l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



Il est plus difficile de se défendre de l'amertume dans la pauvreté que de l'orgueil dans l'opulence - Confucius

> la dictature macroniste s'étend...

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : presse Mots clés : aucun

La nouvelle loi anti-casseurs dont rêvent les macronistes

          Après une Saint-Sylvestre plutôt pépère mais à quinze jours d’une grève des policiers pour grappiller de plus grosses primes aux JO, la sécurité intérieure reste à la une. Et les initiatives des députés macronistes spécialistes de ces dossiers se succèdent avec un objectif affirmé : toujours mieux surveiller - et punir - l’agitation sociale. La contestation écolo et la « désobéissance civile » qui l’accompagne sont en effet considérées par eux comme le vrai « danger à venir », sans qu’ils récusent pour autant la menace de l’ultradroite (quelque 3 000 militants, dont 1 300 fichés S).

          Le député Renaissance de la Gironde Eric Poulliat, rapporteur d’une récente « mission d’information sur l’activisme violent », prévoit ainsi de transposer plusieurs de ses conclusions dans une proposition de loi d’ici au second semestre 2024. Objectif : mieux réprimer la participation à des manifestations interdites. Un projet souvent rembarré par le Conseil d’Etat. Mais une obsession chez les macronistes depuis les affrontements de Sainte-Soline, en mars dernier.

          Au-delà des joyeusetés déjà prévues par la loi anti-casseurs de 2019, le but est de relever jusqu’à 1 500 euros l’amende qui sanctionne cette infraction. En outre, un régime complémentaire d’interdiction administrative de manifester est imaginé à titre expérimental, et pour une durée de deux ans. Les préfectures pourraient alors plus facilement bannir toute « personne qui constitue une menace d’une particulière gravité pour l’ordre public du fait de ses comportements ».

          L’objectif avoué est d’éviter que les représentants de l’Etat dans les départements ne soient freinés par les cadres juridiques actuels, comme l’a été le préfet de Nice ces dernières semaines. Un multirécidiviste, celui-là, dont cinq arrêtés d’interdiction de manifestation du Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens ont été successivement retoqués par le tribunal administratif...

Les belles vérités de la police

          Une seconde proposition de loi est pareillement mise en chantier. A la suite du texte sur les « séparatismes » voté en 2021, des députés Renaissance, mobilisés autour d’Eric Poulliat et de Florent Boudié, veulent assouplir les procédures de dissolution d’organismes jugés dangereux. En s’appuyant sur la notion de « provocations implicites et indirectes à des agissements violents contre des personnes et des biens ». Ça existe ?

          Dans le même temps, l’incrimination des associations et des groupements serait rendue plus facile, en s’appuyant par exemple sur des courriels et des communiqués d’appel à des manifestations marquées ensuite par des échauffourées. Il s’agirait ainsi de retenir le « soutien indirect » - et plus seulement « direct » - à des agissements violents en s’adossant à une notion de « responsabilité commune » partagée avec des fauteurs de troubles. Les députés Renaissance mobilisés - tous proches de Gérald Darmanin - répondent là à l’odieux désaveu infligé au ministère de l’Intérieur par le Conseil d’Etat, qui a annulé l’interdiction du mouvement des Soulèvements de la Terre, le 9 novembre.

          Ces douceurs seraient accompagnées de mesures annexes permettant notamment la confiscation des biens des associations dissoutes. Dans la même logique, les initiateurs de ces (possibles) propositions de loi veulent assouplir les procédures de judiciarisation des notes du Renseignement territorial et de transmission aux procureurs pour faciliter leur utilisation par la justice.

          En revanche, rien n’est dit sur un contrôle de qualité de ces notes avant utilisation ! Il s’agirait simplement, indiquent les futurs législateurs, de réduire l’écart d’appréciation entre un préfet et un juge, au nom d’un « principe de précaution face aux menaces sociétales ». Et rien sur le principe de précaution relatif aux libertés publiques ? ( Jérôme Canard )

Au plus on donne des pouvoirs aux préfets et aux policiers, au plus la dictature s'intensifie...

 

> Boulanger, le spécialiste de l'électoménager dérape...

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : autres Mots clés : aucun

Le post du mois.
Mesquin : vendre une plaque vitrocéramique sans son câble de raccordement chez Boulanger me semble une ingénieuse escroquerie, surtout quand ledit câble est facturé 26 € lorsque vous retournez au magasin !

J'ai eu plusieurs problèmes récents avec cette enseigne qui semble aussi* racler de manière injustifiée jusqu'au moindre centime possible au détriment du client, je vais dorénavant l'éviter...

* cela me fait penser à la Fnac que j'ai fui déjà depuis pas mal d'années...

 

> santé publique : la macronie sourde, aveugle et muette...

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : presse, santé Mots clés : aucun

L’année du foie gras

          Ça fiche les foies. A cause de la malbouffe, 900 000 Français souffrent de la « maladie du foie gras ». Une inflammation hépatique qui, sans la moindre goutte d'alcool ingérée, peut causer un cancer dutoie ou une cirrhose. D'après l'Inserm, l'Institutnational de la santé et de la recherche médicale, 220 000 de nos compatriotes auraient déjà une cirrhose non alcoolique ou seraient à deux doigts de la déclencher. Et le pire est à venir. Les spécialistes mondiaux de la maladie, gui se sont réunis en congrès a Paris en septembre dernier, estiment que le nombre de victimes aura doublé d'ici à 2030. La « NASH », acronyme anglais de « stéatohépatite non alcoolique », qui est actuellement la deuxième cause de greffe du foie en France, est sur le point de détrôner les cirrhoses alcooliques et virales.

          Cette « épidémie », qui sévit depuis plus de quarante ans, est en grande partie due au gavage en mauvais gras et en sucres que nous impose l'industrie agroalimentaire. Sans oublier notre appétence pour les fast-foods, dont le nombre d'enseignes a quintuplé en vingt ans. Alors que l'Organisation mondiale de la santé recommande de se limiter à 25 grammes de sucre par adulte et par jour, les Français en ingurgitent quatre fois plus, en moyenne. Notamment en sirotant des sodas (50,9 litres par an et par personne). Or le foie fabrique encore plus de mauvais gras lorsque le sucre est ingéré sous forme liquide.

          Les aliments ultra-transformés, eux aussi, pèsent lourd dans la balance : plus on en met dans l'assiette, plus le danger grandit. Une récente étude britannique menée sur 173 000 personnes vient ainsi de montrer que le risque de développer une maladie du foie gras est 43 % plus élevé chez les plus gros consommateurs de plats transformés, avec une probabilité de fibrose hépatique ou de cirrhose augmentée de 18 % et jusqu'à 50% pour les maladies hépatiques graves (« American Journal of Clinical Nutrition », 21/10/23).

          Encore une fois, ce sont les plus pauvres qui trinquent. En France, la NASH frappe 79 % des obèses, lesquels, selon l'Observatoire des inégalités, sont deux fois plus nombreux chez les ouvriers que chez les cadres supérieurs. De là à dire que les fabricants de malbouffe sont sans foie ni loi...

En macronie et dans cette union européenne de merde, c'est la priorité absolue aux bénéfices des entreprises...

 

> choisir une bouteille d'eau de source ou d'eau minérale naturelle ?

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : presse, santé Mots clés : aucun

          Les eaux de source n'ont pas l'obligation d'avoir une concentration en minéraux stable, à l'inverse des eaux minérales. Voici les critères différenciant une eau minérale naturelle d'une eau de source.

          L'eau minérale naturelle est une eau d'origine souterraine provenant d'une nappe phréatique profonde et protégée de toute pollution liée à l'activité humaine. Ses caractéristiques chimiques, c'est-à-dire sa concentration en minéraux, doivent être stables dans le temps, car elles peuvent donner lieu à des allégations et/ou des contre-indications pour certaines parties de la population. Et bien sûr, elle ne doit subir aucun traitement chimique de désinfection avant mise en bouteille.

          L'eau de source est également une eau d'origine souterraine, protégée de toute pollution, qui ne doit subir aucun traitement chimique de désinfection ni adjonction avant sa mise en bouteille. Elle doit par ailleurs être consommable par tous, ce qui n'est pas forcément le cas d'une eau minérale naturelle.  ( extrait de 60 millions de consommateurs de janvier 2024 )

Boire de l'eau de source en bouteille semble le choix le moins pire... Perso, j'utilise depuis des 10zaines d'années un osmoseur > wikipedia

 

🎨 Mino Maccari, vous connaissez ?

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : arts Mots clés : aucun

          Mino Maccari (Sienne, 1898 - Rome, 1989) Mino Maccari était un peintre et graveur italien populaire avec une personnalité caustique. En 1959, il devient directeur de l'Académie des Beaux-Arts de Rome; en 1963, il remporte le prix de peinture d'Antonio Feltrinelli et devient président de la San Luca Academy en 1962. La même année de l'une des plus grandes distinctions académiques italiennes, Maccari réussit à obtenir une exposition personnelle à la Gallery 63 de New York. Sa production de dessins, aquarelles, tempera, lithographies etc. s'épuise, parfois en collaboration avec des maisons d'édition prestigieuses (Strapaese, Il selvaggio), de sujets satiriques, politiques ou érotiques. Il était également célèbre pour ses dessins érotiques et sexuels. Il a travaillé pendant de nombreuses années chez Il Mondo.

► pour lire la suite...

> L’hénaurme farce des pesticides

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : presse, santé Mots clés : aucun

L’hénaurme farce des pesticides

          Oh ! l’énorme beau gros rapport de 407 pages que voilà ! Il est consacré à un énorme beau gros ratage : la prétendue chasse aux pesticides. Lors du fameux Grenelle de l’environnement de 2008 (merci, Sarkozy !), il avait été promis que dix ans plus tard, en 2018, donc, l’usage des pesticides aurait baissé de moitié. Ne sont-ils pas dangereux pour la santé ? responsables de l’effondrement du vivant ? ruineux à cause de leur impact sur l’eau potable ?

          Un beau plan Ecophyto allait tout régler. Mais, l’usage des pesticides ne cessant d’augmenter, un plan Ecophyto II lui a succédé, puis un plan Ecophyto II+. Ce dernier a toujours pour objectif de faire baisser de moitié l’usage des pesticides... mais cette fois d’ici à 2030, et par rapport à la moyenne 2015-2017, laquelle est bien plus élevée que celle d’il y a quinze ans.

          Les députés de la commission d’enquête parlementaire qui a enquêté sur la question sont formels : ces plans s’additionnent en pure perte. La France consomme aujourd’hui plus de pesticides qu’à l’époque du Grenelle ! Pourquoi ? Parce que c’est le cadet des soucis des gouvernements successifs. Un signe, un seul : le comité de pilotage interministériel ne s’est pas réuni une seule fois depuis quatre ans. Et aussi parce qu’entre décideurs politiques, agriculteurs, industriels et experts sanitaires la pagaille règne.

          Le rapporteur a cette belle image : le plan Ecophyto est « comme une voiture sans pilote et sans tableau de bord, qui circule sur une route sans radar et dont les passagers passent leur temps à discuter pour savoir si la direction est pertinente » (« Le Monde », 22/12). Le Père Ubu s’en taperait fort vigoureusement de rire sur la bedaine !

          Surtout que la pompe à phynances, elle, marche du tonnerre. Pour 2019, l’année de référence, pas moins de 643 millions jetés en l’air ! Ajoutez-y le milliard d’euros (environ) dépensé chaque année pour le traitement des eaux. Et les fermetures de captages d’eau pour cause de pollution qui se multiplient (plus de 4 000 en quarante ans, dont près de la moitié ont été définitivement abandonnés).

Vous reprendrez bien un verre de glyphosate ? ( J.-L. P.)

Une constante, le principal souci des gouvernements, et de la macronie en particulier, c'est la répression ; quant à la santé publique et, entre autres, les pesticides mortifères, ce dessin résume très bien la situation :

 

► pour lire la suite...

> oui, "on" veut interdire l'usage des voitures...

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : europe de merde Mots clés : aucun

Permis de conduire : âge abaissé à 17 ans, visite médicale tous les 15 ans, permis numérique... ce qui va changer en 2024. Age requis abaissé, durcissement des règles d'obtention et de renouvellement, permis numérique... Voilà cinq évolutions qui vont concerner le permis de conduire dans les prochains mois.

  • le permis dès 17 ans
    - la requalification en homicide et blessures "routiers"
    - grands excès de vitesse, alcool et stupéfiants davantage sanctionnés
    - mieux détecter et évaluer les inaptitudes à la conduite
    - bilans de santé obligatoires tous les 15 ans

  • - une période probatoire de 2 ans
    - le permis poids lourd dès 17 ans
    - un nouveau permis numérique,

► pour lire la suite...

> la dépendance aux opioïdes

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : santé Mots clés : aucun

          Il est un mal qui ronge les États-Unis : la dépendance aux opioïdes, des produits qui rendent complètement accro et inondent désormais les rues outre-Atlantique. En Europe, la France et ses voisins résistent plutôt bien à ces substances assommantes qui changent les consommateurs en zombies. Ça sert aussi à ça, un modèle de protection sociale.

          Bravo? Alors qu’une vertigineuse crise des opioïdes frappe les États-Unis depuis une vingtaine d’années, la Maison-Blanche se félicitait cet été d’avoir réussi à «stabiliser» le nombre de décès par overdose dans le pays. Vous avez bien compris : les ravages de ce produit stupéfiant hautement addictif paraissent aujourd’hui si difficiles à juguler que Washington s’est réjoui de seulement les « stabiliser ». Pire, le gouvernement américain s’est aussi empressé de préciser que les 450 millions de dollars de financements mis sur la table ne permettraient pas de stabiliser le nombre de morts « lié à l’usage du fentanyl », qui, lui, reste désespérément en hausse.

          Ces vingt dernières années, l’Amérique a vu une partie de sa population se changer en zombies. Une crise due à des produits : les opioïdes. Après la War on Drugs (« guerre contre les drogues ») décrétée par Nixon dans les années 1970, ces substances ont commencé « à être réhabilitées. Dans les années 1990, en Amérique du Nord, de nouvelles molécules ont été poussées sur le marché, vantées dans des publicités comme étant moins addictives. Les médecins et les patients ont été encouragés à les prescrire et à les réclamer », se souvient, pour Charlie, l’historienne de la médecine Zoë Dubus.

► pour lire la suite...

> appareils électriques : le prix des réparations a augmenté depuis la mise en place du bonus

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : autres Mots clés : aucun

          Entre janvier et novembre 2023, l’addition moyenne pour faire réparer les lave-linge, fours encastrables ou cuisinières a augmenté de 12 %. L’association de défense des consommateurs CLCV conseille de faire jouer la concurrence pour faire baisser la facture.

          Le prix des réparations des appareils électriques et électroniques a augmenté en moyenne de 10 à 15 % depuis un an et la mise en place d’aides destinées à inciter à faire réparer, selon l’association de défense des consommateurs CLCV.

          L’organisme a analysé les quelques 160 000 réparations de télévisions, lave-vaisselle et autres réfrigérateurs réalisées en 2023 avec le soutien du « bonus réparation ». Ce « bonus », créé par la loi en 2020 et mis en place en décembre 2022, prend en charge une partie du coût des travaux, pour inciter les consommateurs à réparer plutôt que de racheter.

          Mais selon le bilan de CLCV, « des augmentations de tarifs sont à noter pendant la mise en place du bonus réparation », avec « une tendance à la hausse du coût moyen de la réparation ».

           Entre janvier et novembre 2023, l’addition moyenne pour faire réparer les lave-linges, fours encastrables ou cuisinières a augmenté de 12 %. La hausse a été de 14 % pour les téléviseurs. Pour les téléphones portables, c’est + 18 %. La facture moyenne a en revanche reculé de 4 % pour les ordinateurs potables. (...) - source -

(*) m'enfin presque, on va pas se gêner pour augmenter nos prix du triple du bonus,...

Bé, quoi de plus normal ? Faut-il rappeler que les prix sont libres et que les commerçants ne vont certainement pas s'en priver...

 

> le Puy-de-Dôme concerné par un test de limitation de puissance électrique

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
Classé dans : autres Mots clés : aucun

Le décret précisant la mise en place de ce dispositif a été publié le 30 décembre.

          Après plus de trois mois de discussions, l’expérimentation de la limitation de puissance électrique pour certains particuliers a enfin son décret. Le texte a finalement été publié le 30 décembre. Pour éviter un «black-out», le gouvernement et le gestionnaire du réseau d’électricité ont multiplié depuis plus d’un an les initiatives, allant de la sobriété à l’efficacité énergétique, en passant par des mesures de limitation de la consommation pour les entreprises. Désormais les particuliers aussi pourraient être concernés, si le test devait être conclusif et si besoin.

          En effet, depuis 18 mois et les premières craintes quant à la capacité de la France à faire face à ses besoins en électricité, la donne a changé. La production d’électricité nucléaire d’EDF a bondi, pour passer de 279 térawattheures (TWh) en 2022 à plus de 300 TWh cette année. De plus, les niveaux des barrages hydroélectriques sont aux plus hauts. Côté consommation, les messages sur la nécessité de se montrer plus sobre et de privilégier l’efficacité énergétique ont porté leurs fruits, avec une diminution de plus de 10% entre 2022 et 2023. Enfin, les températures clémentes contribuent à limiter la consommation. Même si des semaines plus fraîches pourraient changer la donne.

          Si toutes les mesures existantes ne suffisaient pas, les particuliers pourraient donc voir leur accès à l’électricité limité, avec une puissance d’au moins 3 kilovoltampères (kVA), de quoi allumer une ampoule, un radiateur électrique et recharger un smartphone. Pour chaque client, la durée de cette limitation n'excédera pas deux heures consécutives. «Le gestionnaire du réseau public de distribution d'électricité n'applique pas la limitation de soutirage aux points de livraison des clients résidentiels identifiés comme patients à haut risque vital», précise le décret. Les particuliers seront informés par voie postale et leurs fournisseurs par e-mail. «Les participants seront informés par Enedis au moins trois semaines avant l'expérimentation, par courrier postal. Ils seront à nouveau prévenus du jour et du créneau précis 5 jours avant, par mail, SMS ou courrier postal, précise le ministère de la Transition énergétique. Ils toucheront une prime de 10 euros pour les 2 heures concernées. Ceux refusant d'y participer pourront se signaler à Enedis pour être sortis de l'expérimentation»... - source -

Vous commencez à comprendre à quoi sert réellement le nouveau compteur électrique imposé Linky ? Vous ne serez pas déçu de la suite et, en particulier, les tarifs variables à la 1/2 heure... Quand à la recharge de votre voiture électrique,... prévoyez des vélos non électriques,...