l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

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> « gardes à vue abusives » : trop de manifestants sont interpellés « sans distinction »

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          Dans une lettre adressée au ministre de l’Intérieur, la contrôleure générale des lieux de privation de liberté dénonce des gardes à vue abusives. Gérald Darmanin lui répond.

          Dominique Simonnot, la contrôleure générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), a écrit au ministre de l’Intérieur pour lui faire part de " sa vive inquiétude " concernant le recours abusif aux gardes à vue, lors des manifestations. Les 24 et 25 mars 2023, trois équipes de la CGLPL ont visité neuf commissariats parisiens dans lesquels 785 personnes avaient été placées en garde à vue. Elles y dénoncent des conditions d’hygiène indignes : " Dans les commissariats des IXe et Xe arrondissements, les toilettes étaient, au jour des visites, d’une saleté et d’une odeur repoussantes. " Et ce, alors que la majorité des gardés à vue y ont passé près de vingt-quatre heures, période durant laquelle elles ont dû se plier à des fouilles en sous-vêtements, " alors qu’elles avaient déjà fait l’objet d’une palpation avant leur transport au commissariat »."

          La CGLPL note que les fiches d’interpellation ont été succinctement remplies par les policiers avec, parfois, comme motif que les gardés à vue " portaient des vêtements sombres, une capuche ou avaient des cheveux noirs ".

          Selon la loi, le recours à une garde à vue est pourtant justifié par " l’existence d’un soupçon caractérisé quant à la commission d’une infraction ou d’une tentative d’infraction ". Mais les équipes de la CGLPL ont découvert que certains policiers avaient " eu pour consignes et ordres hiérarchiques d’interpeller sans distinction des individus se trouvant dans la rue… "

          Dominique Simonnot rappelle que ce recours massif, à titre préventif, à la privation de liberté, afin d’assurer le maintien de l’ordre, " n’est prévu par aucun texte du droit français ". Au bout du compte, 80 % des procédures liées aux personnes interpellées ont été classées sans suite et les personnes qui ont été présentées à un magistrat, ont fini par quitter libre le tribunal, faute d’éléments prouvant une quelconque infraction.

          « Plusieurs personnes étaient manifestement traumatisées par les conditions de leur interpellation : […] tutoiement systématique, injures, menaces. » Or, comme le rappelle Dominique Simonnot, il n’existe « aucun recours contre une mesure de garde à vue abusive ».

          Dans sa réponse en date du 2 mai, consulté par l’AFP, le ministère de l’Intérieur Gérald Darmanin fait valoir que la contrôleure « excède ses compétences, notamment lorsqu’elle dénonce une instrumentalisation des mesures de garde à vue à des fins répressive ».

          Depuis le début des manifestations contre la réforme des retraites, selon le ministère de la Justice, 2 623 personnes ont été placées en garde à vue (hormis les manifestations du 1er mai 2023), 515 ont été déférées devant un magistrat et 250 ont été convoquées devant le tribunal. - source -

Ce n'est qu'une des applications visibles de la dictature macroniste... même si "on" vous répète en long, en large et en travers, dans tous les médias aux mains des milliardaires, que l'on est en "démocratie" ! Aujourd’hui, sous le joug de la macronie, la police met en prison pour 24 ou 48 heures qui elle veut et sans raison légale,... Là encore, on peut se demander à quoi joue exactement la "justice" de notre pays.

 

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> avec une retraite à 905 euros, Jacques, 80 ans, doit retourner travailler pour boucler ses fins de mois

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          À 80 ans, ce retraité doit compenser la faiblesse de son indemnité en retournant travailler 15 ans après avoir mis un terme à sa vie professionnelle.

          Jacques, 80 ans vit en Corbeil-Essones au sud de Paris, interrogé par Le Parisien, il raconte son expérience en tant que retraité en emploi. Lui et 495 000 retraités cumulent retraite et emploi, par manque de moyens pour boucler les fins de mois sereinement.

          Entre 14 et 65 ans, Jacques a travaillé dans le BTP, lui donnant accès à 905 euros d'indemnité retraite par mois. Un montant insuffisant pour le retraité, qui, lorsqu'il règle toutes ses factures, lui reste 30 euros.

          Le retraité, qui, il y a 5 ans s'en sortait pourtant, doit aujourd'hui faire face à l'inflation et l'augmentation des prix. L'Insee affirme que "plus d’un Français sur dix de plus de 65 ans vit avec moins de 1 102 euros par mois, sous le seuil de pauvreté" nous apprend Le Parisien.

          Malgré son âge, Jacques se rend donc pour travailler dans un supermarché. Claude, le directeur, le sait, le port de charges lourdes, activité principale du métier, ne correspond pas vraiment aux capacités de Jacques, mais il sait aussi combien cela peut être difficile d'être retraité et de manquer de moyen, alors il l'embauche par solidarité. Jacques reste un cas exceptionnel, parmi tous les travailleurs français, le taux d'emploi des plus de 75 ans est de 0,75%.

          Le récent passage du projet de réforme des retraites va provoquer des changements pour les personnes voulant cotiser en travaillant. À compter du 1er septembre 2023, les personnes touchant une retraite à taux plein pourront se remettre à cotiser s’ils reprennent un emploi. - source -

Elle est belle la société organisée et établie par cette union européenne de merde ! Pour votre bonheur ? Que nenni pour le bonheur des riches et de la finance, exclusivement, qui prennent d'ailleurs des centaines de milliards dans le fond des poches des populations qui elles, paient sans détours et crèvent à petit feu...

Les statistiques de l'INSEE ( et de bien d'autres ) sont, bien sûr, "arrangées" pour satisfaire le pouvoir en place. Selon d'autres sources, le chiffre d'environ 12 millions de personnes en situation de vraie pauvreté serait plus juste...

exemple sur "... Jacques reste un cas exceptionnel, parmi tous les travailleurs français, le taux d'emploi des plus de 75 ans est de 0,75%...". Il serait fort possible que ce chiffre grimpe à 7, 9 ou 15% pour les plus de 72 ans ?...

 

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> le groupe français Tereos, et autres, pulvérisent des pesticides interdits au Brésil

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          Au Brésil, les multinationales du sucre procèdent à de vastes épandages aériens de pesticides hautement toxiques et écocides. Le 25 avril, un consortium de médias internationaux a dévoilé des archives jusqu’ici bien dissimulées des regards. Conservées par le ministère brésilien de l’Agriculture, elles détaillent l’étendue et la fréquence des pulvérisations de pesticides sur les champs de canne à sucre, et les plantations d’orangers dans ce pays d’Amérique du Sud.

          Le groupe français Tereos, qui y cultive 300 000 hectares de cannes à sucre pour une production de 1,6 million de tonnes de sucre pour la récolte 2022-2023, est l’une des multinationales épinglées. Il a fait épandre de l’Actara 750 SG, dont le principe actif est interdit depuis 2019.

          Les autres exploitations sucrières concernées, qui fournissent notamment le groupe Nestlé, ont aussi fait usage du pesticide Opera. Le principe actif de celui-ci est interdit par l’Union européenne, précisent les journalistes de Mediapart, The Guardian, Die Zeit, Reporter Brasil et du média à but non lucratif Lighthouse Reports. Certains produits sont répandus sur des surfaces dépassant parfois 400 hectares.

          Récemment, une étude a été menée par l’université fédérale de Santa Catarina, sur soixante-trois villes concernées par les campagnes d’épandage en 2019. Celle-ci dévoile une corrélation possible entre la pulvérisation de ces pesticides à proximité des logements et une forte incidence de cancers, dans l’État de São Paulo. « Lorsque l’exploitation pulvérise un herbicide puissant, elle finit par tout brûler — notre herbe, nos fruits, nos animaux, nous-mêmes », témoigne dans l’enquête Bianca Lopes, une organisatrice communautaire locale. - source -

Bah ! ils ne font que finir d'épandre leurs immenses stocks, comme cela a été autorisé pour d'autres par l'union européenne de merde, et, des stocks, qui curieusement ne s'épuisent que très très lentement, il y en a au moins pour 10 ans... Quant à la santé publique, ils s'en fichent éperdument autant que Macron...

(...) En octobre 2020, le groupe, qui milite activement avec les autres betteraviers français pour une autorisation des néonicotinoïdes, interdits en France depuis 2018, obtient le vote d'une loi dérogatoire permettant aux betteraviers son utilisation jusqu'en 2023.

(...) La journaliste Anne-Laure Chouin estime en 2019 qu'en France, plusieurs coopératives agricoles, dont Tereos « se sont éloignées de leurs vocations initiales pour devenir des multinationales aux filiales opaques ». La création de nombreuses filiales a accompagné ce développement rapide de Tereos et pose des soucis de transparence et d'optimisation fiscale, dans un contexte de raréfaction des moyens de contrôle sur les coopératives (...) - wikipedia -

 

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> les recettes de glaces de nos grand-mères

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