l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> la grande gabegie de l'été 2024 : les conditions de travail et d'emploi

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          En 2023, un reportage de France 24 révèle que certains sous-traitants de Solideo emploient des travailleurs sans-papiers. Selon un syndicaliste, plusieurs sous-traitants seraient des sociétés turques qui se placeraient en liquidation en cas de problème. L'inspection du travail a créé une unité spécialisée qui a contrôlé près d'un site par jour depuis deux ans sans pouvoir mettre fin au phénomène. L'unité ne comprend que sept inspecteurs du travail pour plusieurs dizaines de sites et des milliers d’ouvriers, ce qui rend difficile son travail.

          En juin 2023, c'est Franceinfo qui rend public le procès aux prud'hommes que font plusieurs travailleurs contre une dizaine d'entreprises du BTP. Ces personnes expliquent avoir travaillé « sans contrat de travail, sans fiche de paie, sans congés payés ni heures supplémentaires », et avoir subi du chantage lié à leur condition de sans-papiers. Les entreprises concernées sont Eiffage, GCC, Spie Batignolles et Vinci, les principaux maitres d'ouvrage des chantiers des Jeux olympiques, ainsi que huit sous-traitants.

> toutes les autres infos sur ces jeux > wikipedia

> nos ancêtres...

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          Il y a quelques années, les Russes ont découvert des fils de cuivre à 1000 mètres sous terre, les analysèrent, les datèrent de plus de 3000 ans avant JC, et en déduisirent que leurs ancêtres disposaient déjà du téléphone.

          Les Américains, un peu vexés, creusèrent eux aussi et découvrirent à 1000 m des fragments de ce qui ressemblait à de la fibre optique datant de plus de 5000 ans avant JC : conclusion, leurs ancêtres maîtrisaient déjà internet.

          Les Français, pour ne pas être en reste, creusèrent à 500 mètres, puis 1000, puis 2000, mais ne trouvèrent rien. Ils en conclurent que nos ancêtres utilisaient déjà, il y a 10 000 ans, le téléphone portable.

🔨 BLOB du jour

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          « On recense officiellement 9.2 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté ( dont 2.2 millions ont un emploi ), plus de 5 millions sans emploi, auxquelles il faut ajouter les précaires. »

> les patrons obtiennent la création d’une amende pour vol à l’étalage

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          Le nombre de vol à l’étalage a augmenté de près de 15% l’année dernière. Il faut dire que se nourrir coûte 25% de plus qu’en janvier 2022 selon l’UFC Que Choisir. Au point que des dizaines de millions de personnes se privent de nourriture : la consommation alimentaire des ménages a chuté de 17% en un an et demi. Et lorsque l’on a rien a manger, chaparder pour se nourrir est juste de la légitime défense.

          D’autant que « la marge brute de l’industrie agroalimentaire s’est hissée au deuxième trimestre 2023 à 48,5% ». Un niveau jamais vu depuis 30 ans. Et que, de toute façon, les patrons de commerce répercutent les vols sur le prix de leur produit. Ils ne perdent rien. Pourtant, un syndicat de patrons, la Confédération des petites et moyennes entreprises – CPME – a obtenu une victoire symbolique cet été dans la guerre aux pauvres. À sa demande, une circulaire du ministère de la justice a été publiée le 6 juillet pour étendre le champ d’application de la procédure de l’amende forfaitaire délictuelle pour les vols à l’étalage. En clair, pour le vols simple « d’une chose dont la valeur n’excède pas 300 euros », une amende forfaitaire délictuelle de 300 euros sera délivrée et majorée à 600 euros en cas de retard de paiement.

          Cette circulaire instaure « une procédure simplifiée, permettant au policier ou au gendarme qui constate l’infraction de prononcer directement une sanction pénale, sans juge ni procès ». Sauf que 300 euros, c’est énorme. Surtout quand on a faim.

          Le 30 août, la CPME publiait un communiqué triomphal, se vantant d’avoir obtenu « gain de cause ». Interrogé, un patron déclarait « Ils volent des alcools, du vin, parfois du chocolat… Sur le mois, ça peut représenter 2-3% du chiffre d’affaires ». Un fléau terrible, comparé aux 100 milliards d’euros d’évasion fiscale estimés. Ce gérant est content : « C’est dissuasif. Ça évite la procédure, le problème se règle sur place ». Avec tous les risques d’abus de pouvoir que cela comporte.

           Avec le néolibéralisme autoritaire, les problèmes sociaux ne sont traités que par la répression. Les pauvres ont faim ? Punissons-les plus fort. Ils réclament des retraites décentes ? Écrasons-les. C’est dans cette logique que le macronisme impose 15 heures de travail forcé par semaine en échange du RSA alors que la misère explose, et instaure une forte amende « simplifiée » pour des voleurs de pomme. - source -

néolibéralisme autoritaire ? non, dictature qui ne dit surtout pas son nom ! Pour les pauvres, il ne reste plus que les poubelles ! D'autant plus que les amendes sont toujours payables et qu'une personne en difficulté financière ne pourra évidemment jamais les payer donc aura une dette qui gonflera de jour en jour et restera toujours dans la pauvreté...

Et, du côté du royaume macroniste :

Alors que des rumeurs circulent sur le coût supposé du luxueux repas organisé lors de la visite du roi d’Angleterre Charles III, l’Élysée refuse de donner un chiffre. Le dîner de Versailles a-t-il coûté « 6,27 millions d’euros au contribuable » ? De fait, les autorités n’ont pas, à ce jour, communiqué le prix de ce dîner en grande pompe, où 160 invités triés sur le volet ont pu se délecter, dans la galerie des Glaces, d’un menu à base de homard bleu, de volaille de Bresse et de macarons. (...) - source -

 

> le rapport sur l’état des services publics

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          En croisant les regards d’une centaine d’agentes et d’agents de terrain, de chercheuses et de chercheurs, de cadres de l’administration, de citoyennes et de citoyens, Le rapport sur l’état des services a pour ambition de poser un diagnostic sur les principales évolutions des services publics au cours de ces dernières décennies.

          Le collectif Nos services publics retrace donc les transformations des services publics de santé, d'éducation, de transport, de justice et de sécurité, leur fonctionnement et les finances publiques, sur les dix à quarante dernières années.

          Le collectif a choisi de mettre en évidence les transformations structurantes sur le temps long afin de comprendre l’évolution des besoins de la population (démographie, éducation, épidémiologie...) et d’analyser comment se transforment les modalités de leur prise en charge par la puissance publique.

           Ce rapport met en évidence les conséquences d'un décalage croissant entre les besoins sociaux et les moyens des services publics : développement des inégalités, espace grandissant pour le secteur privé, et ruptures avec les agents publics comme avec la population.

SYNTHESE

          Les besoins sociaux ont augmenté et évolué, souvent d'ailleurs du fait de la réussite, de l'échec ou des effets imprévus des politiques publiques passées

          Les services publics ont été amenés à s’adapter pour répondre à l’évolution de ces besoins, les efforts engagés ont été insuffisants pour les prendre en charge de manière satisfaisante. Bien qu’ils aient été sporadiquement renforcés, les moyens des services publics augmentent depuis vingt ans moins rapidement que les besoins sociaux, et l’écart entre les premiers et les seconds tend à s’aggraver.

          Cet écart croissant entre les besoins de la population et les services publics conduit à l’existence, dans tous les secteurs, d’un espace grandissant pour une offre privée, désocialisée, de prise en charge des besoins. Fortement subventionnés, voire totalement solvabilisés par la puissance publique, ces services privés se développent sur des segments précis : les enfants de familles à fort capital culturel dans les écoles privées sous contrat, ou encore les actes médicaux les plus facilement programmables dans les cliniques privées.

          Les services publics sont également de moins en moins à même de remplir leur mission de réduction des inégalités dans la société. Le rapport des citoyens aux services publics se dégrade. Si l’attachement de la population aux grands services publics est réel, la confiance pratique qu’elle accorde à ces services est amoindrie. Les agents publics assistent, au premier rang, à cette détérioration du lien entre services publics et population, autant qu’ils en subissent directement les conséquences dans leur travail.

► pour lire la suite...

> un secret de plus en plus contagieux

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          Mis à toutes les sauces, le « secret-défense » se révèle bien commode pour planquer les informations gênantes. Le dossier des stocks de vaccins antivarioliques constitue un bon exemple. Au début des années 2000, l’État s’était vanté de disposer de dizaines de millions de doses. Quelques années plus tard, le silence est de mise, et les réserves sont classées secret-défense. Explication : le contenu des chambres froides s’est périmé entre temps, et celles-ci n’abritent plus que quelques centaines de milliers de vaccins utilisables.

          La particularité de la règle du secret ? Sa mise en branle n’est contrôlée par aucun magistrat ni aucune autorité indépendante. Il existe bien une Commission du secret de la défense nationale, mais elle n’émet que de simples avis sur les demandes de déclassification présentées par des magistrats ayant besoin de pièces pour mener à bien leur enquête. Un journaliste qui voudrait accéder à un document protégé peut, certes, tenter sa chance devant la justice administrative, mais prière d’être patient : un chercheur a dû poireauter quatre ans avant que le Conseil d’État l’autorise à consulter des archives secrètes sur le Rwanda et datant des années 90-95...

          Autre curiosité : l’estampille « secret » peut être apposée a posteriori pour empêcher un juge de fourrer son nez dans un dossier. En clair : l’Intérieur ou les Armées peuvent classifier un papelard juste après avoir reçu la demande de communication d’un magistrat.

          Extensible à l’infini, le principe du secret-défense s’étend aussi à l’identité de nombreux fonctionnaires. Une journaliste du « Monde » a ainsi été convoquée par la DGSI (Renseignement intérieur) en 2019 pour avoir évoqué le rôle joué dans l’affaire Benalla par Chokri Wakrim, un militaire ayant servi dans les forces spéciales. En vertu d’une loi votée en 2016 sous François Hollande qui réprime « la révélation ou la divulgation de toute information pouvant conduire, directement ou indirectement, à l’identification d’une personne comme membre des forces spéciales », la consœur risquait jusqu’à cinq ans de prison. Des règles de protection identiques s’appliquent aux fonctionnaires de la DGSI et de la DGSE (Renseignement extérieur).

          L’épidémie a contaminé de nombreux parquets, qui, désormais, refusent de divulguer l’identité des juges d’instruction habilités à prendre connaissance des documents classifiés. A ce train-là, les magistrats vont finir par siéger une cagoule sur la tête, au nom du « secret-défiance »... H. L.

Quand l'enfumage ne passe plus, le secret est de rigueur dans une dictature...

 

> sécurité sociale : le gouvernement annonce 3,5 milliards d'euros d'économies sur le budget 2024

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          Le gouvernement espère notamment faire 1,25 milliard d'euros d'économies lié à la "responsabilisation" des professionnels et patients. Le gouvernement a annoncé, mercredi 27 septembre, avoir trouvé 3,5 milliards d'euros d'économies sur les dépenses d'assurance-maladie lors de la présentation de son projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2024. Dans le détail, le gouvernement vise 1,3 milliard d'économies sur les produits de santé (essentiellement des baisses de prix des médicaments), 240 millions sur les soins de ville (en particulier les labos d'analyse) et 1,25 milliard lié à la "responsabilisation" des professionnels et patients.

          Pour lutter contre l'explosion des dépenses liées aux arrêts-maladie, le gouvernement veut par exemple renforcer les pouvoirs de contrôle de l'Assurance-maladie et des entreprises. Le médecin contrôleur mandaté par l'employeur pourra suspendre le versement des indemnités aux patients lorsqu'il estime l'arrêt injustifié,(*) avec une possibilité de recours de l'assuré. Le texte limite aussi à trois jours la durée des arrêts prescrits par téléconsultation (sauf exceptions, notamment pour le médecin traitant).

         Autre mesure pour faire des économies, les patients seront désormais incités à partager leur transport sanitaire. Les patients qui refuseront, sans raison médicale valable, devront faire l'avance de frais, et ne seront remboursés que sur la base du prix d'un transport partagé. De plus, en cas de ruptures d'approvisionnement sur un médicament, la délivrance à l'unité pourra désormais être rendue obligatoire par arrêté. Les pharmaciens devront alors délivrer "la quantité adaptée" plutôt qu'une boîte entière.

          Côté nouvelles dépenses, les protections périodiques réutilisables, c'est-à-dire les culottes et coupes menstruelles, seront à présent remboursées pour les femmes de moins de 26 ans et toutes les bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire. Le texte grave aussi dans la loi la gratuité des préservatifs pour tous les assurés de moins de 26 ans. - source -

Quoi ? le médecin mandaté par l'entreprise sera le contrôleur du médecin de famille ? le médecin de l’entreprise aura le pas sur le médecin de famille ? le médecin mandaté de l'entreprise, payé par l'entreprise ( ou le MEDEF ) donc à ses ordres, ne verra que les intérêts de l'entreprise au détriment certain du malade et ce, avec un recours qui prendra des mois ou des années !!! C'est quoi cette ignoble super-merde macroniste ??? D'un autre côté, cela ne tombe pas du ciel, tout est déjà prêt, des entreprises de contrôles médicaux sévissent déjà en France :

  • https://www.mediverif.fr/ : ... " Face à l'explosion des arrêts de travail (accidents du travail, maladies professionnelles, arrêts de travail de complaisance) et les pertes financières qui en résultent, la lutte contre l'absentéisme est plus que jamais devenu un enjeu majeur."...
  • https://www.controle-medical.com/ : ... " Découvrez les avantages de la contre visite médicale pour lutter contre les cas d'arrêt maladie abusif et commencez dès maintenant à réduire l'absentéisme au travail dans votre entreprise. "...

Et, pour tenter d'éviter aux médecins contrôleurs les accès de rage des patients dont le médecin de famille a été désavoué et dont l'arrêt maladie et les indemnités journalières de sécu ont été ainsi supprimés, la macronie va pondre une loi pour créer le délit d'outrage à personnel de santé !

        (*) Une connaissance, fonctionnaire, a fait l'objet d'un contrôle médical suite à une cure thermale. Le médecin de l'administration ( qui a précisé lors de ce contrôle qu'il était là pour uniquement défendre les intérêts de l'administration ) a estimé ( évidemment ) que cette cure n'avait pas lieu d'être. Cette connaissance s'est donc vu retirer 18 jours de congés annuels. Sur son recours, un expert rhumatologue a été désigné, lequel, après consultation, s'est fortement étonné de la conclusion du médecin de l'administration car l'état de santé de cette connaissance ne prêtait à aucune confusion médicale. Les 18 jours de congés annuels ont été re-crédités à cette connaissance...

D'autre part, pour le reste, je ne suis pas le seul à le penser, loin de là :

commentaire 1 : " Donc 3,5 milliards de dépenses transférées aux mutuelles. Petit à petit la privatisation de la santé se met en place."

commentaire 2 : " Privatisation via les mutuelles (qui s'occupent aussi des animaux de compagnie), fraudes en tous genres, manque d'usines pour les médicaments et le matériel, pénurie (organisée de longue date) de médecins généralistes, spécialistes.... Bientôt la Carte Vitale "Gold" et "Platine" ?"

commentaire 3 : " Après avoir détruit nos fleurons industriels au bénéfice de la Chine et des États-Unis, Macron avec l'aide de l’Europe s'attaque à un des derniers piliers de notre unité nationale, la sécu. Il ne restera plus rien après son passage et notre pauvre nation ne sera plus qu'un territoire de désolation et de soumission. "

 

> La France a enregistré en 2022 son plus faible nombre de naissances depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale

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          Avec moins de 726 000 nouveau-nés l'an dernier, le recul entamé depuis le début des années 2010 se confirme. Il risque de s'aggraver encore en 2023, avec un fort repli déjà enregistré au premier semestre.

          La dégringolade s'accentue. Le nombre de naissances enregistré en France a atteint, en 2022, son niveau le plus bas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, a révélé, jeudi 28 septembre, l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). L'an dernier, 725 997 bébés sont nés dans le pays, soit un recul de 2,2% en un an. Ce repli vient confirmer une "tendance à la baisse" observée depuis une dizaine d'années, seulement marquée par un rebond ponctuel en 2021 expliqué par les "confinements et déconfinements dus à la crise sanitaire", selon l'Insee.

          Le recul des naissances en 2022 a été particulièrement prononcé durant la seconde moitié de l'année, note l'Insee. "Cette baisse se poursuit au début de l'année 2023", alerte l'organisme public, qui a enregistré un effondrement de 6,8% au premier semestre par rapport à la même période en 2022.

          Toutes les tranches d'âge des mères sont concernées par la baisse de la natalité l'an dernier, à l'exception des 40 ans et plus, toujours plus nombreuses à donner la vie (+3,3%). La plus forte diminution est constatée chez les mères de 30 à 34 ans (-3,6%) et plus globalement chez les 25-34 ans, "âges auxquels les femmes sont les plus fécondes", relève l'Insee. L'âge moyen des mères à la naissance s'établit désormais à 31,2 ans, contre 30,2 ans une décennie plus tôt. Les naissances hors mariage continuent de progresser, représentant 65% du total (contre 57% en 2012).

          A l'échelle régionale, le recul des naissances est notable dans le Grand Est (-3,2%) et en Bretagne (-3,1%), ainsi qu'en Guyane (-5%) et en Martinique (-3,7%). Seules la Corse (+0,8%) et Mayotte (+1,5%) affichent une évolution positive.

          Au plan international, notre pays reste malgré tout un bon élève en matière de natalité, souligne l'Insee. La baisse dans l'ensemble de l'Union européenne a été plus de deux fois plus forte qu'en France en 2022 (-4,9%), dépassant même les 10% en Estonie et en Grèce. Chez nos voisins, la baisse a été de 7,1% en Allemagne, 6,7% aux Pays-Bas, 3,6% en Belgique, 2,1% en Espagne et 1,9% en Italie. - source -

Excellente nouvelle ! Les français ont donc pris conscience qu'un futur enfant serait un futur esclave au sein d'une dictature vérolée... Et, s'il la France "reste un bon élève en matière de natalité", c'est simplement parce que, de plus en plus de gueux tombant dans la misère, les alloc. leur permettent de surnager ( quelques temps ) !

 

> la vidéosurveillance algorithmique pourrait être prolongée « si elle fait ses preuves »

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          « Il n’y aura aucune prolongation de cette expérimentation sans une évaluation précise, transparente, de son efficacité au regard des enjeux de sécurité de notre pays », a expliqué la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra dans l’émission Dimanche En Politique, sur France 3, relève Numerama.

          Relancée pour savoir ce qu’il adviendra de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) après les J.O., la ministre a concédé qu’une prolongation serait possible, « si elle fait ses preuves et avec des garanties, elle pourra être utilisée pour de grands événements », tout en rappelant que « 28 garanties » visent à encadrer ces dispositions.

          L'expérimentation, qui a expressément exclu le recours à la reconnaissance biométrique faciale, prévoit d'être utilisée pour identifier un nombre fini d'« évènements prédéterminés » :
- présence ou utilisation d'armes ;
- non-respect par une personne ou un véhicule, du sens de circulation commun ;
- franchissement ou présence d'une personne ou d'un véhicule dans une zone interdite ou sensible ;
- présence d'une personne au sol à la suite d'une chute ;
- mouvement de foule ;
- densité trop importante de personnes ;
- départs de feux.  - source -

Quel étonnement ! Comme si la macronie allait installer des systèmes onéreux de contrôles renforcés de la population pendant les JO et ensuite les mettre à la poubelle. Bien au contraire, quelle belle occasion pour installer, tester ces systèmes, les mettre au point puis en équiper le moindre recoin de France . La dictature macroniste va se passer ensuite de tels moyens ?...