l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> manipulation habituelle sur la fraude fiscale et sociale

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           La communication du premier ministre sur la fraude fiscale et la fraude sociale s’inscrit non pas dans un souci louable d’une bonne tenue des comptes publics mais dans le but indigne de désigner à la vindicte ceux qui ne travaillent pas, qui touchent des allocations et, selon lui, ne respectent pas les règles au détriment de la classe moyenne.

           Le premier ministre s’est vanté de traquer la fraude fiscale et sociale (il avait lancé un "plan" quand il était ministre aux comptes publics). Plusieurs médias ont eu tendance à confondre les deux dans le même chiffre annoncé : 15,2 milliards d’euros recouvrés en 2023 grâce aux contrôles, or il s’agit du montant récupéré sur la seule fraude fiscale (dont le montant qui échappe à l’impôt est évalué par certains spécialistes entre 80 et 100 Md€). Il annonce une fraude sociale détectée de 2 Md€, première fois que ce chiffre est atteint. Selon lui, il s’agirait d'un milliard de fraude aux prestations et un milliard de fraude aux cotisations.

          On voit là l’abus de langage, car la fraude aux prestations n’a rien à voir avec la fraude aux cotisations, qui relèvent d’employeurs qui ne déclarent pas leurs salariés ou de professions libérales qui abusent quant au remboursement de leurs actes (cela pourrait très bien être considéré comme une fraude fiscale). Il va de soi qu’il ne peut s’agir que d’estimations, mais je pense que la fraude aux cotisations est nettement supérieure à ce qui est détecté, alors que la fraude aux prestations détectée est assez proche du réel. Dans un document du gouvernement (economie.gouv), il est dit que sur cinq ans (2017-2022), la fraude au "travail informel" (non déclaré), détectée, s’élève à 8 milliards d’euros, celle constatée par les caisses de retraites à 200 millions, et celle des prestations sociales versées par les Caisses d’Allocations Familiales (CAF) à 2,8 milliards.

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> depuis le Covid, l’hôpital traîne une lourde « dette » avec des millions de soins non réalisés

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          Depuis la pandémie, des millions de soins ont été repoussés ou annulés par des patients dans les hôpitaux français. La faute à des tensions persistantes et à la hausse du renoncement aux soins.

          C’est une grave « dette de santé publique » qui persiste dans les hôpitaux. Selon une étude de la Fédération hospitalière de France (FHF, une association qui réunit les hôpitaux publics) publiée ce lundi 18 mars, le niveau d’activité des établissements de santé a globalement retrouvé l’an passé le niveau observé avant la pandémie de Covid-19, mais insuffisamment pour les soins les plus lourds. Et quelque 3,5 millions de séjours hospitaliers n’ont pas pu être réalisés depuis l’épidémie de coronavirus - entre 2019 et fin 2023.

          Mais derrière cette reprise des activités « se cachent des disparités préoccupantes qui devraient interroger les pouvoirs publics », a lancé lors d’une conférence de presse le président de la FHF et maire Horizons de Reims Arnaud Robinet. « Nous sommes inquiets » : les chirurgies lourdes, les greffes et les activités de médecine les plus complexes, majoritairement assumées par le secteur public, « sont bien en deçà du niveau attendu », a-t-il dit.

          La FHF parle de « l’existence d’une forme de dette de santé publique, c’est-à-dire d’activités à rattraper ou de conséquences durables sur l’état de santé de la population de prises en charge intervenues avec retard ». Le baromètre de la FHF, qui a été réalisé en partenariat avec Radio France, s’appuie sur des données nationales concernant public et privé.

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> la sûreté nucléaire en ébullition

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          Macron et Attal peuvent dire merci aux députés du RN et à une partie du groupe LR : leur soutien a permis l’adoption d’une loi pourtant rejetée par de nombreux spécialistes de l’atome mais qui fait rayonner de bonheur le pouvoir exécutif. Le texte prévoit ainsi le mariage forcé du gendarme du secteur, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), avec les équipes d’experts de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), chargé d’évaluer les risques des installations. Depuis des mois, les 1750 salariés de l’IRSN ne cessent de dénoncer cette réforme. Présentée comme une « fluidification des processus » indispensable à la relance de l'énergie nucléaire, la fusion des deux structures est en réalité une vieille revendication d’EDF, qui considère l’IRSN comme un empêcheur d’irradier en rond.

          L’Institut n’a pourtant rien d’un nid d’antinucléaires : ses experts se contentent de répondre aux questions qui leur sont posées par l’ASN. Tel équipement est-il fiable ? Les mesures prises par l’exploitant du réacteur après un incident sont-elles suffisantes ? Les réponses sont ensuite rendues publiques, et la communauté scientifique peut en débattre avant que l’ASN tranche la question...

          C’est ce système qui défrise EDF. L’électricien a plaidé pour un mécanisme plus opaque : les analyses des experts ne seront désormais plus rendues publiques en amont mais une fois que la nouvelle structure, baptisée « Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection » (ASNR), aura pris sa décision. En clair : EDF sera le seul à être au parfum des alertes émises par les experts et pourra entreprendre un discret travail de lobbying auprès de l’ASNR pour démolir ses conclusions...

          La réforme va également engendrer quelques fâcheux effets secondaires. Ainsi, comme « Le Canard » (7/2) l’a raconté, la moitié des effectifs chargés de traquer les failles de sécurité utilisables par des terroristes ont déjà démissionné, et le remplacement des partants va demander de six à neuf mois de délai.

          Mais pourquoi s’inquiéter, puisque la France est un îlot de quiétude et de sécurité ? ( H. L. )

Cela entrainera certainement de plus en plus d'incidents/accidents cachés, évidemment, à la population...

 

> FDN ( French Data Network ) propose un VPN en accès libre

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          Parce que FDN défend un certain nombre de valeurs et de principes, l’association met à disposition de chacune et de chacun des outils permettant notamment à des personnes situées dans des zones peu amies des libertés fondamentales d’échapper (un peu) à de la censure ou à de la surveillance généralisée. FDN lance la communication officielle autour de son VPN public, pour un Internet de qualité et en accès libre pour toutes !

          Un VPN (Virtual Private Network) est un réseau privé virtuel qui permet de faire transiter de l’information en garantissant la confidentialité des données.

          Comment en bénéficier ? Il vous suffit d’installer et de configurer votre client VPN.

>>> c'est par ici

 

          FDN (French Data Network) est un fournisseur d'accès à Internet associatif. Créé en juin 1992, c'est le plus ancien FAI de France encore en activité. Fonctionnant de manière totalement bénévole et désintéressée, l'association fournit aujourd'hui plusieurs centaines de lignes ADSL, VDSL, FTTH et de VPN à travers le pays.

Intéressant, à voir ce que cela donne, et éventuellement s'abonner à leur accès internet, toutefois les tarifs ne sont pas très clairs pour moi car je n'ai pas tout comprendu...

 

> ces mots qui assassinent notre pensée

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          Au temps de la crise écologique, dans le vaste domaine de la manipulation mentale, la palme revient à l'expression « développement durable». Il y a là du génie. Son principal concepteur, le Canadien Maurice Strong, a été pendant trente ans l'homme-orchestre des négociations sur le climat, organisant le Sommet de la Terre de Rio en 1992, la conférence de Kyoto en 1997, jouant un rôle clé dans la création du Giec.

          Or, parallèlement, Strong dirigeait et vendait des sociétés pétrolières. Sans surprise, le « développement durable » aura permis à la machine industrielle de poursuivre sa route.  Développement, donc mines, usines, routes, émissions de gaz à effet de serre, commerce mondial. Durable, donc appelé à durer. Depuis, quantité d'expressions toumeboulantes ont été inventées. Par exemple, l’économie verte, l’empreinte écologique, l'empreinte et la neutralité carbone, l'économie circulaire, l'écoefficience. etc.

          On voit bien qu'on n'y comprend rien, mais ce n'est pas perdu pour tout le monde. Les inventeurs de ces billevesées savent très bien ce qu'ils font. Comme jadis l'industrie du tabac ou des pesticides, il s'agit d'envelopper la réalité sous autant de subterfuges. En 2003, la désintéressée compagnie pétrolière BP lança une énorme campagne publicitaire intitulée « What size is your carbon footprint ? ». Quelle est la taille de votre empreinte carbone ? Ajoutant sous les bravos : « We can all do more to emit less. » Nous pouvons tous faire plus pour émettre moins. Le responsable, ce n'était pas elle, mais nous. - F.N. ( Le Grand Sabotage climatique - éd. Les liens qui libèrent ) - Charlie Hebdo n° 1652 du 20 mars 2024 -

Et d'où la "novlangue" si chère aux macronistes...

 

🎨 Fred Calleri, vous connaissez ?

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          Fred Calleri est né dans le Maryland et s'est lentement déplacé vers l'ouest pour s'installer à Santa Barbara en Californie. vers Santa Barbara, en Californie. En chemin, il a obtenu un diplôme d'illustration et de graphisme à l'Institut du Maryland. d'illustration et de graphisme du Maryland Institute College of Art en 1993.

 

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> sucré, ça l’est...

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          Voilà un rapport qui donne du sucre à moudre à tous ceux qui veulent taxer la malbouffe pour défendre la santé publique. L'Observatoire de l'alimentation a passé à la moulinette les étiquettes de 54000 produits afin d'analyser l'évolution de leur charge en sucre sur douze ans. Résultat : ça baisse dans les boissons sans alcool. Par exemple, les sodas affichent - 3 %, les limonades - 7 %, les boissons aux fruits - 19 %, les boissons sucrées au thé - 13 %, et même - 21 % pour les eaux aromatisées !

          Une bonne nouvelle pour la santé, que l'on doit à la fameuse « taxe soda ». En 2012, la France a adopté une loi pour taxer toutes les boissons non alcoolisées contenant des sucres ajoutés à raison de 7,55 euros par hectolitre, puis, six ans plus tard, les députés en ont rajouté avec une taxe corrélée au taux de sucre. Plus le breuvage est sucré, plus le fabricant passe à la caisse. Pour un soda affichant par exemple 15 kg de sucres ajoutés par hectolitre, la dîme s'élève désormais à 23,50 euros. Et le rapport, qui porte la double estampille de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) et de l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement applaudit l'effet bénéfique de la taxation, le sucre ingéré sous forme liquide étant une vraie catastrophe nutritionnelle.

          En revanche, côté aliments transformés, les fabricants abusent toujours du sucrier pour augmenter l'appétence. Les trois quarts des produits achetés en grandes surfaces, y compris au rayon salé, comme les plats cuisinés et les plats surgelés, restent surchargés en sucre. Et le nombre d'ingrédients sucrants augmente même dans les purées, les chips, les frites, les margarines, et dans toutes les sauces condimentaires comme la mayonnaise. Fâcheux, quand on sait que 75 % des enfants français de 4 à 7 ans dépassent les 60 grammes de sucre journaliers recommandés par l'Anses. Un carburant qui fait flamber l'épidémie d'obésité et son cortège de maladies comme le diabète sucré.

          Mais pourquoi les industriels se gêneraient-ils, puisque seul le sucre des boissons est taxé ? En octobre 2023, Elisabeth Borne, alors Première ministre, a tué dans l’œuf un amendement déposé par un député MoDem qui voulait étendre la taxe soda à tous les produits alimentaires transformés. Et tant pis si ce durcissement de la loi avait également été préconisé par la Cour des comptes (« Conflit», 15/11/23). De là à dire que le gouvernement est tout sucre avec l'agroalimentaire...

C'est un scandale de santé publique que les gouvernements successifs n'ont pas voulu plus réglementer, pourquoi ? Pourtant, il est tout à fait simple d'indiquer avec un simple logo la teneur en sucre de tous les produits de consommation.

facile, non ?

 

> ne travaillez jamais ! Héritage, dividendes, loyers, nouvelle devise de la République

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          Tout comme les banques, dont nous parlions il y a deux semaines, c’est au tour des 40 plus grandes entreprises de France de mettre « les bouchées doubles sur les dividendes et rachats d'actions », comme le dit Bastien Bouchaud dans Les Échos du 9 mars dernier. Selon lui, ces jours-ci, « le partage des richesses est à 'honneur ». Mais vous n’y êtes pas convié.

          Car ce partage-là, il a lieu à la Bourse, entre les entreprises et leurs actionnaires. Il succède au premier, le grand, le vrai partage des richesses, qui, lui, a lieu dans l’entreprise entre, d’un côté, les courageux dirigeants créateurs de richesses et, de l’autre, les syndicalistes preneurs d’otages. Or nos patrons « extraient de la plus-value », ainsi qu’on le disait avant, comme jamais sur le dos, les cerveaux, les muscles et les âmes de leurs salariés, qui parfois même meurent au travail, ces gros maladroits. Et cette plus-value, les PDG en refilent un maximum à leurs actionnaires.

          Toujours Bouchaud : « Les impressionnants profits générés par les champions du CAC 40 l'an dernier - plus de 140milliards d'euros pour la troisième année consécutive - vont largement profiter à leurs actionnaires. [...] Au total, [...] les dividendes versés par les entreprises du CAC 40 devraient [... ] dépasser allègrement les 70milliards d'euros, [...] un nouveau record historique, après les 67milliards d’euros reversés l’an dernier. Presque tous les membres de l'indice parisien ont annoncé une hausse de leurs dividendes, et parfois spectaculaire, à l’instar de Renault, qui l’a multiplié par plus de 7. »

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