l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables des peuples européens...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

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> la France entend relocaliser la production de 50 médicaments prioritaires ( sur 422 )

Classé dans : santé

          La production d’une cinquantaine de médicaments sera « relocalisée » en France, dont 25 « dans les prochaines semaines », a déclaré mardi 13 juin Emmanuel Macron, après avoir visité le laboratoire pharmaceutique Aguettant en Ardèche.

          Le gouvernement va établir une liste de 450 médicaments essentiels, en fonction des « risques de tension », pour répondre aux pénuries structurelles de médicaments, selon Emmanuel Macron. La production de 50 de ces médicaments sera relocalisée en France, dont 25 très rapidement, « dans les prochaines semaines« , a précisé le président.

          Parmi les médicaments prioritaires, M. Macron a notamment cité la morphine, l’amoxicilline et six anticancéreux, pour un investissement total de 160 millions d’euros. En 2023, 37 % des Français ont fait face à des pénuries de médicaments, selon une étude de France Assos Santé.

          Étant donné que la production locale de médicaments ne sera pas effective immédiatement, le président a reconnu qu’il y aurait « des situations d’urgence dans les mois et les années à venir ». Il a appelé les citoyens français à poursuivre les mesures sanitaires telles que le lavage des mains ou le port d’un masque lorsque cela est nécessaire pour limiter la propagation des virus et, par conséquent, limiter l’usage des médicaments.

          Les annonces du président ont rapidement fait l’objet de critiques. « Seuls 25 médicaments sont concernés (puis 50 dans un délai très vague), alors que la liste critique annoncée par le président en comprend 450, la liste des médicaments essentiels de l’OMS en comprend 577, et la liste française des médicaments d’intérêt thérapeutique majeur en comprend 422 », a indiqué l’Observatoire français pour la transparence des politiques du médicament (OTMeds) dans un communiqué de presse. « De plus, le président est resté vague sur la production de principes actifs », a ajouté l’OTMeds.

          Les causes de pénurie de médicaments sont multiples : guerre en Ukraine, pandémie de Covid-19, multiplication des virus pendant l’hiver. Mais la principale critique, formulée à la fois par les associations de patients et l’industrie, est le manque de compétitivité du secteur pharmaceutique.

          La France, comme la plupart des pays de l’UE, a décidé d’externaliser la production de médicaments vers les pays du Sud, en particulier la Chine et l’Inde, qui assurent aujourd’hui 80 % de la production des principes actifs utilisés dans la fabrication des médicaments, entraînant une situation de dépendance.

          Depuis 2013, la France est passée de la première à la cinquième place des producteurs européens de médicaments, selon le Leem, le syndicat français des entreprises du médicament. - source -

En bref et comme d'hab. avec Macron le pipeau : de la poudre aux yeux... "On" a financé très cher l'externalisation de la production française de médicaments et maintenant, 2ème couche, "on" finance très cher cette relocalisation !!! Les actionnaires de l'industrie pharmaceutique rigolent et se goinfrent, en estimant, à juste titre, que les gueux sont vraiment des cons...

 

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> nous sommes effectivement en guerre

Classé dans : autres

          Avec le récent retrait du plafond de la dette américaine, les États-Unis se sont pour ainsi dire placés en économie de guerre. Mais vraiment, ce pays serait-il en guerre ? Au vu des relations diplomatiques qu’on pourrait qualifier de tendues avec la Russie et la Chine, et en tenant compte du conflit par procuration en Ukraine, on a en tout cas quelques bases pour affirmer que l’économie américaine s’éloigne chaque jour de celle d’un pays en paix.

          Si la question peut être posée outre-Atlantique, elle n’est déjà plus de mise ici en Europe et tout particulièrement en France où, fort officiellement, le pays est en guerre. Certains petits chafouins pourront arguer que l’actuel chef de l’État l’a déclarée ainsi dans une simple figure de style, mais il l’a clairement répété et d’autres éléments que sa seule parole suffisent à s’en convaincre.

          Mettant en avant les délires pandémiques, puis l’hystérie climatique et un nombre grandissant d’âneries mobilisatrices, Macron n’a pas hésité à rappeler la situation particulière qui préoccupait le pays et devait, selon lui, justifier les dépenses consternantes engagées jusqu’à présent (quoi qu’il en coûte, je vous le rappelle).

          D’un autre côté, la définition d’une économie de guerre laisse tout de même pas mal de latitude dans laquelle s’inscrit potentiellement l’état actuel du pays : comme le suggère par exemple Charles Gave, une économie de guerre pourrait se traduire par la possibilité de s’endetter sans limite (ce qui est actuellement le cas en France, en Europe et en Occident), et la mise en place de certaines procédures administratives de surveillance des individus, ainsi qu’une liberté assez décontractée de manipuler psychologiquement les citoyens afin qu’ils ne se retournent pas contre le pouvoir en place.

          Oui, il y a bien une guerre, qui fut longtemps larvée mais qui est maintenant visible pour tous, celle de l’Occupant Intérieur contre l’occupé, de la classe jacassante contre la majorité silencieuse, de l’administration contre ses assujettis, autrement dit des dirigeants contre le peuple.

          Et ce conflit jadis larvé maintenant ouvert explique très bien la constante manipulation des masses par la peur, et la multiplication des agendas contre le peuple, depuis les tentatives de restriction de nourriture (en qualité et en quantité) jusqu’à la lutte ouverte contre les libertés fondamentales comme la propriété privée, le droit de se déplacer avec cette volonté rabique de supprimer la voiture et de circonscrire le citoyen à des ghettos rebaptisés “ville de 15 minutes”, en passant par toutes les petites escarmouches contre les petits commerçants, les artisans et ce qui crée le tissus social indépendant des entités centralisées facilement dirigeables.

          Cette guerre de l’occupant intérieur contre le peuple explique aussi l’abandon du régalien (d’où une insécurité galopante que seuls les plus endoctrinés ou les plus veules agents du pouvoir peuvent encore nier), sauf lorsqu’il s’agit de pérenniser le pouvoir de l’Occupant (avec une répression systématique et de plus en plus violente).

          C’est aussi cette guerre de l’Occupant intérieur contre le peuple qui explique très bien pourquoi ce premier veut limiter la turbulente population du second : moins nombreux, ils sont plus faciles à canaliser. La démoralisation croissante vers les familles et les couples en âge de procréer (avec une facilité croissante des avortements et des stérilisations) participe de ce mouvement ; l’introduction du wokisme dès le plus jeune âge aussi.

          Dans cette guerre, il apparaît indispensable de limiter, par tous les moyens possibles, la liberté d’expression en multipliant les prétextes fallacieux. Les récentes attaques contre twitter n’en sont qu’un exemple récent, mais elles n’ont pas arrêté de se multiplier ces dernières années avec une tendance à l’accélération à mesure que des discours alternatifs apparaissent.

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💩 vers la numérisation de ses infrastructures routières

Classé dans : europe de merde

          Les États membres de l’UE et les eurodéputés sont parvenus à un accord jeudi (8 juin) sur les règles relatives aux données numériques sur la circulation, une étape clé pour améliorer les flux de circulation, réduire les accidents et instaurer une expérience de conduite plus connectée, d’après les décideurs politiques.

          En vertu de cet accord provisoire, qui doit encore être officiellement ratifié par le Parlement européen et le Conseil avant d’avoir force de loi, les États membres seront tenus d’utiliser des systèmes de transport intelligents (STI) le long des principaux axes routiers, ce qui permettra une meilleure communication entre les véhicules et les infrastructures.

          Des équipements seront installés le long des routes principales pour faciliter ces systèmes, qui reposent sur l’utilisation de l’électronique, de capteurs et de satellites pour recueillir des données. Les nouvelles règles exigent que les informations sur les limitations de vitesse, les travaux routiers et l’accès aux plateformes de transit soient partagées par voie numérique. Les données générées peuvent améliorer la mobilité : elles permettent d’alerter les conducteurs en cas de ralentissements, de réguler les feux de circulation et de contacter instantanément les services d’urgence en cas d’accident.

         Outre la mise à jour de la signalisation routière numérique, les informations collectées seront exploitées pour améliorer les applications de navigation, faciliter la réservation de trajets combinant différents modes de transport ainsi que la communication entre les voitures connectées.

          Les règles permettront également à l’Union européenne de renforcer sa préparation à une plus grande automatisation des véhicules grâce à une meilleure connexion entre les véhicules assistés par l’intelligence artificielle (IA) et leur environnement.

La rapporteure du dossier, l’eurodéputée socialiste Rovana Plumb, a déclaré que l’accord rendrait les routes plus sûres et améliorerait la performance des réseaux de transport, tout en veillant à ce que « les autorités à tous les niveaux commencent à se préparer au nouvel environnement numérique ». La rapporteure fictive du groupe centriste Renew, Izaskun Bilbao, a pour sa part indiqué que les données de mobilité générées seront utilisées pour « améliorer nos vies ». « Les mégadonnées résultant de la numérisation de la mobilité permettent de nouveaux services et favorisent les meilleures combinaisons de transport pour une efficacité maximale », a-t-elle déclaré. Jens Gieseke, du Parti populaire européen (PPE) de centre droit, le plus grand groupe du Parlement européen, a salué l’accord qui contribue à « réduire l’encombrement de la circulation et à raccourcir les temps de trajet tout en améliorant la sécurité sur nos routes ».

          La commissaire européenne aux Transports, Adina Vălean, a déclaré dans un communiqué à la suite de l’accord que les STI étaient « vitaux » pour lutter contre les problèmes d’émissions et d’embouteillages en Europe. L’accord « rendra les déplacements dans l’UE plus efficaces — et plus sûrs — pour les conducteurs, les passagers et les entreprises », a-t-elle ajouté.

          Andreas Carlson, le ministre suédois des Infrastructures qui représente actuellement les États membres dans les négociations, a salué l’accord et l’a considéré comme un moyen de « stimuler l’évolution de notre Union vers une mobilité plus intelligente, plus sûre, plus efficace et plus durable ». La Suède assure actuellement la présidence tournante du Conseil de l’UE.

Le champ d’application

          Malgré les éloges des législateurs proches des négociations, le champ d’application de l’accord a été critiqué par l’industrie et les défenseurs de la sécurité. Le Conseil européen pour la sécurité des transports (ETSC) et l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA) avaient tous deux insisté auprès des décideurs politiques pour qu’ils intègrent toutes les routes dans une future base de données européenne répertoriant les changements de limitations de vitesse. Il est nécessaire de disposer d’une carte numérique des limitations de vitesse pour que les fonctions de conduite assistée puissent rester en phase avec les nouvelles règles en matière de vitesse, ont-ils fait valoir. « Les limitations de vitesse sur les autoroutes ne varient généralement pas beaucoup, alors que les limitations de vitesse sur les routes nationales changent souvent lorsque les routes traversent des centres-villes et des zones rurales », ont déclaré les deux organisations dans un communiqué. « La plupart des routes urbaines et rurales, où se produit la grande majorité des collisions, ne seront pas couvertes », ont-ils insisté. Malgré l’appel des organisations, l’accord final réduit le nombre de routes couvertes aux axes clés, à titre de concession accordée aux États membres.

          Graziella Jost, spécialiste de la sécurité des véhicules à l’ETSC, a déclaré que cet accord contredisait l’un des principaux objectifs des STI, qui consiste à soutenir le déploiement en toute sécurité des véhicules automatisés à l’avenir. « Ces véhicules circulent sur tous les types de routes, dans toute l’UE, il est donc incompréhensible de limiter le champ d’application d’informations essentielles telles que les limitations de vitesse aux seules routes principales », a-t-elle précisé. - source -

Et voilà une des nombreuses suites préalables à la réalisation du projet « Vision Zero » où l’UE vise à réduire à zéro le nombre d’accidents de la route mortels ou entraînant des blessures graves d’ici 2050 ( et surtout d'un manque de profits colossaux pour les multinationales d'assurances... ). Sans oublier - les boites noires personnalisées - la mise en place informatisée de contrôles permanents, localisateurs et répressifs des automobilistes. Avec ces systèmes, les gouvernements pourront très facilement interdire certains quartiers (réservés aux riches), villes (réservées aux riches), départements ou autres aux automobilistes en bloquant électroniquement leur véhicule, etc. etc...