l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> nous sommes-nous fait arnaquer par le vétérinaire ?

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          " Notre chat de 9 ans a eu une maladie au foie, nous avons dû l'emmener chez un premier vétérinaire : il y est resté du lundi au mercredi, au total 430€ pour analyses, hospitalisation et pose d'une sonde. Son état empirant grandement nous avons dû le transférer dans une clinique hospitalière où nous avons été reçus par une première personne et avons signé un devis de 1600€ pour hospitalisation du mercredi au lundi avec les soins nécessaires. Lors du changement de vétérinaire le week-end, nous recevons un appel nous informant de "quelques erreurs" sur le devis, le montant serait plutôt autour des 2500€.

          Au final notre chat n'a pas survécu suite à la pose de la sonde qui devait lui permettre de revenir à la maison. Si on compte les frais du premier véto à 430€ plus les 2500€ plus les 200€ de crémation cela monte la facture à 3000€, pour au final avoir perdu notre chat. Cela vous semble-t-il être un montant "normal" ? " - source -

 

Comme pour beaucoup d'autres professions, de nombreuses cliniques vétérinaires se font ces dernières années acheter par de grands groupes prédateurs, et après une courte période pour empêcher les clients de fuir, ils font des changements profonds et agressifs sur certains tarifs & méthodes, la preuve !

 

🔨 BLOB du jour

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          Les "reportages" récurrents des météos nationales exposant, en long, en large et en travers, les dégâts relatifs aux bouleversements climatiques, montrent en réalité l'incurie des élus, responsables du non entretien des rivières, forêts, bâtiments, routes et autres...

> assistanat pour ultra-riches : le CAC40 sous perfusion de l’État

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          Pour justifier la réforme du RSA, une partie de ses défenseurs relance l’ancien débat autour de « l’assistanat » : les chômeurs percevraient un revenu aux frais de la collectivité sans chercher à trouver un nouveau travail. Il n’est bien sûr jamais fait mention d’une autre forme d’assistance, subventionnée par l’État, et d’une ampleur massive : celle qui bénéficie aux grandes entreprises depuis des années. Cet « assistanat pour ultra-riches » est pourtant autrement plus significatif. Extrait de Super–profiteurs, le petit livre noir du CAC 40, un ouvrage coordonné par Frédéric Lemaire et Olivier Petitjean ; chapitre « Aides publiques : une addiction devenue un tabou », par Maxime Combes.

          157 milliards d’euros, soit 6,4 % du PIB. Les montants en jeu sont astronomiques, et augmentent d’année en année. En janvier 2007, un rapport public les évaluait à 65 milliards d’euros par an, dont 90 % financées par l’État et le reste par les collectivités locales et d’autres acteurs publics, pour un montant global équivalent à 3,5 % du PIB. En juin 2013, un rapport publié par l’Inspection générale des finances nous apprend qu’elles atteignaient 110 milliards d’euros par an. Puis 140 milliards d’euros en 2018, selon les propos de Gérald Darmanin, alors ministre de l’Action et des Comptes publics. Des chercheurs de l’Ires de l’université de Lille ont réévalué ce montant à 157 milliards d’euros pour l’année 2019.

          Comment se représenter des sommes aussi monstrueuses ? Prenons quelques exemples… 157 milliards d’euros d’aides publiques aux entreprises du CAC40, c’est :
– l’équivalent de 6,4 % du PIB,
– plus de 30 % du budget de l’État,
– presque 10 milliards d’euros de plus que l’ensemble des aides sociales (allocations familiales, pauvreté, chômage et aides au logement), pourtant régulièrement pointées du doigt et accusées de coûter « un pognon de dingue » à la collectivité.

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> un toubib bien dans son assiette ( Pr David Khayat anti nutri-score )

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          Le NUTRI-SCORE « n'apporte rien de plus que les valeurs nutritionnelles et peut même nous induire parfois en erreur. Son impact positif sur notre santé n'a jamais été démontré ». Dans son dernier livre, au titre alléchant, « L'ordonnance est dans votre assiette ! » (Plon), le professeur David Khayat cogne à grands coups de louche sur le fameux logo nutritionnel aux cinq couleurs, inventé par la France.

          Le cancérologue, qui s'est déjà fait épingler pour avoir été consultant du cigarettier Philip Morris, vient cette fois en aide à l'industrie agroalimentaire, farouchement opposée à un étiquetage permettant de repérer d'un seul coup d’œil les produits désastreux pour notre santé.

          Pour promouvoir son ouvrage, coécrit avec une communicante qui œuvre notamment pour une filiale du géant laitier Lactalis, détracteur notoire du Nutri-Score, Khayat égrène les contre-vérités comme un chapelet de saucisses. Ainsi, contrairement à ce qu'affirme le cancérologue, une centaine d'études scientifiques ont conclu à la pertinence et à l'utilité dudit logo. Sans compter le satisfecit du Centre international de recherche sur le cancer, qui le considère comme « le seul étiquetage nutritionnel apposé sur les emballages en Europe pour lequel des résultats scientifiques probants ont démontré son efficacité ».

          Le baratin du toubib est pile-poil celui servi par les gros fabricants italiens de fromage, de charcuterie et de confiserie. Les autorités transalpines, qui jugent le Nutri-Score trop pénalisant pour leurs industriels, ont tout fait pour empêcher un étiquetage européen calqué sur le logo français. Ainsi, le 27 octobre 2022, le représentant permanent de l'Italie à Bruxelles, flanqué du responsable de la Fédération italienne des industries alimentaires, rencontre le chef de cabinet de la Direction générale de l'agriculture de la Commission européenne.

          Dans le compte rendu de la réunion, que vient de récupérer, parmi d'autres documents, l'ONG Foodwatch, les Italiens hachent menu le Nutri-Score. Banco : quelques jours plus tard, ledit chef de cabinet fait savoir à son homologue à la Santé que le commissaire à l'Agriculture ne veut pas du logo aux cinq couleurs. Depuis, l’étiquetage nutritionnel européen, qui devait voir le jour fin 2022, a disparu de l'agenda de la Commission. Et, ça, ce n'est pas du baratin...

Si on en doutait encore, voilà à quoi sert cette union européenne de merde : elle existe uniquement pour le fric qui passe toujours avant la santé des populations et autres,...

 

> le gouvernement veut tester cet hiver une «limitation temporaire» de la consommation électrique

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          Cet outil permettrait d'éviter des coupures programmées en cas de tension extrême sur le réseau, selon le ministère de la Transition écologique.

          Le gouvernement prépare un projet de décret pour expérimenter cet hiver une «limitation temporaire» de la consommation d'électricité de milliers de clients résidentiels, un outil qui permettrait d'éviter des coupures programmées en cas de tension extrême sur le réseau, a indiqué vendredi le ministère de la Transition énergétique. « Ce projet de texte définit les modalités d'une expérimentation relative à la limitation temporaire de puissance électrique disponible pour des clients résidentiels», a déclaré le ministère à l'AFP, confirmant une information de La Tribune. Le ministère a d'emblée prévenu que ce projet d'expérimentation n'a «aucun lien avec la situation du système électrique pour cet hiver ».

          « Nous abordons l'hiver dans de bien meilleures conditions que l'hiver dernier », avec un «niveau de tension sur le système électrique (...) actuellement moindre que l'année dernière à la même période », grâce à une moindre consommation et à la remontée en puissance du parc nucléaire, a souligné le ministère. « La France est d'ailleurs exportatrice d'électricité depuis le début d'année 2023, à des niveaux proches de 2021 », alors qu'elle avait été importatrice nette sur la quasi-totalité de 2022, a-t-il relevé.

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> eau secours ! la pollution de moins en moins potable

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          Faut-il se méfier de l’eau du robinet ? Un directeur d’ARS recommande, dans un message confidentiel, de se préparer à boire de l’eau en bouteille.

 

 

A l'opposé de la quasi-impunité des énormes pollutions connues engendrées l'agro-alimentaire et de l'industrie, il va bien falloir un jour que les responsables de ces pollutions généralisées des eaux en France en rendent compte devant des tribunaux populaires, vivement la 6ème République !
 

> La Rochelle ferme plusieurs captages en eau potable après la présence d'un pesticide interdit en France

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          L'eau reste potable, assure le président de l'agglomération à France Bleu La Rochelle, car les taux détectés de chlorothalonil ne dépassent pas le seuil à partir duquel la molécule est classée cancérigène.

          L’agglomération de La Rochelle a décidé de fermer par précaution et à titre préventif des captages en eau potable le temps d'évacuer un pesticide interdit en France, rapporte France Bleu La Rochelle, mercredi 18 octobre. La présence de résidus de chlorothalonil R471811 a été détectée. On le retrouve notamment dans l'eau du robinet, dont la présence a été révélée en avril également dans de très nombreux captages en France.

          L’année de son interdiction, en 2020, le chlorothalonil était le troisième pesticide le plus utilisé en Charente-Maritime. Les taux détectés cet été dans l'agglomération de La Rochelle ne dépassent pas le seuil de trois microgrammes par litre, à partir duquel la molécule est classée cancérigène. L'eau reste donc potable, assure à France Bleu le président de l'agglomération et maire de La Rochelle, Jean-François Fountaine : "On vise un meilleur seuil de qualité et on n'est pas en situation critique, mais en toute transparence, on doit annoncer des traces de ce produit."

          L’Agence régionale de santé indique qu’il n’y a pas de restriction de consommation d’eau du robinet, y compris pour les personnes fragiles. "Elle enjoint l’agglomération à fournir une eau au robinet de qualité, c’est-à-dire aussi proche que possible du seuil de qualité de 0,1 microgramme par litre", indique le communiqué.

          L’agglomération a décidé de fermer plusieurs semaines seize forages situés dans la plaine d’Aunis, au moins "jusqu'à décembre" et de distribuer aux habitants uniquement de l’eau provenant de Coulonges et Saint-Hippolyte Eau17. Dans la plaine d'Aunis, certains forages présentaient des taux proches de deux microgrammes par litre, lors des derniers relevés. "Il va falloir passer quelque temps avant de réutiliser ces forages", a annoncé mercredi le président de l'agglomération. Car ces captages sont situés en profondeur, dans des nappes phréatiques, et les particules du fongicide mettent du temps à descendre dans les sols. Dans les prochains mois, des analyses régulières vont être réalisées pour suivre l’évolution de la présence du Chlorothalonil R471811 dans l’eau, avec une surveillance particulière des captages de l’Aunis.

          La collectivité anticipe aussi l’interdiction future d’autres pesticides et s'oriente vers une évolution du modèle agricole. "L'objectif, c'est qu'on poursuive demain ce travail avec le monde agricole et qu'on sanctuarise de façon plus ambitieuse des zones protégées des pesticides", avance Guillaume Krabal, vice-président de la Communauté d'agglomération de La Rochelle, chargé de l’eau potable. - source -

La plaine d'Aunis, aux mains de l'agro-alimentaire - qui en a rien à faire - est le territoire le plus pesticidé de France. Quant aux seuils acceptables, faut pas se leurrer, ils sont modifiés selon les besoins des industries,...

rappels sur ce sujet :

- des-taux-alarmants-de-pesticides-un-foyer-epidemique-de-cancers-infantiles-et-linaction-du-gouvernement

- records-de-france-des-pesticides-dans-lair-pres-de-la-rochelle-en-charente-maritime

 

> je ne vois plus beaucoup de papillons,...

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Papillons : révélateurs de l’état

          Ils sont connus de tous et font généralement la joie des enfants dans les champs. Pourtant, ils sont gravement menacés. Leur disparition serait, comme celle des abeilles, une catastrophe pour toute la chaîne alimentaire. Les papillons sont bien étudiés, notamment au Royaume-Uni, et présentent des réponses rapides aux changements environnementaux ; c’est pourquoi ils constituent une sentinelle pour la conservation des insectes.

          Les papillons forment l'un des principaux groupes d'insectes, avec environ 160 000 espèces connues dans le monde, dont 20000 de jour. Ces pollinisateurs, qui se distinguent par leurs ailes colorées recouvertes d'écailles, sont indispensables à la biodiversité et représentent un remarquable indicateur de l’état de l’environnement. Ils étaient déjà sur Terre il y a 200 millions d’années.

          Au Royaume-Uni, où ils sont mieux suivis qu’ailleurs grâce à une tradition des sciences participatives, près des deux tiers des espèces de papillons ont décliné depuis le milieu de la décennie 1970 : selon l’ONG Butterfly Conservation, pour l’ensemble des espèces étudiées, leur aire de répartition s’est réduite de 42% et leur abondance de 6% entre 1976 et 2019. Une moyenne qui cache plusieurs tendances contrastées.

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> le glyphosate est immortel

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          COURAGE, FUYONS ! Vendredi 13, tous les pays de l’Union européenne étaient appelés à voter à propos du glyphosate. Fallait-il, comme le propose la Commission, autoriser de nouveau pendant dix ans cet herbicide tue-tout, pas cher, classé « cancérogène probable » par l’OMS, décrété pas nocif par l’Efsa et dont l’autorisation s’arrête le 15 décembre ?

          La France, qui, en 2017, avait voté contre (on se souvient qu’alors Macron avait promis d’en sortir dans les trois ans), ne cessait de tergiverser, expliquant sans convaincre qu’il fallait (en même temps) prolonger le glyphosate, mais, bon, sept années, pas plus, tout en procédant à quelques restrictions de-ci de-là. De leur côté, l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique et les Pays-Bas avaient annoncé qu’ils voteraient contre ou s’abstiendraient.

          Si la France votait pour, la prolongation était adoptée. Contre, elle était retoquée. Résultat : la France s’est courageusement abstenue. Voter contre l’autorisation, c’était fâcher sévèrement les agriculteurs. Voter contre, c’était se mettre les écolos et nombre de scientifiques à dos. S’abstenir, voilà qui permet de jouer les Ponce Pilate : on se lave les mains tout en étant sûr du résultat.

          En effet, les Vingt-Sept ayant échoué à s’entendre, la suite est connue. En novembre aura lieu un deuxième vote. Si celui-ci ne dégage de nouveau aucune majorité, la décision finale reviendra à la Commission - le gouvernement de l’Europe. Elle fera alors comme le gouvernement français le fait à l’aide d’un vulgaire 49.3 : elle décidera de la prolongation. En l’assortissant du bla-bla habituel (sous conditions, avec un usage raisonné, raisonnable, etc.). Chez Bayer-Monsanto, le champagne est au frais. Bientôt, encore dix ans de gagnés. " J.-L.P.

Si on se demandait où était l'arnaque, " la décision finale reviendra à la Commission " car les 27 ne seront pas d'accord, évidemment... Et l'on sait que les intérêts financiers passent avant tout dans cette union européenne de merde !