l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> flash-balls "intelligents" en Israël pour un tir automatique

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          L’armée israélienne parle d’un dispositif de «visée intelligente». C’est un système qui vient d’être installé à Hébron, ville palestinienne de Cisjordanie, sur un site qui a été le théâtre de manifestations et d’affrontements entre Palestiniens et soldats israéliens.

          Ce Flash-Ball 2.0 est assistée par une intelligence artificielle, et développé par une société baptisée Smart Shooter. Le viseur «Smash» est prévu pour équiper les systèmes de dispersion de foules des points de contrôle d’Hébron. Les checkpoints qui bloquent et humilient les populations opprimées ne suffisent pas, il faut en plus une arme robotique qui leur tire dessus.

          C’est le quotidien israélien Haaretz qui explique le dispositif et diffuse une photo de l’arme, qui est encore en phase de test. L’intelligence Artificielle qui guide les tirs vise «à détecter les mouvement de foule et tirer très précisément sur les individus considérés comme les plus à risque». Même les romans dystopiques n’ont pas anticipé le tir automatisé en cas de mouvement «suspect». Le quotidien précise que «les projectiles utilisés pendant la phase de tests ne seront pas létaux». Nous voilà rassurés. À terme l’arme sera équipée de grenades assourdissantes ou lacrymogènes.

          Les organisations de protection des droits humains s’inquiètent que ces Flash-Balls soient couplés aux caméras de reconnaissance faciale déjà installées sur des barrages routiers à Hébron. La technologie permettrait de tirer automatiquement sur une personne fichée par les autorités. Haaretz rappelle que Tsahal utilise déjà des drones capables de viser un individu détecté par une intelligence artificielle et de tirer à distance.

          Les drones autonomes existent déjà. En Lybie et en Iran, des exécutions automatiques, sans l’intervention de l’homme, ont été commises ces derniers mois par des drones autonomes. La reconnaissance faciale se généralise dans le monde et les bases de donnée biométriques fichent déjà des milliards d’êtres humains dans le monde. Tout est déjà prêt.

          Le viseur Smash utilisé par l’État Israélien équipe des armes utilisées par des militaires ou les Marines américains. Ils permettent des tirs assistés extrêmement précis, même un mauvais tireur devient un sniper, y compris dans des situations de fatigue, de stress intense ou de mauvaise visibilité. Le système verrouille la cible à distance et la munition atteint sa cible. Comme les systèmes de tir des avions de chasse.

          Les armées du monde entier travaillent sur des blindés autonomes, des soldats «augmentés» par la technologie et des système de tirs automatisés. Des chiens robots équipés de mitrailleuses ou de lance-grenades sont déjà sortis des usines. Le test israélien préfigure une généralisation de ce type d’arsenal.

          Et en France ? La police est massivement équipée de LBD qu’elle utilise abondamment. Et le gouvernement est en passe de généraliser la reconnaissance faciale : un rapport du Sénat réclamait en mai dernier une loi sur la reconnaissance faciale dans l’espace public. Un texte signé par le Parti Socialiste, Les Républicains et le Centre, qui préconise la généralisation de la reconnaissance faciale avant les Jeux Olympiques de Paris en 2024. Un événement qui s’annonce comme une immense démonstration de force sécuritaire du gouvernement français. Avec des Flash-Balls 2.0 ? - source -

 

L'avenir n'est pas rose pour les populations de n'importe quel pays où les financiers/milliardaires au pouvoir voudront le conserver à tout prix pour continuer leurs affaires très juteuses,...

💩 Europe : l’union européenne à nouveau boulet de la France dans la crise

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           Lors de la crise sanitaire, l’UE nous a considérablement ralenti dans l’approvisionnement des vaccins, ainsi que dans la mise en place de plans de relance bien limités. Malheureusement, dans cette nouvelle crise économique, allumée par les sanctions contre la Russie, qui ont déclenché une envolée du prix de l’énergie, on constate à nouveau que l’Union Européenne est un boulet pour la France.

Crée les problèmes et y répond mal

          Pour qui prend un peu de recul sur la crise économique dans laquelle nous entrons, il y a de quoi avoir le vertige. Passons sur le fait que les restrictions sur l’achat d’hydrocarbures venant de Russie sont une sanction peu efficace, pour ne pas dire contre-productives : même si la Russie y perd des volumes de vente, de manière limitée par le fait qu’elle peut vendre à d’autres, elle s’y retrouve très largement en valeur du fait de l’envolée des prix, comme le témoigne l’envolée de son excédent commercial. Au final, les pays d’UE se sont presque plus sanctionnés qu’ils n’ont sanctionné la Russie quand on examine les tendances économiques des trimestres à venir. Pire, cela nous rend dépendants de fournisseurs guère plus recommandables, de l’Arabie Saoudite (en guerre au Yémen) à l’Azerbaïdjan (en Arménie).

          Mais outre des sanctions à l’efficacité discutable, le marché européen de l’énergie porte une très lourde part de responsabilité dans la crise actuelle, conjugué au relatif abandon de la filière nucléaire depuis plus de dix ans en France. En effet, en 2008, l’envolée du prix des hydrocarbures avait eu une conséquence minime sur le prix de l’électricité, dont l’origine était à 75% nucléaire et 10% hydraulique. C’était la grande force de notre pays. Si nous avions continué à investir dans notre parc nucléaire et avions refusé les délires bureaucratiques de l’UE, le prix de l’électricité aurait à peine progressé depuis deux ans, donnant à notre pays un avantage concurrentiel considérable par rapport à la plupart de nos partenaires européens. Las, aujourd’hui, le prix de l’électricité est fixé sur le prix de production de la source marginale, en général le gaz, tel que le marché la fixe, avec toutes les conséquences que nous découvrons.

          En clair, les fournisseurs privés qui sont généreusement approvisionnés à bas prix en électricité nucléaire peuvent la revendre avec une marge considérable. Ce n’est que sur l’électricité qu’ils vendent au-delà de ce quota qu’ils se retrouvent confrontés à l’explosion des prix du marché. Malheureusement, beaucoup avaient souscrits à des tarifs avantageux quand les prix du marché étaient bas et ils découvrent aujourd’hui le côté obscur de ces nouveaux contrats qui peuvent faire varier le prix de l’énergie de 1 à 5 ou 10. Mais si la France avait conservé son service public, refusé les délires de prétendue libéralisation bureaucratique du marché et continué à investir dans le nucléaire, nous traverserions cette crise tranquillement et l’Europe entière vanterait notre modèle. Malheureusement, aux délires de l’UE, nos dirigeants ont ajouté une gestion effarante d’EDF, digne d’un fonds vautour, limitant les investissements à long terme.

          Plus globalement, tout le fonctionnement du marché européen de l’électricité semble construit contre EDF et la France. Il est tout de même incroyable d’avoir imposé à l’opérateur historique de vendre une part de sa production à ses « concurrents », qui n’ont même pas eu à se soucier de produire quoique ce soit. Pire, le nucléaire est toujours le parent pauvre des différentes règles européennes. Longtemps menacé de ne pas pouvoir faire partie des énergies qui pourraient bénéficier des fonds européens, le nucléaire n’a obtenu qu’un statut hybride d’énergie de transition. Il est effarant qu’il ne soit pas mieux traité que les hydrocarbures, qui polluent et dont nous manquons. Malheureusement, ce maltraitement se poursuit, avec le projet de super taxe sur les profits des énergéticiens, qui viserait notamment ceux qui vendent de l’électricité nucléaire au prix du marché, mais pas les fournisseurs de gaz. Enfin, l’UE vient également d’accorder le statut d’hydrogène vert à des productions issues d’hydrocarbures. Les lobbys allemands veillent…

          Pour couronner le tout, la montée de l’inflation illustre à nouveau la malfaçon de l’euro. L’inflation varie de 6 à 20% dans la zone euro, mais il n’y a qu’une politique unique possible sur les taux, une cote mal taillée, qui va probablement être trop souple pour certains, et trop dure pour d’autres. Nous risquons à nouveau de souffrir d’une politique monétaire trop dure pour notre économie. Heureusement, pour une fois, cette moyenne produit un euro bon marché, qui va rendre notre pays plus attractif pour les touristes et nos productions plus compétitives, d’autant plus que nous avons une plus faible inflation, en partie conséquence du maintien d’un chômage de masse, améliore également notre compétitivité par rapport à nos compagnons monétaires d’infortune… En revanche, comme trop souvent, on peut parier que la zone euro et l’UE seront trop modérés pour soutenir l’économie, préférant une politique trop austéritaire.

          Bref, si tout n’est pas totalement négatif pour la France, malheureusement, dans cette crise, encore une fois, on peut constater que l’UE est un boulet pour les pays qui la composent. Nous prenons certaines sanctions, dans le domaine énergétique, dont le principal effet semble être de nous affaiblir, plus que la Russie. Nous subissons un marché européen de l’énergie largement à notre défaveur, et qui produit une envolée des prix que nous pouvions éviter. Et enfin, l’euro impose une réponse unique forcément inadaptée à des pays si différents. Y-a-t-il seulement un domaine où l’UE et l’euro apportent du bien ? - source -

Commentaire pertinent de (Lynwec) sur cet article : " L’UE ayant été conçue dans ce but (détruire les nations européennes), rien de surprenant à ce constat. Dès le départ, avec le choix d’une monnaie totalement inadaptée à l’économie française (et en fait de tous les pays hormis l’Allemagne), le handicap était insurmontable, de plus, les décisions (feuille de route) de Bruxelles interdisent pratiquement toute autonomie et adaptabilité des nations prises dans la toile. La Grèce a été la première à bénéficier des « bienfaits » de l’UE, c’est maintenant le tour des nations les plus solides économiquement parlant : les taupes infiltrées ( Young Leaders ) ont bien rempli leur rôle de sabotage. "

wikipédia > les "Young Leaders"

 

🔨 ingénieux : OmniVision OV6948, la plus petite caméra au monde du commerce

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          Santa Clara, Californie – 12 juin 2017. OmniVision Technologies, inc. (USA) présente ce qui allait devenir quelques années plus tard, le plus petit capteur vidéo du monde… Lors du dernier Medical Design & Manufacturing s’étant déroulant le 22 octobre dernier à Minneapolis, le géant taïwanais a indiqué que l’OV6948 s’est vu attitrée par le célébrissime « Guinness des records » le statut jalousé (!) de « plus petit capteur d’image du monde » …

          Un produit destiné de base à l’imagerie médicale, plus particulièrement pour les endoscopes et cathéters médicaux mais qui à terme, pourrait ouvrir de nouveaux horizons dans différents environnements tels l’IoT et IIoT industriel, les secteurs de l’automobile à travers la sécurité active, la réalité virtuelle, la robotique, la domotique et bien sûr, la sécurité… Des ambitions consolidées par de nombreux partenariats dans différents domaines laissant présager de nombreuses intégrations dans un avenir proche. Pouvant être à « usage unique », l’OV6948 répond également à une problématique de taille en environnement médical et alimentaire concernant la contamination des appareils de surveillance. Un produit parfaitement en adéquation avec les standards actuels ou performances de premier choix, coûts et miniaturisation font partis des principales prérogatives.

> une miniaturisation poussée à son paroxysme ouvrant de tout nouveaux champs d’applications

          Avec des dimensions quasi-infinitésimales (0,575 mm x 0,575 mm x 0,232 mm) soit, un gabarit inférieur à un grain de riz (!) l’OV6948 ne propose guère de capteur HD, se contentant d’un classique « CMOS 1/36 » offrant une résolution exploitable de 200 x 200 pixels à une cadence confortable de 30 images par secondes. Des performances qui peuvent paraître désuètes pour les fervents défenseurs de la course effrénée aux mégapixels et qui pourtant, restent véritablement une belle prouesse technologique au vu de la taille de ce capteur. Avec un angle de vision possédant un champ d’action à 120°, le capteur vidéo OV6948 du fabricant Omnivision est capable d’être déployé dans des conditions remarquables (-20 °C à + 70 °C) tout en apportant une image stable et garantie à des températures comprises entre 0 °C et +50 °C.

           La qualité en environnement à très faible luminosité se targue d’être particulièrement optimisée (sensibilité de 1000 mV/lux-sec) se montrant en parfaite adéquation avec les environnements médicaux/alimentaires. Possédant un zoom performant (3~30 mm), l’OV6948 peut transmettre des flux vidéo analogiques sur une distance n’excédant pas 4 mètres. Avec une consommation des plus soutenue (25 mW), l’OV6948 optimise toutes déperditions thermiques pour le confort des patients tout en se contentant que d’une tension de 3,3 V. La technologie propriétaire « OmniBSI™+ » améliore grandement la sensibilité, la finesse des couleurs et la fidélité de l’image retranscrite à l’utilisateur même en cas de très faible luminosité. Une technologie propre au constructeur qui se voit également déployée pour des applications médicales, de sécurité, dans l’informatique ou encore, en environnement mobile.

> une intégration aisée offrant des perspectives d’avenir dans de nombreux domaines

          Idéale pour les examens arthroscopiques, cérébraux, cardiaques, ophtalmologiques et bien plus encore, l’OmniVision OV6948 s’adonne aisément à de nombreuses applications avec une certaine agilité. Pour faciliter son intégration, ce capteur est proposé conditionner dans un minuscule boitier « CameraCubeChip » portant alors ses dimensions à 0,65 mm x 0,65 mm. Ce module peut être également intégré par « refusion » sur une carte électronique ouvrant là, un large champ d’application. Possédant une interface à 4 broches, l’OV6948 se montre facilement exploitable et surtout intégrable sans aucune limite. l’OV6948 devrait trouver rapidement d’autre usage ne se cantonnant pas qu’aux domaines médicaux. Le secteur des jouets, la sécurité, la sécurité active dans le domaine de l’automobile, les jeux vidéo ou encore les milieux militaire qui pourraient trouver de nombreux intérêts à ce type de produits. Toutefois et comme souvent, malgré notre fervente passion pour les technologies anciennes et actuelles, nous émettons quelques réserves ou plutôt quelques craintes en espérant que ce grain de sable technologique ne vienne enrayer notre vie privée, devenant une porte dérobée à toute sorte d’espionnage. - source -

 

 

> explosion de la taxe foncière, encore mieux en 2023 !

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( extrait du Canard enchaîné n° 5317 du 5 octobre 2022 )

mode texte :

          L’augmentation de 3,4 % de la base de calcul de votre taxe foncière vous a fait tomber à la renverse en 2022 ? Alors accrochez-vous. Pour 2023, ce sera deux fois pire : autour de 7 %, selon les calculs de Bercy. Encore s’agit-il là d’un chiffre plancher, à quoi s’ajouteront les hausses de taux décidées par les communes et les groupements de communes qui la perçoivent. A l’arrivée, la taxe foncière devrait croître de 3 milliards, pour dépasser les 40 milliards.

          La nouvelle a été annoncée le 21 septembre par Gabriel Attal, le ministre des Comptes publics, aux députés et aux sénateurs, lesquels n’ont pas boudé leur plaisir : 2023 est une année de sénatoriales partielles, et l’occasion est trop belle de rendre le gouvernement seul responsable de la hausse.

          La taxe foncière dépend en effet des valeurs de construction des logements, fixées par l’administration selon un barème incompréhensible. La hausse s’aligne strictement sur l’inflation estimée entre novembre 2021 et novembre 2022. Mais attention ! Il s’agit d’un taux d’inflation dit « harmonisé », utilisé pour les comparaisons internationales et supérieur d’environ 1 point au taux d’inflation national classique.

          Les communes ajoutent souvent une couche à ce taux d’inflation « dopé », en augmentant leurs propres taux d’imposition : c’est ce qu’a fait une ville sur six en 2022. Un cocktail hautement inflammable, qui a provoqué l’explosion de la taxe foncière à Marseille (+ 16,5 %), Strasbourg (+ 12,60 %) ou Nantes (+ 11,50 %).

          Mais, pour les plus « sages » - les trois quarts des villes de plus de 100 000 habitants - qui n’ont pas augmenté leurs taux, c’est tout bénef : elles ont encaissé des ressources en plus, sans rien avoir à se reprocher puisque, peuvent faire valoir les maires, l’augmentation de la ponction est uniquement due à une décision de l’Etat.

Pas embarqués dans les bas taux !

          En 2023, ce sera encore mieux : entre les hausses de taux et les constructions nouvelles, les communes devraient voir leurs ressources augmenter de plus de 8 % - largement au-dessus du taux d’inflation prévu (4,3 %) - et gonfler ainsi leurs finances,
qui, comme le montrent deux rapports (lire p. 2), se sont rarement aussi bien portées.

          Les 32 millions de propriétaires français ne sont peut-être pas au bout de leurs peines. A partir de 2026, les valeurs de construction des logements - qui n’ont pas subi de revalorisation d’ensemble depuis 1970 - vont en effet être revues. Certaines à la baisse (en général, pour les logements construits dans les années 60 et 70), d’autres à la hausse (pour les logements construits dans les années 50 ou avant). A l’arrivée, rien de bon en perspective pour les proprios : une expérience de revalorisation menée en 2018 et en 2019 dans cinq départements tests, qui, à l’époque, percevaient une partie de la taxe foncière, a provoqué une hausse moyenne d’environ 15 % de cette dernière, même si le gouvernement envisage de « lisser » la hausse sur une dizaine d’années.

          Mais le pire n’est pas certain : ladite revalorisation a été décidée par le Parlement en 1990... et sans cesse reportée : en 1993 par la droite, en 1997 par la gauche, puis en 2010 de nouveau par la droite. « Trop dangereux électoralement. » Pour une fois que droite et gauche sont d’accord ! - Hervé Martin -

Comme prévu, la fin de la taxe d'habitation entraine une augmentation de la taxe foncière du montant "perdu" par les communes - très voraces -. Comme il est prévisible que la vache à lait habituelle (automobile) fera moins de recettes, les taxes sur les propriétaires vont allègrement la remplacer...

et l'article en page 2 en mode texte :

          " Jamais, en trente ans de carrière, je n’ai entendu un président d’association d’élus locaux ne pas se plaindre de l’état de ses finances, mais, cette année, ils en font quand même trop. " Ainsi s’exprime l’un des spécialistes de l’Inspection des finances.

          L’examen du projet de loi de finances devant le Parlement n’a pas encore débuté que, déjà, les représentants des collectivités locales crient misère. Tel le président de l’Association des maires de France (AMF), le Républicain David Lisnard, qui, dans « Le Parisien » (2/10), se lamente : « L’inflation nous pénalise énormément. » Ou Carole Delga, la présidente (PS) de Régions de France, qui, toujours dans « Le Parisien », affirme : « C'est vrai que la dynamique de la TVA nous rapporte 750 millions d’euros de plus. Mais, dans le même temps, les régions vont dépenser 1 milliard d’euros de plus pour le chauffage des lycées et le transport scolaire et ferroviaire. »

Recettes miracles

          Ce week-end, les responsables de neuf associations d’élus ont même écrit à la Première ministre pour lui réclamer « un bouclier énergétique d’urgence réservé aux collectivités locales ». L’Etat a beau avoir prévu d’accorder, pour la première fois depuis treize ans, 210 millions supplémentaires de dotation globale de fonctionnement aux collectivités locales, cette générosité n’est pas parvenue à calmer les élus locaux.

          Leur colère est d’autant plus surprenante que deux rapports montrent que jamais mairies, régions et départements n’ont bénéficié d’autant de recettes. Le premier, dont « Le Canard » (3/8) a déjà fait état, émane de la Cour des comptes. Ses magistrats y écrivaient que jamais la situation financière des collectivités locales n’avait été aussi « favorable ».

          Le second rapport a été rédigé à Bercy par les membres de la Direction générale des finances publiques (« Les Echos », 3/10). Il se termine par ce constat, chiffres à l’appui : « La situation des finances locales, actualisées des derniers chiffres connus, laisse présager une situation fin 2022 encore favorable. » Et d’ajouter qu’à la fin août, et malgré la hausse du point d’indice des fonctionnaires, « la situation des finances locales demeure à un niveau élevé, supérieur à celui de 2019, considérée comme une bonne année ».

          En fait, tant selon la Cour des comptes que selon la Direction des finances publiques, seules 500 communes, notamment dans les banlieues difficiles, et une cinquantaine d’intercommunalités se trouvent, hors catastrophes naturelles, dans une situation qu’il faut qualifier de catastrophique. Sur les 34 955 communes que compte la France, c’est quand même peu.

Comme l'Etat, les communes sont de plus en plus voraces et, comme le seuil des marchés publics sans mise en concurrence a été placé à 100.000 €, quelles facilités pour favoriser un neveu ou ami politique ! Donc, plus de fric ! encore plus de fric !!!

 

💩 Europe : indice de criminalité 2022 milieu de l'année

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          Un tableau diffusé sur les réseaux sociaux et repris par certains médias affirment que la France est très mal classée. Attention cependant aux données utilisées. (...) Le site souligne lui-même que ses classements sont à prendre avec précaution puisque Numbeo précise "qu'il n'y a aucune garantie" que ses informations soient exactes. (...) - source -

OK, ce n'est pas très fiable, mais le système de réponses étant le même pour tous les pays, leurs corrélations est intéressante, d'autant que les données "officielles" sont évidemment toutes trafiquées...

sur 164 villes européennes indiquées, les villes françaises :

Nantes > 3° position
Marseille > 6° position
Nice > 9° position
Paris > 14° position
Montpellier > 16° position
Lille > 19° position
Grenoble > 20° position
Rennes > 24° position
Lyon > 33° position
Toulouse > 37° position
Bordeaux > 41° position
Strasbourg > 82° position

c'est Bradford (Royaume-uni) et Coventry (Royaume-uni) qui sont respectivement la 1° et 2° villes les plus criminogènes d'Europe...

 

► pour lire la suite...

🗡️ nos "amis" américains : la police de San Francisco à accès aux caméras de surveillance privées en temps réel

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          (...) La police [de San Francisco] pourra désormais accéder aux caméras non municipales avec le consentement du propriétaire pour surveiller en direct les événements publics de grande envergure et les enquêtes. C'est une grande perte pour les groupes de défense de la vie privée et des droits civils, mais une grande victoire pour la police de San Francisco, le maire London Breed et le bureau du procureur, qui estiment que la nouvelle ordonnance permettra de lutter contre la criminalité. (...)

          Selon une enquête de l'Agence des droits fondamentaux, 83 % des Européens sont opposés au partage des données de leur visage avec les autorités et 94 % à leur partage avec des entités privées. Cependant, on assiste aujourd’hui à une prolifération de l’adoption de la surveillance de masse biométrique par les gouvernants de certains pays y compris les pays de l'Union européenne. Le 24 novembre de l'année dernière, le nouveau gouvernement allemand a demandé une interdiction européenne de la surveillance de masse biométrique. (...)

          En vertu de la législation européenne sur la protection des données, les données biométriques sont particulièrement sensibles et leur traitement est interdit, sauf en cas « d'intérêt public substantiel », sous réserve de conditions strictes de nécessité et de proportionnalité. Selon un rapport, un nombre croissant de pays suivent la Chine en déployant l'intelligence artificielle pour suivre les citoyens, selon un rapport d'un groupe de recherche publié mardi. Selon la Fondation Carnegie pour la paix internationale (une organisation non gouvernementale ainsi qu'un cercle de réflexion et d'influence global, organisation dédiée au développement de la coopération interétatique et à la promotion des intérêts des États-Unis sur la scène internationale), au moins 75 pays utilisent activement des outils d'IA tels que la reconnaissance faciale pour la surveillance. L'indice des pays où une forme de surveillance de l'IA est utilisée inclut les démocraties libérales telles que les États-Unis et la France, ainsi que des régimes plus autocratiques. (...)

          L'un des problèmes liés à la création d'un système de surveillance aussi puissant est que l'expérience nous apprend qu'il sera inévitablement utilisé de manière abusive. Les systèmes de caméras de surveillance sont susceptibles d'être utilisés à mauvais escient de cinq manières différentes :

- L'abus criminel : les systèmes de surveillance offrent aux forces de l'ordre une occasion tentante d'abus criminels. En 1997, par exemple, un haut responsable de la police a été surpris en train d'utiliser les bases de données de la police pour recueillir des informations sur les clients d'un club gay. En consultant les numéros d'immatriculation des voitures garées dans le club et en faisant des recherches sur les antécédents des propriétaires des véhicules, il a tenté de faire chanter les clients mariés. Imaginez ce que quelqu'un comme lui pourrait faire avec un système de caméras d'espionnage dans toute la ville.

- Les abus institutionnels : il arrive que de mauvaises politiques soient définies au sommet et que l'ensemble d'un organisme chargé de l'application de la loi soit orienté vers des fins abusives. Cela est particulièrement susceptible de se produire dans les périodes d'agitation sociale et de conflit intense autour des politiques gouvernementales. Pendant le mouvement des droits civiques et la guerre du Viêt Nam, de nombreux services de police dans tout le pays - a mené des opérations illégales pour espionner et harceler les militants politiques qui contestaient la ségrégation raciale et la guerre du Viêt Nam.

- Abus à des fins personnelles : les puissants outils de surveillance créent également des tentations d'abus à des fins personnelles. Une enquête du Detroit Free Press a ainsi montré qu'une base de données accessible aux forces de l'ordre du Michigan était utilisée par des agents pour aider leurs amis ou eux-mêmes à traquer des femmes, menacer des automobilistes après des altercations sur la route et suivre des conjoints séparés.

- Ciblage discriminatoire : les systèmes de caméras vidéo sont exploités par des êtres humains qui apportent à ce travail tous leurs préjugés et leurs partis pris. En Grande-Bretagne, on a constaté que les opérateurs de caméra se concentraient de manière disproportionnée sur les personnes de couleur. Selon une étude sociologique sur le fonctionnement des systèmes, « les Noirs avaient entre une fois et demie et deux fois et demie plus de chances d'être surveillés que ce que l'on pourrait attendre de leur présence dans la population ».

- Voyeurisme : les experts qui étudient le fonctionnement des systèmes de caméras en Grande-Bretagne ont également constaté que les opérateurs, pour la plupart des hommes (et probablement ennuyés), utilisent fréquemment les caméras pour espionner les femmes avec voyeurisme. Les chercheurs ont constaté qu'une femme sur dix était visée pour des raisons entièrement voyeuristes. De nombreux incidents ont été signalés aux États-Unis. Dans l'un d'eux, la police de la ville de New York, à bord d'un hélicoptère censé surveiller la foule lors de la convention républicaine de 2004, a braqué une caméra vidéo infrarouge sur un couple amoureux profitant de l'"intimité" nocturne de leur balcon sur le toit. (...) - source -

Et la surveillance/répression informatisée à outrance de nos "amis" américains, déjà bien déployée en Europe, sera évidemment à court terme totalement autorisée par l'union européenne de merde. A noter qu'elle est déjà autorisée à titre d'essai... Les gens au pouvoir ne reculeront devant rien pour s'y maintenir quoi qu'il en coûte ( aux populations ). En France elle se déploie de façon exponentielle avec l'excuse de la sécurité des jeux olympiques de 2024...

 

💩 Europe : les entreprises qui continuent leurs petites affaires avec la Russie...

Rédigé par webmestregg Aucun commentaire
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          Les 26 entreprises françaises qui poursuivent leurs activités comme si de rien n'était en Russie... : (source)

Auchan-Retail – Babolat – Bonduelle - Camille Albane – Clarins - Dessange International – Etam – Eutelsat – Faurecia – Foraco - Groupe Le Duff - Groupe Savencia - Heliski Russia - Jean Cacharel - La Redoute – Lacoste – LACTALIS – Legrand - Leroy Merlin - Mod's Hair - Orano - Provalliance Group (Jean Louis David) - Société Bic - Valeo - Veolia - Vinci SA.

et, tant soit peu qu'on peut donner une nationalité à une entreprise : 12 entreprises autrichiennes, 1 entreprise belge, 13 entreprises italiennes, 4 entreprises hollandaises, 2 entreprises polonaises, 1 entreprise portugaise, 6 entreprises espagnoles,...

et que fait l'union européenne ? pas grand chose, quelques parlottes... que fait l'Allemagne ? elle se vote 150 milliards d'euros pour acheter du matériel militaire américain ( avions F35, drones, missiles,... )