l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> nouveaux radars dopés à l'IA peuvent détecter de nombreuses infractions routières

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          En analysant avec des algorithmes des images prises par des caméras haute fréquence, l'intelligence artificielle intégrée dans un nouveau type de radar peut détecter de nombreuses infractions routières. Gare aux contrevenants !

          La plupart des automobilistes craignent les radars automatiques disséminés le long des routes et des autoroutes. Et pour cause : ces appareils sont capables de détecter des excès de vitesse et de prendre des clichés des véhicules en infraction de jour comme de nuit, ce qui permet de dresser et d'envoyer des PV à leurs conducteurs sans intervention humaine – et sans discussion. Difficile d'échapper à leurs contrôles zélés et impitoyable, sauf à utiliser des applications spécialisées signalant des "zones de danger". D'autant que, les progrès de l'électronique et de l'informatique aidant, la vitesse n'est plus leur unique centre d'attention. Ainsi, en plus des radars de feux, qui se déclenchent lors d'un non respect d'un feu rouge, il faut désormais compter avec les nouveaux modèles anti-bruit qui signalent les nuisances sonores de certains véhicules. Et une nouvelle génération promet d'aller encore plus loin dans la chasse aux infractions au code de a route grâce à l'intelligence artificielle.

          Et il ne s'agit pas de science-fiction ! Depuis quelques semaines, un nouveau type de radar dopé à l'IA est testé au Royaume-Uni, sur l'autoroute A30, qui relie Londres à Cornwall, plus précisément, près de Launceston, en Cornouailles. Comme la BBC l'explique, l'outil n'est pas un radar classique, mais un dispositif combinant des caméras à haute fréquence et des flash infrarouges à un système d'analyse d'images par IA. Sa grande force réside dans ses algorithmes, capables de déceler sur les images divers manquements au code de la route, comme l'absence du port de ceinture de sécurité ou l'utilisation du téléphone au volant. Deux infractions courantes qui entraînent des conséquences dramatiques dans des accidents… Pour l'heure, l'IA ne décide pas seule de la suite des évènements : c'est un technicien humain qui vérifie à son tour les séquences signalées et, entre-temps anonymisées, pour confirmer que l'automobiliste repéré a effectivement enfreint des règles.

          Et ce nouveau dispositif – développé par la société australienne spécialisée Acusensus qui a pour devise "Changer les comportements pour sauver des vies" – se montre d'une efficacité redoutable : trois jours à peine après sa mise en service, il avait déjà relevé 297 infractions, 180 liées à un défaut de port de ceinture de sécurité et 117 à l'usage d'un téléphone au volant ! Et en quatorze jours, ces statistiques sont montées à 1500 infractions, deux tiers pour le téléphone, un tiers pour la ceinture. On imagine que ces résultats particulièrement encourageants vont inciter les autorités britanniques à poursuivre leurs tests pour améliorer ce système avant de le déployer à une plus grande échelle.

          Et on imagine aussi sans peine que cette expérimentation donnera des idées à d'autres gouvernements, toujours à l'affut de solutions pour traquer les infractions routières, surtout quand elles sont responsables de morts et de blessés… Plusieurs pays européens multiplient les tests de radars du futur, comme le velolaser en Espagne, un système mobile et ultra compact – et donc difficilement détectable par les automobiliste – capable de contrôler plusieurs véhicules simultanément dans les deux sens de circulation. Ou encore les radars thermiques testés à Lyon, qui repèrent les automobilistes roulant seuls, sans passager sur les voies réservées au covoiturage. Nul doute que l'intelligence artificielle augmentera drastiquement les possibilités de ces dispositifs de contrôle dans un avenir proche, y compris en France, et pas uniquement pour la vitesse sur les routes… - source -

La voiture est très étroitement surveillée car elle rapporte beaucoup d'argent à l'état et implique aussi un état de soumission. C'est en quelque sorte le crédit social automobile à la chinoise... D'un autre côté, ces systèmes répressifs routiers sophistiqués laissent présager quels seront les systèmes répressifs des individus demain !

 

> l'irradiation des aliments

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Irradiation des aliments : définition

          L'irradiation des aliments, officiellement appelée "ionisation" consiste à soumettre un aliment à un rayonnement ionisant : rayons gamma (issus de substances radioactives, le Cobalt 60 ou le Césium 137), rayons x ou faisceaux d'électrons à très haute énergie.

          Ce procédé, inventé au milieu des années 1940 par des scientifiques français, pour les besoins des échanges internationaux, permet de décontaminer les denrées, supprimer certains micro-organismes et insectes, ralentir le mûrissement, inhiber la germination et mieux conserver les aliments. Elle permet ainsi le transport sur de longues distances et le stockage de longue durée.

Avantages de l'irradiation des aliments

          L'irradiation des aliments ne rend pas l'aliment radioactif . Elle ne doit pas être confondue avec la contamination radioactive (incorporation par la plante ou l'animal d'éléments ou composés radioactifs polluants qui se retrouvent dans les aliments).

          Souvent présentée comme moins nocive que d'autres modes de conservation industriels, cette technologie permet surtout de contourner - au moins en partie - l'usage de produits chimiques (pesticides, conservateurs) ; elle est plus souple d'utilisation que la surgélation (contraignante par le maintien de la chaîne du froid) et peut être appliquée à quasiment tous types de produits, y compris les produits frais, à l'inverse des traitements par la chaleur.

          Les partisans de l'irradiation des aliments la présente comme une solution miracle contre les maladies d'origine alimentaire (salmonellose, infections à E. coli 0157 :H7). Malheureusement, de nombreuses études scientifiques montrent également les limites et les risques de l'irradiation sur la santé.

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> le mot "darmanin" dans le wiktionnaire,

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darmanin

Étymologie [ modifier le wikicode ]
(2020) De Darmanin, d'après le nom de famille de Gérald Darmanin. Ce néologisme est attesté en cours d'émergence en 2021. La même année, la linguiste Laélia Véron estime que cet utilisation du nom de Gérald Darmanin ne constitue pas une antonomase dans la mesure où elle n'est pas passée dans l'usage courant.

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> propagande : la carte et le bobard

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          Les innombrables «experts» qui sévissent sur BFMTV, CNews et ailleurs ont mille outils pour nous entuber. Les chiffres, c'est classique. Mais ils peuvent aussi le faire avec les cartes. Vous savez, ce genre de cartes qui montrent une foule de choses - le taux d’agressions, le nombre de militants RN ou la consommation de pinard, bref, tout ce qu’on veut, avec des couleurs différentes ou des nuances de gris... Leur avantage : même un illettré peut les comprendre d’un coup d’œil. Leur inconvénient : on peut leur faire dire tout et son contraire, sans que les gens en aient conscience. D’où la nécessité de lire l’ouvrage classique Comment faire mentir les cartes, du géographe américain Mark Monmonier, qui vient d’être réédité chez Flammarion.

          L'auteur décortique tous les subterfuges pour manipuler l’opinion avec les cartes, en donnant de nombreux exemples, dans le marketing, la pub. la propagande politique ou militaire... De là, il explique implacablement comment « une carte déforme la vérité pour aider l'utilisateur à voir ce qu 'il a besoin de voir ».

Première combine, l’agrégation des zones. Selon qu’on effectue des moyennes par quartier, ville ou département, « une base de données peut engendrer des représentations radicalement différentes d'une même région ». Si l’on montre, par exemple, une carte du revenu moyen par habitant. « il suffit de la présence d‘un ou deux résidents riches (quelle qu 'en soit la cause) pour qu'un petit village ait un revenu moyen proportionnellement élevé ».

Il est aussi possible d’agir sur le choix des données. Pour illustrer la répartition des gens sans boulot, on peut représenter le taux de chômage. Ou, inversement, la progression de l'emploi. On pourrait se dire que cela revient au même. Or pas du tout ! Mark Monmonier donne des cas où, selon la variable choisie, les zones mises en avant sont différentes.

Encore un moyen de faire mentir les infographies. Prenez ces cartes qui ont plusieurs couleurs ou intensités de teinte (elles sont dites « choroplèthes », vous aurez au moins appris un mot), par exemple gris clair, gris, gris foncé. Imaginez que vous vouliez représenter telle ou telle statistique : taux de possession de voiture, présence d’animal de compagnie, espérance de vie.... vous pouvez choisir d'associer ces teintes aux taux d'habitants concernés : moins de 10 %, de 10 à 15 %. plus de 15 %. Mais vous pouvez associer les mêmes teintes à d’autres seuils : moins de 20 %, de 20 à 30%, plus de 30 %. Cela peut paraître anodin. Sauf que les cartes peuvent alors être totalement différentes, ce qui, évidemment, peut conduire à des interprétations politiques parfaitement opposées...

          De telles manipulations peuvent être effectuées volontairement, pour tromper l’opinion. Mais aussi par incompétence, précise Mark Monmonier, car « la banalisation de l’impression couleur dans la presse a entraîné la prolifération d'artistes commerciaux ignorants de la cartographie ». Morale de l’histoire : il faut toujours être « à l "affût des confusions et des déformations possibles, engendrées par des concepteurs de cartes ignorants ou mal intentionnés ». Et quand elles sont brandies par de pseudo-experts auréolés de leur caution plus ou moins scientifique, il faut peut-être encore plus se méfier des cartes.

Et pourquoi les milliardaires se sont emparés des médias, pour enfumer qui, d'après vous ?

 

🔨 BLOB du jour

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          Connaissez-vous l'ACE : l'Alliance for Creativity and Entertainment ? C'est une coalition mondiale d'ayants droit réunissant des géants du secteur comme Apple TV+, Amazon, Disney, Warner Bros, Netflix, Sony Pictures Entertainment, Paramount, Amazon et autres, qui a pour but de lutter contre le piratage de contenus et les sites de streaming illégaux. Ennemis de toujours, pour de très gros et très juteux intérêts financiers communs, ils savent très bien s'associer !

> inflation : les profiteurs de crise

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          Faute de concurrents, des entreprises répercutent plus que la hausse de leurs coûts afin de s’accorder des marges confortables» écrit le journal Alternatives Économiques. En particulier les grandes surfaces et tout le secteur agro-alimentaire.

          «La profitabilité des entreprises fran­çaises a bondi au deuxième trimestre de cette année. Le taux de marge des sociétés non financières a augmenté de 1,5 point, pour atteindre 33,2 %.»

          Alors que le prix de l’énergie et des matières premières ont baissé cette année, «les entreprises françaises n’ont globalement pas répercuté cette baisse de leur facture dans leur prix de vente, faisant mécaniquement augmenter leur marge.» Cela s’appelle du vol.

          Pire : «la marge brute de l’industrie agroalimentaire s’est hissée au deuxième trimestre 2023 à 48,5%». Un niveau jamais vu depuis 30 ans.

          Comment peut on expliquer ce phénomène scandaleux ? «La faute à une faible concurrence» explique une étude. Autrement dit, les géants de l’agro-industrie qui se partagent le marché se mettent d’accord pour escroquer la population sur des denrées vitales.

          Dans le même temps, se nourrir coûte 25% de plus qu’en janvier 2022 selon l’UFC Que Choisir. Au point que des dizaines de millions de personnes se privent de nourriture : la consommation alimentaire des ménages a chuté de 17% en un an et demi et la consommation totale a baissé de 11,4% selon l’INSEE. Une diminution sans précédent.

          Les Restos du cœur ont expliqué à la rentrée être submergés par les demandes d’aide alimentaire, au point de ne plus pouvoir suivre. Les autres associations caritatives font le même constat.

          Durant la Révolution française, ce qu’on nommait les «accapareurs» ou les «affameurs» étaient les marchands accusés de conserver secrètement des produits alimentaires afin de réaliser plus de profits en augmentant les prix. En 1793, le gouvernement révolutionnaire votait une loi punissant de peine de mort le fait d’affamer son prochain pour des profits. Et fixait un «maximum des prix» pour l’alimentation, afin de faire face à la famine. - source -

Effectivement, mais c'est surtout une macronie et une union européenne de merde qui évitent de contrer leurs agissements et les soutiennent au détriment des populations. Et les marchands non régulés deviennent rapidement des accapareurs et des affameurs...

 

> entraide et bénévolat : le « boulot de dingue » des sans-emploi

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          Alors que des contreparties au versement du RSA seront en débat à l’Assemblée nationale, qui examinera en octobre le projet de loi pour le plein-emploi, le Secours catholique et l’association Aequitaz appellent à un débat public « sur la place du travail hors emploi dans notre société ».

           Servir d’antidote au poison des préjugés. C’est le vœu formulé par un rapport, rendu public le mercredi 13 septembre, par le Secours catholique et Aequitaz, une association qui prône la justice sociale. Intitulée « Un boulot de dingue – Reconnaître les contributions vitales à la société », la publication éclaire « le travail invisible et non rémunéré » de nombre de personnes « hors emploi ». Que ce soit dans le champ personnel, en aidant un·e proche ou via des engagements « dans la vie du quartier, le voisinage, des associations », leurs contributions sont « vitales et utiles à la société » mais jamais reconnues.

          Un long inventaire – les recherches ont duré deux ans – a permis de mieux définir ce travail invisible. Il est essentiellement tourné vers « le prendre-soin » (souvent appelé d’après l’anglais « le care ») et dessine « une forme de protection sociale de proximité ». Le rapport est un plaidoyer pour « sécuriser ces activités essentielles » et, espèrent ses autrices et auteurs, un remède contre « le poison de l’éternel cliché de l’assisté ayant besoin d’être remobilisé ». Car les associations peuvent en témoigner : les personnes qu’elles rencontrent sont bel et bien actives, « n’en déplaise à la statistique », qui les range parmi les « inactifs ».

          Ce cliché des « assistés » abreuvera d’ailleurs, sans nul doute, les débats du projet de loi pour le plein-emploi, qui sera examiné en octobre par les députés. Le texte doit ouvrir la voie au réseau France Travail, à l’inscription automatique des bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) et à de possibles heures d’activité obligatoires, en contrepartie de ce revenu.

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> et maintenant des journalo-terroristes ?

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> pour faire suite à l'article : nous-sommes-bel-et-bien-en-dictature

          Trois journalistes de Libération convoqués par la police pour leurs articles sur la mort d’un jeune tué par un policier.

          Après la garde à vue d’Ariane Lavrilleux, journaliste du site d’investigation Disclose, trois journalistes ont été entendus par la police dans le cadre d’une affaire sur des violences policières.

          Libération a dénoncé ce jeudi 21 septembre la convocation de trois de ses journalistes, entendus en audition libre par la police judiciaire de Lille après une série d’articles sur la mort d’un jeune Roubaisien tué par un policier, la qualifiant de « procédure inadmissible ».

          S’exprimant dans un communiqué, la Société des journalistes et du personnel (SJPL) et la direction de Libération y ont vu « une nouvelle tentative d’intimidation », dans « la foulée de la perquisition et de la garde à vue » de la journaliste du site d’investigation Disclose, Ariane Lavrilleux, qui indigne la profession depuis mardi.

          Selon le journal, ses reporters Ismaël Halissat, Fabien Leboucq et Antoine Schirer étaient convoqués jeudi « pour être entendus en tant que suspects sous le régime de l’audition libre par la brigade criminelle de la police judiciaire de Lille ». En cause, la « publication d’une série d’articles sur la mort d’Amine Leknoun, tué par un policier de la BAC, à Neuville-en-Ferrain (Nord) », le parquet ayant retenu les motifs d’infraction de « violation du secret de l’instruction », « recel de violation du secret de l’instruction » et « diffamation publique à raison de la fonction ou de la qualité de dépositaire de l’autorité publique ». « Dans leur enquête, les journalistes de Libération soulignent les manquements de l’IGPN (Inspection générale de la police nationale, la “police des polices”, NDLR) et de la juge d’instruction dans la conduite des investigations concernant la mort d’Amine Leknoun », poursuivent la SJPL et la direction.

          Pointant un « gaspillage des ressources de la police et de la justice », elles dénoncent une procédure « indigne d’un pays démocratique où la liberté de presse ne doit en aucun cas être entravée ».

          La question de l’atteinte au secret des sources et à la liberté de la presse agite le secteur depuis mardi et la garde à vue de près de 40 heures d’Ariane Lavrilleux, dans le cadre d’une information judiciaire sur plusieurs infractions relatives au secret de la défense nationale.

          Relâchée mercredi soir, la journaliste a notamment signé en 2021 un article de Disclose affirmant que la mission de renseignement française « Sirli », entamée en février 2016 au profit de l’Égypte au nom de la lutte antiterroriste, avait été détournée par l’État égyptien, qui se servait des informations collectées pour effectuer des frappes aériennes sur des véhicules de contrebandiers présumés, à la frontière égypto-libyenne.

          Sollicitée par l’AFP, la police judiciaire de Lille n’avait pas réagi dans l’immédiat. - source -

Mise en place d'un nouveau cran dans la dictature macroniste : intimidation et distillation de la peur chez les journalistes "non conformes"... des journalo-terroristes ?