponse à la lettre de Roberta Metsola », a répondu Stella Kyriakides. - source -

 

Bé, comme prévu, tout a été nettoyé... On apprend que c'est le trio Commission (l'allemande von der Leyen) / Pfizer / BioNTech (laboratoire allemand) qui était  la manœuvre...

 

wikipedia : (...) En novembre 2020, Albert Bourla fait l'objet de critiques pour avoir revendu pour 5,6 millions de dollars d'actions qu'il détenait au sein du capital de Pfizer, le jour de l'annonce de la fiabilité à 94 % du vaccin contre le Covid-19. L'opération d'Albert Bourla (imité par sa vice-présidente, Sally Susman, qui a vendu pour 1,8 million de dollars d'actions et par d'autres dirigeants d'autres laboratoires) est jugée peu morale mais est tout à fait légale. Ses participations au Forum économique mondial et aux réunions du groupe Bilderberg depuis son arrivée à la tête de Pfizer sont également décriées, car elles semblent participer d'une oligarchie à une période où l'entreprise Pfizer a centralisé une grande influence sur le monde entier, influence décriée par les complotistes et les mouvements de protestation face au vaccin contre la COVID-19 " (...)

 

> fin de vie : la convention citoyenne se prononce en faveur de l’euthanasie et du suicide assisté, sous conditions

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          Les 184 Français tirés au sort ont rendu leur rapport final dimanche au gouvernement, ainsi qu’un « manifeste » pour lui demander de s’emparer du sujet. Emmanuel Macron doit les recevoir lundi pour dire quelles suites il compte donner à leur travail.

          La convention citoyenne sur la fin de vie, qui réunit depuis décembre des Français tirés au sort pour orienter l’action de l’exécutif sur le sujet, a conclu dimanche 2 avril ses débats, en confirmant sa position majoritaire pour légaliser l’euthanasie ou le suicide assisté.

          « Pour une majorité de citoyennes et citoyens de la convention, l’accès à l’aide active à mourir doit être ouvert », est-il écrit dans son rapport final, qui a été soumis au vote de ses membres dimanche à la clôture des débats organisée au siège du Conseil social, économique et environnemental (CESE), qui organise la convention. Elle y fixe toutefois aussi des nuances et des conditions. La convention n’exprime notamment pas position majoritaire sur le cas des mineurs ou celui des personnes incapables d’exprimer leur volonté. Le rapport détaille par ailleurs précisément diverses positions, dont celle minoritaire contre une légalisation de l’euthanasie ou du suicide assisté.

Des difficultés à accéder à ce qui est déjà prévu par la loi

          Cette convention, convoquée à l’appel du gouvernement à l’automne 2022, rassemble 184 Français tirés au sort, dont l’avis vise à orienter l’action de l’exécutif. Réunis vingt-sept jours au total depuis décembre, ses membres devaient dire si la législation actuelle sur la fin de vie, fixée par la loi Claeys-Leonetti de 2016, apparaît adaptée à toutes les situations et s’il faut y apporter des changements. Cette dernière autorise une « sédation prolongée et continue », autrement dit une plongée définitive dans l’inconscience, pour les patients à l’état désespéré à court terme et dont les souffrances sont intolérables. Mais elle ne va pas jusqu’à autoriser une « aide active à mourir », c’est-à-dire soit un acte d’euthanasie par un soignant, soit une assistance au suicide.

          A l’issue de leurs échanges, les Français réunis en convention ont majoritairement estimé que le cadre actuel de la fin de vie n’était pas adapté. Toutefois, ils n’en tiennent pas uniquement responsable la législation actuelle. Ils soulignent aussi les difficultés concrètes d’accès à ce qui est prévu par la loi, notamment une offre suffisante de soins palliatifs. A ce titre, la convention met l’accent sur la « situation alarmante » du système français de santé.

Un « manifeste » remis en plus au gouvernement

          Au-delà de la seule question de l’euthanasie ou du suicide assisté, la convention fait donc une longue liste de recommandations pour développer les soins palliatifs et faciliter leur accès. L’incertitude porte désormais sur la traduction concrète de ces recommandations, notamment la rédaction d’une nouvelle loi. Emmanuel Macron, qui s’était par le passé prononcé pour une évolution de la loi mais s’abstient désormais de se prononcer clairement, doit recevoir lundi les participants à la convention pour dire quelles suites il compte donner à leur travail.

          Pour voir leurs recommandations trouver des suites concrètes, les participants, ont ainsi choisi de remettre au gouvernement, en plus de leur rapport, un « manifeste » – dont Le Monde dévoile ici l’intégralité –, lu dans l’hémicycle du palais d’Iena dimanche matin, à la conclusion des travaux. « Emparez-vous de cette question de la fin de vie qui est un enjeu de société majeur », y écrivent-ils à l’intention du gouvernement et des législateurs. - source -

Faut pas se leurrer, il n'y a rien à attendre de Macron. Il y aura tellement de conditions que peu de personnes pourront en bénéficier et ceux qui en auront les moyens iront toujours en Belgique ou ailleurs. En effet, les lobbies religieux sont très écoutés en France où l'extrême-droite, droite et centre, rappelons-le, veulent toujours un retour d'avant 1905 par le rétablissement d'une religion catholique d'état pour laquelle la douleur est toujours rédemptrice ! D'autre part, l'état montre aussi au citoyen qu'il est RIEN car même son propre corps ne lui appartient pas, sans oublier que :

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