l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

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> l’Espagne va récolter 6 milliards d’euros via la taxe sur les superprofits de la finance et de l’énergie

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          En plus de ces taxes sur les superprofits, le gouvernement Espagnol a mis en place un impôt de solidarité sur les grandes fortunes pour faire progresser la « justice fiscale » et lutter contre les inégalités

          La ministre des Finances espagnole María Jesús Montero a présenté la première récolte des taxes exceptionnelles sur les superprofits des groupes financiers et énergétiques : 1,45 milliards d’euros pour la première moitié. Au total, l’Espagne prévoit de collecter 3 milliards d’euros cette année, et autant l’an prochain, qu’elle redistribuera à la population sous forme d’aides. Durant une conférence de presse mardi 21 février à Madrid, Mme Montero a dévoilé que le premier acompte de la taxe exceptionnelle pour les entreprises du secteur de l’énergie a permis de collecter 817,4 millions d’euros et 637,1 millions d’euros pour le secteur bancaire.

          Les deux taxes sont « tout à fait raisonnables » pour ces deux secteurs qui ont réalisé des bénéfices de 20,5 milliards d’euros pour les grandes banques, une hausse de 25 % par rapport à l’année précédente, et 12 milliards d’euros pour les entreprises énergétiques en 2022, une augmentation de 43% par rapport à 2021. Certains groupes énergétiques n’ayant révélé que leurs résultats jusqu’à septembre 2022, ces chiffres sont de surcroît en-dessous de la réalité.

          C’est pourquoi la collecte des deux taxes est « un montant assumable » pour toutes ces entreprises. La taxe « ne peut pas être considérée comme confiscatoire, elle est totalement proportionnée ». La ministre a rappelé que le gouvernement avait sauvé de nombreuses banques espagnoles lors de la crise financière de 2008.

          Le Premier ministre Pedro Sanchez avait surpris les marchés l’année dernière en lançant une taxe de 4,8% sur les bénéfices réalisés par les entreprises énergétiques et financières pendant deux ans, dans le cadre d’un ensemble de mesures politiques pour compenser l’aggravation de la crise du coût de la vie pour la population espagnole.

          Cette taxe, conçue pour compenser l’impact inégal de la flambée de l’inflation (qui a dépassé 10% en 2022), devrait durer deux ans et est perçue deux fois par an. Un deuxième versement devrait donc avoir lieu dans le courant de l’année 2023, et deux autres en 2024.

          Le gouvernement espagnol espère collecter au total plus de 6 milliards d’euros sur ces deux années.

          Une opération de redistribution des richesses qui n’est pas au goût du secteur bancaire. Les banques espagnoles ont décidé d’attaquer le gouvernement espagnol en justice en déposant deux recours auprès de la Haute cour d’Espagne pour contester l’arrêté ministériel approuvant le paiement anticipé de la nouvelle taxe bancaire. La même demande émise par l’énergéticien Repsol a pourtant déjà été refusée par la justice.

          De surcroît, cette mesure pourrait bien devenir permanente et être renforcée, suite à la décision de l’UE d’adopter un impôt minimal de 15% sur les multinationales. Censé entré en vigueur le 31 décembre 2023, cet impôt s’appliquera aux entreprises qui réalisent un chiffre d’affaires supérieur à 750 millions d’euros par an.

          (...) En plus de ces taxes sur les superprofits, le gouvernement Espagnol a mis en place un impôt de solidarité sur les grandes fortunes pour faire progresser la « justice fiscale » et lutter contre les inégalités, a rappelé la ministre. Ce tribut sera prélevé auprès des 23 000 particuliers fortunés en Espagne, à partir de 3 millions d’euros de patrimoine net.

          (...) Une centaine d’eurodéputés viennent d’ailleurs d’abonder dans le sens de l’ISF en réclamant l’instauration d’un impôt international progressif sur l’extrême richesse. « En France, pays pourtant réputé pour son niveau élevé de taxation, les 370 plus riches familles ne sont effectivement taxées qu’autour de 2 % à 3 % » rappellent-ils.

          Enfin, le gouvernement espagnol vient de conclure un accord dans lequel il met à contribution les plus hauts revenus pour financer le système de retraites, face à une population vieillissante. L’âge légal de départ à la retraite est fixé à 66 ans et passera à 67 ans en 2027. Cependant, la durée de cotisation est très inférieure à celle fixée en France : en 2022, pour partir à 65 ans, il fallait cotiser 37,5 annuités contre 42 (et bientôt 43) en France pour une pension complète.

          En Espagne, le montant total de ces différents plans d’aide a été évalué à près de 30 milliards d’euros par M. Sánchez, soit l’équivalent de 2,3 % du produit intérieur brut (PIB) du pays. (...) - source -

Pendant ce temps-là en France : 

 

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💩 les réformes des retraites ont été activées par la Commission européenne dès 2019

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Neuf pays de l’UE auraient besoin de réformer leur système de retraite

          Neuf États membres de l’UE ne se sont pas explicitement engagés à réformer leur système de retraite dans leurs plans de relance et de résilience, et ce malgré les recommandations de la Commission en la matière formulées lors du Semestre européen de 2019, selon des documents et déclarations de la Commission transmis à EURACTIV.

          En 2019, au cours du Semestre européen, 17 États membres de l’UE ont reçu des recommandations sur la « viabilité à long terme des finances publiques ». Il a été recommandé aux 15 États membres de réformer spécifiquement leurs systèmes de retraite. Certains d’entre eux ont de nouveau été invités à mener les réformes de leur système de retraite en cadre du plan Next Generation EU et encore en 2022.

         Contactée par EURACTIV, la Commission estime que seuls six des 15 pays ont « explicitement » prévu de réformer leurs systèmes de retraite respectifs, tandis que les neuf autres sont en retard, ou plutôt ne se sont pas officiellement engagés. Il s’agit de la République tchèque, l’Allemagne, la France, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, Malte, les Pays-Bas et la Pologne.

          Pour ces États membres, les réformes permettraient « d’améliorer la viabilité budgétaire », même s’ils sont « identifiés comme présentant des risques pour la viabilité des finances publiques en raison du vieillissement des habitants », a déclaré récemment la Commission à EURACTIV. La Commission considère « qu’ils devraient assurer le suivi des recommandations spécifiques […] et des engagements pris dans leurs plans de relance et de résilience » pour « limiter l’impact budgétaire du vieillissement des habitants ».

L’Allemagne, bien qu’elle ait accepté de prendre des mesures pour augmenter progressivement l’âge légal de la retraite à 67 ans d’ici 2031, doit procéder à des « ajustements additionnels » pour préserver le système de retraite à long terme, selon la Commission. Actuellement, le pays discute de mesures visant à augmenter le montant des pensions et la stabilité de ce montant à l’avenir, car les mesures liées à l’âge n’ont pas fait partie de la campagne électorale du chancelier Olaf Scholz.

La France n’a pas formalisé ses projets de réforme des retraites dans les documents budgétaires transmis à la Commission, mais l’institution note la volonté du gouvernement français de mener une « réforme ambitieuse », qui devrait notamment augmenter l’âge légal de la retraite de 62 à 64 ou 65 ans. Cependant, les recommandations de la Commission pour la France se concentrent principalement sur la nécessité de « normaliser progressivement les règles des différents systèmes de retraite afin de renforcer l’équité du système tout en soutenant sa viabilité ». Cela présente également un intérêt pour le gouvernement français. Ces systèmes spéciaux sont nombreux et permettent un départ à la retraite plus précoce ou un calcul plus avantageux du montant de la pension. Le sort de la réforme dépend toutefois du consensus qui pourrait se dégager au parlement, où la coalition du président Macron n’a pas la majorité absolue et doit obtenir les voix de la droite pour faire passer le texte.

En République tchèque, il existe une volonté politique de réformer le système de retraite en 2023 ou 2024 et de faire augmenter l’âge de départ à la retraite, qui est actuellement de 63 ans, conformément aux recommandations de la Commission, même si cela n’a pas encore été rendu officiel.

L’Italie a des « déséquilibres [fiscaux et macroéconomiques] excessifs », mais le Semestre européen ne propose pas de nouvelles réformes des retraites. Le pays pourrait se concentrer principalement sur des recommandations fiscales, qui pourraient avoir un meilleur effet. Certes, la réforme « Fornero », modifiée en 2019, a déjà établi l’âge de départ à la retraite à 67 ans. Certaines mesures qui visaient à établir des mécanismes de retraite précoce, mises en œuvre sous le gouvernement de Giuseppe Conte à la demande de Matteo Salvini, sont censées être temporaires. À présent, le gouvernement de Giorgia Meloni vise l’âge de départ à la retraite de 62 ou 63 ans, ou la garantie d’une pension à ceux qui ont cotisé pendant 41 années, quel que soit leur âge.

Toutefois, le rapport « Perspectives de l’OCDE sur les pensions 2022 » souligne que, d’une manière générale, les systèmes de retraite italiens devraient s’améliorer et que l’incertitude économique et financière actuelle et l’augmentation du coût de la vie pourraient avoir incité les responsables politiques et les autorités de réglementation à reporter les réformes.

          La retraite précoce est également préoccupante au Luxembourg et à Malte, selon la Commission.

          « Réformer les régimes de retraite préférentiels » est également nécessaire en Pologne, selon la Commission qui a réitéré sa recommandation de 2019 qui se poursuit, selon elle, sans être respectée.

En Pologne, il existe des régimes de retraite spéciaux en fonction de la profession. Par exemple, les policiers, les journalistes et les juges peuvent solliciter une retraite précoce à la suite de 25 années de cotisations, alors que la moyenne est de 33,6 années pour le reste des habitants.

          Pour les autres pays, l’UE n’a pas formulé de recommandations spécifiques sur le système de retraite. En effet, ces pays ont déjà un âge de départ à la retraite d’environ 65 ans, ou visent à l’atteindre dans les années suivantes. Ce sera le cas en Finlande et en Bulgarie d’ici 2027 et également en Autriche, alors qu’en Suède, l’âge moyen de départ à la retraite se situe déjà entre 64 et 65 ans.

          L’une des seules exceptions est la Slovénie, où l’âge de départ à la retraite est de 61 ans et six mois pour les femmes et de 62 ans et huit mois pour les hommes. Le pays ne prévoit pas de présenter de réformes liées à l’âge à ce stade et ne fait pas l’objet de recommandations spécifiques qui ont déjà été respectées en 2019.

          La réforme des retraites dans l’UE est toujours nécessaire, en particulier en raison de « l’augmentation rapide des coûts du vieillissement », mais également « d’autres défis urgents », a déclaré la Commission. Elle a expliqué à EURACTIV que « les marges budgétaires sont souvent insuffisantes pour les absorber de manière durable ». ( article de décembre 2022 :  source )

J'ai l'impression qu'on se trompe de cibles en France et dans l'union européenne, les abjects et infâmes responsables de ces réformes des retraites européennes et de l'augmentation forcée de son âge à 67 ans, sont les financiaro-capitalistes non-élus de cette merde de commission européenne... N'oubliez jamais que " L'union européenne et sa commission sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des populations qu'elles sont sensées protégées ". C'est étonnant que les manifestants se rendent pas par millions devant le bunker bruxellois où se réfugient ces soi-disantes "élites"...

 

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> sécheresse

Classé dans : humour ?

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> face aux forces de l'ordre, ne vous laisser pas embobiner...

Classé dans : presse

FACE AUX FORCES DE L’ORDRE, ne vous laissez plus embobiner

          Les honnêtes citoyens que nous sommes n’ont quasi jamais maille à partir avec les policiers ou les gendarmes. Ceux-ci peuvent parfois en profiter pour faire avaler des couleuvres à des automobilistes stressés et déstabilisés par la situation. Petit florilège des contre-vérités les plus courantes. (...)

> très intéressant, la suite dans le magazine AUTO-PLUS n° 1801 de cette semaine

et en particulier :


          Dépôt de plainte : on peut aussi vous balader Au poste de police ou à la gendarmerie, on peut vous faire croire qu’il n’y a pas lieu d'enregistrer de plainte contre X pour usurpation de plaques dès le premier PV. Or, déposer plainte ici est votre droit le plus strict. Cela vous permet de contester le ou les PV radars sans avoir à consigner 68 ou 135 € selon l'infraction, et de réclamer un changement d'immatriculation gratuitement sur Ants.gouv.fr®.
          Ce que dit la loi L'article 15-3 du code de procédure pénale dispose que les officiers et agents de police judiciaire sont tenus de recevoir les plaintes déposées par les victimes d’infractions à la loi pénale. Dès lors, insistez auprès de l’agent sur le fait que, s’il persiste dans son refus, vous pourriez porter plainte contre lui : selon l’article 432-1 du code pénal, il fait "échec à l'exécution de la loi".

En effet, le refus d'enregistrer une plainte devient endémique : nouvelles consignes de Darmanin pour faire baisser les statistiques ? Évitez aussi la main-courant qui n'a aucune valeur juridique. A défaut, envoyer en R avec AR un plainte détaillée par écrit auprès du procureur de la république en indiquant que l'on a refusé de prendre votre plainte... pour plus de poids, si vous avez de l'argent, la faire envoyer par votre avocat.

 

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🎨 Léa Roche, vous connaissez ?

Classé dans : arts

          Léa Roche est une artiste française contemporaine. Elle est devenue une infographiste d'art, libre de toute tendance ou courant imposé, travaillant dans le mix-média, mêlant de nombreuses techniques, peintures, technologies et supports, après avoir longtemps peint dans un style traditionnel, à l'huile, à l'acrylique ou à l'aquarelle. Ses peintures, modernes et très contemporaines, mélangent un nouveau style urbain et pop d'une manière très unique. Roche est spécialisée dans les portraits en gros plan de visages d'animaux et d'humains, mais elle travaille également sur des scènes abstraites et de vie. Léa Roche est née en 1964, en France, où elle est diplômée de l'école des Beaux-Arts de Grenoble. Elle vit et travaille en Espagne.

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