l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> Wikipedia / Justapedia...

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Justapedia, une alternative à Wikipédia et un remplaçant potentiel, est devenue publique,

          La Fondation Justapedia (Justapedia Foundation - JPF) vient d'annoncer la disponibilité publique de sa nouvelle encyclopédie en ligne Justapedia. Le projet vise à concurrencer Wikipédia et se présente comme un remplaçant potentiel de cette dernière. Justapedia allègue que Wikipédia est de plus en plus controversée, polarisée et fait preuve d'une partialité systémique. Mais dans le même temps, Justapedia, une encyclopédie dont une bonne partie du contenu provient de Wikipédia, est également vivement critiquée. L'idée de Justapedia est de rendre le contenu provenant de Wikipédia plus impartial et de rechercher le plus possible la vérité, mais la manière d'y parvenir reste floue.

Justapedia : une nouvelle encyclopédie en ligne qui veut remplacer Wikipédia

          Justapedia est une encyclopédie en ligne ouverte et librement accessible qui est développée et maintenue par des bénévoles grâce à une collaboration ouverte sur une plateforme d'édition basée sur MediaWiki. La plateforme et les outils d'édition sont hébergés et gérés par la Fondation Justapedia à des fins éducatives. Justapedia est la marque déposée de la Fondation Justapedia (JPF). La jeune encyclopédie s'est donné pour mission de faire progresser la connaissance et de préserver l'histoire en publiant objectivement et en maintenant tous les points de vue substantiels à partir d'une position de neutralité. Selon Justapedia, Wikipédia a échoué à le faire.

          (...) Selon des experts, ces faits remettent sérieusement en cause la fiabilité de la célèbre encyclopédie en ligne et rappellent que l'on ne doit pas prendre pour acquis tout ce qu'on lit en ligne. Wikipédia dispose même d'une liste de fausses entrées dans neuf langues. Un faux article sur un carnivore éteint fictif appelé Mustelodon a été en ligne pendant plus d'une décennie. Wikipédia dépend de la vigilance des éditeurs pour trouver et annuler de telles modifications du contenu.

          (...) Justapedia commence à peine sa mission, mais est déjà fortement critiquée : d'autres personnalités de l'industrie technologique, comme Elon Musk, propriétaire du réseau social X (anciennement Twitter), soutiennent également les accusations selon lesquelles Wikipédia a perdu sens de l'objectivité et appelle à une meilleure alternative. Justapedia semble avoir répondu à cet appel. Justapedia vise à corriger les tares de Wikipédia qu'elle a relevées et à fournir des informations factuelles, objectives et impartiales. Cependant, quelques jours après son lancement, Justapedia est critiquée pour plusieurs raisons. L'une des critiques est dirigée contre les informations présentées sur la page d'accueil de la jeune encyclopédie.

          (...) Wikipédia est de loin l'encyclopédie en ligne la plus populaire et la plus importante, mais elle n'est en aucun cas la seule. Comme le prestigieux site Britannica, il existe de nombreuses autres alternatives à Wikipédia. Elles sont de tailles relativement plus petites que Wikipédia et beaucoup d'entre elles sont jugées plus fiables. Elles sont en effet rédigées, vérifiées et éditées par des experts et des professionnels. Certaines offrent même le choix entre des articles complets et des résumés thématiques. Toute publication sur abonnement ayant fait l'objet d'un contrôle approfondi doit être considérée comme extrêmement fiable. On distingue :
- l'encyclopédie en ligne Britannica : publiée pour la première fois en 1768, Britannica était autrefois l'encyclopédie la plus référencée au monde. À l'ère de l'Internet, Wikipédia a fini par éclipser l'encyclopédie, mais Britannica reste l'un des ouvrages de référence les plus respectés qui soient. L'inconvénient de Britannica est que la version complète n'est pas gratuite (bien qu'elle soit incroyablement moins chère que l'achat de la collection complète de livres) ;
- Scholarpedia : Wikipédia et Scholarpedia sont toutes deux alimentées par WikiMedia, mais Scholarpedia est composée de documents d'origine plus traditionnelle. Contrairement à Wikipédia, seuls des experts invités peuvent contribuer à Scholarpedia. Avant d'être publiés, tous les nouveaux articles doivent être parrainés afin de confirmer l'identité et l'autorité de l'auteur. Le nom de l'auteur est attaché à chaque article et toute modification doit être approuvée par l'auteur avant la publication. Cela garantit que les articles sont exacts et qu'ils ne sont pas sujets au vandalisme qui se produit fréquemment sur Wikipédia.
- Conservapedia : Wikipédia est considérée par certains comme étant trop libérale. Cette idée de partialité dans Wikipédia a suscité la création de Conservapedia, une encyclopédie Wiki conservatrice et chrétienne, assortie de sept commandements que les utilisateurs doivent respecter ;
- Infoplease : Infoplease est une publication de Pearson Education, le plus grand distributeur mondial de littérature éducative. Ses origines remontent à plusieurs décennies, à l'occasion d'un jeu télévisé radiophonique diffusé à l'origine dans les années 1930. Le contenu est recueilli auprès de sources telles que Random House Dictionary, le U.S. Census Bureau, la Library of Congress et des agences des Nations unies telles que l'UNESCO et l'Organisation mondiale de la santé ;
- Deletionpedia : Deletionpedia récupère les articles supprimés de Wikipédia. Il utilise un robot pour rechercher les pages de Wikipédia qui risquent d'être supprimées par quelqu'un, et copie l'article sur Deletionpedia, garantissant ainsi qu'une copie continue d'exister pour les chercheurs. - source -

"... il existe de nombreuses autres alternatives à Wikipédia... ", MAIS toutes ces alternatives mentionnées dans cet article sont en anglais, donc ce ne sont pas de réelles alternatives pour la majorité des français !!!

 

> laïcité ? L’État finance l’enseignement privé catholique et bourgeois

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          « L’école, c’est laïc » martèle Olivier Véran. Il oublie que l’État français subventionne massivement les établissements privés religieux. L’enseignement privé a reçu 8 milliards d’euros d’argent public en 2022.

          Oui, on a tendance à croire que ces écoles religieuses s’autofinancent avec les frais d’inscription que doivent payer les familles, mais pas du tout. L’État subventionne l’école privée : «ces crédits financent la rémunération des enseignants et le forfait d’externat versé aux établissements du second degré, destiné à couvrir leurs charges de personnels de vie scolaire». Les collèges et lycées privés sont financés pour 65,7% par l’État et regroupent 2 millions d’élèves en 2022, soit 17,6% des effectifs scolarisés, sur environ 7500 établissements. L’écrasante majorité de ces structures est catholique : 96%.

          Majoritairement financé par l’État, le privé est gagnant sur toute la ligne : l’argent public s’ajoute aux frais versés par les familles, ce qui permet à ces établissement d’avoir de meilleurs bâtiments, une meilleure qualité de cours, des classes moins remplies et des activités extra-scolaires… Au détriment des écoles publiques. Bref, c’est un pillage destiné à des élèves qui n’en ont pas besoin. On déshabille le public pour habiller le privé. (...)

          Le séparatisme des élites est donc toujours assisté par l’argent public. Et tout cela sans aucun contrôle. «Plusieurs textes réglementaires encadrent ces contrôles. Pourtant, ces règles ne sont ni connues, ni a fortiori appliquées par les différentes parties prenantes» déplore la cour des comptes en 2022. Il n’est pas rare, dans les établissements privés, de trouver des crucifix dans les salles de classe ou d’intégrer des messes obligatoires aux emplois du temps des élèves, ce qui est rigoureusement interdit. Et c’est sans compter le recrutement de profs parfois particulièrement réactionnaires, qui tordent allègrement le cou aux quelques parties du programme qui restent progressistes malgré Mark Sherrigham.

          Sans argent public, ces établissements privés religieux qui assurent un enseignement confortable – et souvent bien réactionnaire – aux enfants des riches s’effondreraient. En résumé, la République soi-disant laïque finance des écoles cathos tout en persécutant les élèves musulmanes dans les écoles publiques, déjà souvent défavorisées.

          C’est exactement l’inverse de la laïcité, la vraie. Celle qui consisterait à reprendre l’argent donné aux écoles religieuses pour assurer un enseignement public de qualité, ouvert à toutes et tous, sans distinction ni discrimination. La loi de 1905, aujourd’hui brandie par l’extrême droite, est explicite : c’est à l’État d’être neutre vis-à-vis des croyances, pas aux usagers des services publics. - source -

Comme "ils" tiennent le fric de tous les côtés et que leurs enfants vont dans les écoles privées catholiques, "ils" vont certainement pas enlever le financement public de leurs écoles, plutôt les augmenter sans vergogne,... Toujours (peu) surpris de voir des écoles privées étincelantes d'un côté et de l'autre, les bâtiments des écoles publiques en piteux états.

 

> en ce jour de rentrée : " quand l’armée envahit l’école "

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          L’Éducation nationale et le ministère des Armées multiplient les dispositifs communs, comme les « classes défense sécurité globale », pour diffuser à des collégiens un « esprit d’engagement ». Certains parents et enseignants sont réticents, craignant un endoctrinement.

          Rangés au garde-à-vous, face au mât des couleurs et chantant « La Marseillaise ». Sur la place d’armes de la caserne Vaillant de Dijon (Côte-d’Or), ce 22 mai, la journée des quatre classes de défense et de sécurité globale (CDSG) ayant participé au « rallye citoyen » se clôture.

          En deux jours, 200 collégiens de cinquième et de troisième ont sillonné la capitale des ducs de Bourgogne afin de participer à une dizaine d’ateliers de promotion de « l’esprit de défense et du devoir de mémoire ». Au programme : tir au pistolet laser, apprentissage des premiers secours au combat, fouille de cellule pénitentiaire, histoire de la Légion d’honneur, ateliers « zéro -tolérance ». Toutes ces activités font entrer les jeunes dans les métiers en uniforme. Aux côtés de militaires, de policiers, de gendarmes ou de bénévoles de la Croix-Rouge, les professeurs et réservistes citoyens accompagnants arborent fièrement un bracelet tricolore ou un sweat floqué « Classe défense ».

          Ce projet de rallye s’inscrit dans le cadre d’une démarche de sensibilisation de la jeunesse aux valeurs de « défense, de solidarité et de citoyenneté » et répond à la politique « Ambition armées-jeunesse » du ministère des Armées. Ces journées, rattachées aux classes de défense, trouvent leur place dans une offre de plus en plus foisonnante de « dispositifs de citoyenneté » : service national universel, cadets de la défense, service militaire volontaire, période militaire d’initiation…

          Les classes de défense sont appelées à se multiplier à travers le territoire. Il en existe 500 en collèges et lycées, et 12 500 élèves en sont bénéficiaires.

          Les formules se multiplient, mais l’objectif, décrit dans un protocole interministériel de 2016, reste le même : renforcer les « relations entre la défense et le système éducatif » à la suite des « événements tragiques qu’a vécu notre pays en 2015 » et qui « ont porté atteinte aux valeurs de la République ». Des attentats qui « appellent de notre part des réponses qui passent par la connaissance, la compréhension, l’échange entre toutes les composantes de la communauté nationale », poursuit le document.

          Dans ce cadre, les classes de défense sont appelées à se multiplier à travers le territoire. À ce jour, il en existe 500 en collèges et lycées, et 12 500 élèves en sont bénéficiaires. Ces dispositifs sont pilotés de concert par les ministères de l’Éducation nationale et des Armées. Menées à l’initiative d’un·e enseignant·e, ces classes reposent sur une participation volontaire des élèves. L’enseignement de la « défense, des valeurs et des principes de la République » est dispensé" par une unité militaire partenaire. Tout au long de l'année, les élèves participent à des commémorations et visites de lieux de mémoire. Des soldats d'active peuvent aussi décrire leur métier devant les jeunes de moins de 15 ans (... suite payante ) - source -

Ce qui est le plus intéressant dans cet article c'est la photographie choisie pour illustrer l'article et plus particulièrement le militaire au premier plan : une femme gendarme. Apparait ainsi la réalité de la perversité de l'objectif de ces manœuvres d'endoctrinement des écoliers : créer un bain de jeunes catéchisés à l'ordre et la discipline qui serviront d'informateurs/défenseurs/réservistes de la gendarmerie et cachés au sein la population... La dictature pure et dure qui s'annonce en France ( et dans cette union européenne de merde ), soutenue par les forces militaires complices, aura besoin de ces milliers de jeunes "volontaires" endoctrinés...

Quand aux uniformes scolaires que veulent Macron et Attal ( les capitalistes américains en costards adorent les uniformes pour repérer au premier coup d’œil leurs inférieurs et leurs situations ) , ils finiront certainement sous cette forme :

 

> Emmanuel Macron veut « une formation dès l’après-bac » pour les enseignants

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          Le chef de l’État veut rétablir une « formation intégrée » dès l’obtention du bac pour faire face aux pénuries de candidats aux concours d’enseignants, réservés aujourd’hui aux détenteurs d’un bac + 5.

          Emmanuel Macron veut « une formation dès l’après-bac » pour les enseignants, afin de permettre aux jeunes d’être formés plus tôt à ce métier, a-t-il annoncé vendredi 1er septembre. Le chef de l’Etat a précisé avoir demandé au nouveau ministre de l’éducation nationale, Gabriel Attal, de travailler sur ce sujet, lors d’un déplacement pour la prérentrée des enseignants dans un lycée professionnel d’Orange (Vaucluse).

          « Ce que j’ai demandé au ministre, c’est de travailler sur la formation. Ce que nous voulons faire, c’est aussi une formation dès l’après-bac, professionnalisante, plus visible, qui va nous permettre de mieux planifier nos besoins, et en quelque sorte de revenir à un système qu’on connaissait par le passé, qui fonctionnait, qui est un peu celui des Écoles normales », a développé Emmanuel Macron.

          « Il faut qu’on puisse permettre à nos jeunes bacheliers et bachelières qui veulent aller vers ce beau métier d’être formés aux savoirs fondamentaux nécessaires au métier d’enseignant dès l’après-bac, d’avoir une formation intégrée, ce qui nous permettra aussi par rapport aux besoins qu’on connaît[ra] d’ici trois, quatre, cinq ans d’avoir le bon système de recrutement et pas simplement d’ouvrir des concours année après année », a-t-il ajouté.

          Un peu plus tôt, lors d’une visioconférence avec des chefs d’établissements de lycées professionnels, le président Macron avait déjà indiqué avoir demandé au ministre de « travailler » à ce dispositif « dans les mois qui viennent », pour « qu’on puisse le monter au printemps et le déployer ».

Pénurie de candidats

          « Je pense que nous avons besoin de complètement changer le système de recrutement de nos enseignants », avait-il ajouté, sans préciser si ce nouveau dispositif concernerait les enseignants du premier et du second degré et s’il serait la seule voie possible de formation.

          En recrutant post-bac, « on limite l’un des phénomènes qu’on a aujourd’hui, qui parfois crée de la frustration et qui est à mon avis sous-efficace, c’est-à-dire d’avoir certains de nos enseignants qui rentrent après un cursus universitaire qui est totalement disproportionné et parfois décorrélé avec ce qu’ils vont faire ». Les concours de recrutement des enseignants ont actuellement lieu en seconde année de master, soit cinq années après l’obtention du baccalauréat.

          Face à la pénurie de candidats aux concours enseignants, le précédent ministre de l’Éducation, Pap Ndiaye, avait affirmé en juin qu’il voulait ramener le concours de recrutement des professeurs des écoles à bac + 3 « en 2025 ». « Même si rien n’est encore tranché, nous espérons mettre cette réforme en œuvre en 2025. Le président de la République et la première ministre, Elisabeth Borne, y sont très favorables », défendait le désormais représentant permanent de la France auprès du Conseil de l’Europe dans un entretien au Monde. - source -

Bizarre, on a vu à la TV que des vacataires étaient formés en une journée pour être enseignants ( au rabais ) avant d'être lâcher dans des classes ingérables ... Auparavant, les instituteurs étaient les fers de lance de la démocratie et formaient des citoyens : tout ce qu'à en horreur le capitalisme qui veut des salariés esclaves sans instruction autre que celle d'une morale religieuse ou d'un métier-prison. D'où la destruction organisée de l'éducation nationale principalement en France par une stagnation/réduction des salaires. Ces destructions touchent aussi, entre autres, la santé où les infirmier(e)s remplacent les médecins ( infimier(e)s IPA* - en pratique avancée -  et maintenant des infirmier(e)s qui installent à la place du cardiologue des pacemaker ! ). Tout cela relève d'une pratique courante dans les pays du tiers/quart monde ( où les "élites" ponctionnent sans aucun scrupule tout l'argent des États ) ce que la France est en train de devenir à grands pas...

(*) j'ai eu affaire à une infirmière IPA, une véritable catastrophe : pas de respect des protocoles médicaux, oubli ou modification de médicaments lors de renouvellements d'ordonnances, "consultation" en 3 minutes,...

 

> qu’est-ce que la procédure de rétrofacturation suite à une arnaque payée par carte bancaire ?

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          Vous avez commandé des produits sur un site internet qui n’ont jamais été livrés et ce, malgré vos relances ? Après un achat en ligne, vous constatez que vous avez été abonné - à votre insu - à un service non sollicité ? Savez-vous que, grâce à la procédure de rétrofacturation (chargeback), vous pouvez être remboursé gratuitement ?

          La procédure de rétrofacturation ou de chargeback permet à un consommateur qui a payé par carte bancaire de revenir sur son ordre de paiement et d'être remboursé directement et gratuitement par la marque de la carte bancaire ou par sa banque, lorsqu'un professionnel français ou étranger, ne respecte pas les droits du consommateur.

Dans quels cas la procédure de rétrofacturation est-elle applicable ?

          La révocation d’un paiement effectué par carte bancaire au motif du non-respect des droits des consommateurs par le professionnel, est possible depuis de nombreuses années grâce à plusieurs directives européennes. En général, la procédure de chargeback s'applique aux cas suivants :
- produit non reçu, ou non conforme à la description
- vol de carte bancaire
- piratage de carte bancaire
- fraude avérée
- faillite de la société.

          En outre, la rétrofacturation est possible en cas de paiement non autorisé, notamment dans le cas d’un « abonnement caché », c’est-à-dire lorsqu' un professionnel utilise vos coordonnées bancaires à l’occasion d’une commande sur un site internet (ou pour bénéficier d’une réduction sur celle-ci), pour vous faire souscrire, à votre insu, à un abonnement mensuel.

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> fast-food : des polluants PFAS dans les emballages en France, mais pas que...

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          Comment rendre les emballages en carton des burgers et des frites résistants à la graisse ? En utilisant des PFAS, ces substances perfluorées dont la toxicité est désormais largement dénoncée. Ils seraient omniprésents dans les emballages de fast-food utilisés en France, selon une nouvelle étude publiée le 4 août 2023 et menée par des chercheurs espagnols et Jacob de Boer, spécialiste néerlandais du sujet. Générations futures, qui révèle ces résultats, avait déjà pointé ce problème avec plusieurs ONG européennes en 2021.

          Entre septembre et novembre 2021, les chercheurs ont collecté quarante-sept emballages contenant des frites, hamburgers ou autres nuggets, issus de différents restaurants fast-food. Ils ont recherché quarante composés perfluorés, comprenant des PFAS à chaînes longues bien connus (PFOA, PFOS) mais aussi des PFAS à chaînes plus courtes et des précurseurs.

          Trois composés ont été retrouvés dans tous les emballages : le PFHxA, le 6:2 FTS et le 6:2/6:2 diPAP. Les fréquences de détection sont très importantes. Seules 2 substances sur 40 n’ont été détectées dans aucun emballage. Or, les PFAS contenus dans les emballages peuvent être une source de contamination des aliments. Les auteurs mettent l’accent sur un groupe particulier de PFAS appelés « PAP » (polyfluoro alkyl phosphate esters) qu’ils ont retrouvés aux concentrations les plus fortes. « Ces PFAS sont des précurseurs et peuvent se dégrader en PFAS à chaîne longue, comme le PFOA ou le PFOS dont la toxicité pour l’homme est avérée », explique Générations futures. 

          L’association rappelle qu’elle réclame l’interdiction de tous les PFAS dans les emballages alimentaires. « Ce type d’interdiction est déjà en vigueur au Danemark, déclare Pauline Cervan, toxicologue et chargée de mission scientifique et réglementaire chez Générations futures. Plusieurs projets de loi visant à interdire les PFAS dans les emballages alimentaires ont été déposés ces derniers mois en France. Toutefois, le gouvernement ne semble pas pressé d’agir et préfère attendre la mise en place d’une restriction au niveau européen qui devrait mettre plusieurs années avant de voir le jour. » - source -

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> JDD, Europe 1, CNews… la croisade médiatique de Bolloré,...

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           L’arrivée de Geoffroy Lejeune au JDD et l’agenda réactionnaire qu’il est en train d’y déployer ont inquiété une partie du monde politique français cet été, de la gauche au centre-droit. Si les méthodes brutales et l’ultra-conservatisme de Vincent Bolloré focalisent l’attention, on oublie souvent que sa préférence pour l’extrême-droite découle largement des intérêts de son groupe, bâti autour des énergies fossiles et de la Françafrique. La montée en puissance d’autres milliardaires représentant ces secteurs, comme Rodolphe Saadé ou Daniel Krétinsky, fait peser le risque d’un basculement plus large du monde médiatique vers l’extrême-droite. Article de la New Left Review par Théo Bourgeron, traduit par Alexandra Knez et édité par William Bouchardon. (...)

          Vincent Bolloré incarne parfaitement le capitalisme familial à la française. À l’occasion du bicentenaire de la société Bolloré, il a même posé en costume de velours traditionnel breton devant l’église de son village avec ses fils, affirmant que ces derniers devaient désormais planifier les deux cents prochaines années. Il prône des valeurs ouvertement réactionnaires, multipliant les déclarations d’attachement à une société catholique, patriarcale et autoritaire. (...)

           Les milliardaires qui investissent aujourd’hui dans la presse française sont ici réactionnaires au sens premier du terme : en soutenant l’extrême-droite, ils réagissent à des transformations politiques qui menacent leur capacité à accumuler à long terme. (...)

          L’ambivalence d’Emmanuel Macron à l’égard du milliardaire d’extrême droite est-elle si surprenante ? Après tout, les médias contrôlés par des milliardaires ont joué un rôle important dans ses campagnes électorales de 2017 et de 2022. Malgré les récentes manœuvres hostiles de Vincent Bolloré, le contrôle des grands médias par des milliardaires est l’une des clés de voûte des néolibéraux représentés par Emmanuel Macron. En outre, depuis qu’il a perdu sa majorité parlementaire en 2022, le Président de la République cultive une ambiguïté stratégique à l’égard de l’extrême droite, condamnant et adoptant alternativement ses idées en fonction des humeurs des instituts de sondage. Il est encore trop tôt pour savoir dans quelle mesure ces empires capitalistes et le centre-droit macroniste finiront par coopérer ou s’opposer. Ce que l’on sait déjà, c’est l’objectif que ces capitalistes poursuivent : un glissement vers l’extrême droite de la politique française. Qu’il s’agisse de Marine Le Pen ou d’un Emmanuel Macron 2.0, version Viktor Orbán, peu importe. Ils veulent protéger leurs intérêts économiques et ils ont les moyens de le faire. (...) - source -

Les très riches amis de l'extrême-droite espèrent, pour leurs plus grands bénéfices, que Le Pen sera présidente en 2027 et finira le travail de Macron : installer une dictature pure et dure en France. Et cela passe évidemment par le pouvoir d'influence des médias qui défendent et martèlent, entre autres, l'ordre et la bonne morale catholique,...

 

> l'État de droit ou l'antithèse du macronisme

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          À une époque où de nombreux (ir)responsables politiques français n’ont que « État de droit » et « démocratie » à la bouche, peut-être convient-il de rappeler succinctement ce que signifient ces termes.

          Dans un État de droit, les citoyens peuvent compter sur la justice et les autorités pour les défendre face aux discriminations, aux atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique. Ce qui implique que les droits des personnes handicapées soient respectés, qu’il n’existe pas de zones de non-droit, pas de territoires perdus de la République ni de déni des autorités face aux violences que subit la population. Dans un État de droit, les responsables politiques ont l’obligation de rendre des comptes à leurs concitoyens. En outre, les manifestations pas réprimées à coups de Flash-Ball ou d’arrestations arbitraires. Ensuite, qu’est-ce qu’une démocratie ? C’est un système politique où le peuple est souverain, où l’opposition politique et la liberté d’expression peuvent s’exercer librement. Ce qui implique que le droit de manifester sans craindre de violences soit respecté, que les opposants politiques ne soient pas diabolisés et que les résultats des référendums ne soient pas violés. Dans une telle société, le peuple est souverain et aucun système extranational et non élu ne peut lui imposer ses quatre volontés.
          En résumé, l’État de droit et la démocratie sont exactement l’antithèse de ce qu’est la France (et plus largement l’Europe) moderne. - Louise Rivière -

Un pays où l'état de droit est restreint voire inexistant est un pays sous le joug d'une dictature, la démocratie en France est morte depuis bien longtemps...

 

> à Barcelone, les restaurateurs interdisent aux clients de s’installer pour boire ou manger seuls

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          Dans les rues de la capitale catalane, la nouvelle stratégie des restaurateurs pour refuser les personnes seules agace les habitants.

          La colère monte dans les rues de Barcelone. Depuis quelques mois, les restaurateurs de la capitale catalane s’allient pour mettre en place une nouvelle pratique : interdire aux personnes seules de s’installer pour manger ou boire un verre. Comme le relate un article d’El País publié vendredi 4 août, ils sont de plus en plus de Barcelonais à être confrontés à ces refus sous prétexte qu’ils ne sont pas accompagnés.

          Et les vacances qui font affluer les touristes n’arrangent pas la situation des habitants solo. C’est le cas de Eudald E., qui raconte à El país comment les restaurants ont refusé de le servir. « Sur la première terrasse où j’ai obtenu une table, un serveur est arrivé rapidement et m’a dit qu’elle était réservée. Ce n’était pas le cas. Dès que je me suis levé, un groupe de touristes s’est assis derrière moi. À la suivante, on m’a prévenu que je n’aurais que 20 minutes. J’ai précisé que je voulais dîner, mais ils ont insisté pour que je le fasse dans ce laps de temps. Je me suis donc levé et au troisième et dernier, déjà au bout de la rue parce qu’il y avait beaucoup de monde, ils m’ont tout de suite dit que la terrasse était réservée aux groupes », explique-t-il.

          Anna T., habitante de l’Eixample Dret, quartier de Barcelone, affirme, elle aussi, avoir été soumise à ces types de refus mais de manière plus directe et brutale. Au bar Cugat, où elle a l’habitude d’aller, « ces derniers mois, quand il y avait du monde dans le bar, je me suis fait refuser plusieurs fois l’accès à la terrasse parce que j’y allais seule », explique-t-elle.

          Énervée de la situation, elle a alors demandé s’il était question d’argent et quel était le minimum qu’elle devait payer pour pouvoir s’asseoir sur la terrasse. « Ils m’ont dit qu’il ne s’agissait pas de cela, que je ne pouvais tout simplement pas m’asseoir seule » , dit-elle.

          Alors, les restaurateurs de Barcelone souffriraient-ils d’une « variante mercantiliste de la solomangarephobie ? » interroge le journal en évoquant ce terme qui désigne la peur de manger seul en public.

          En fait il s’agirait plutôt d’un des nombreux effets post-pandémie. C’est depuis la fin du Covid-19 et le retour en masse des touristes que les restaurateurs catalans ont pris l’habitude de refuser les personnes seules. Objectif : privilégier les grosses additions quitte à sacrifier les clients locaux.

          Depuis 2022, les plaintes des habitants à ce sujet ne cessent de se multiplier sur Twitter (rebaptisé X). « 19 h 43 et ils ne voulaient pas nous servir sur la terrasse du bar à riz à Sants parce que “c’était déjà l’heure du dîner” », a tweeté Clara Ziegnem la semaine dernière. « Quatre heures de l’après-midi. Avant d’entrer au MACBA, nous voulons prendre un café. On ne nous le sert pas sur la terrasse parce que "c’est déjà l’heure de l’apéritif" », a partagé la journaliste Noemí Vilaseca sur le même réseau le 22 juillet.

          Interrogée sur le bien-fondé de ces pratiques, la mairie de Barcelone a saisi l’association des restaurateurs de la ville ainsi que le gouvernement de Catalogne pour obtenir des réponses. À ce jour, aucun retour n’a été apporté au journal. - source -

  pas nouveau ! je me suis vu refuser, bien avant la Covid, plusieurs fois l'accès à des restaurants en France car j'étais seul !!! " désolé, Monsieur, il n'y a plus de place... " alors qu'1/4 des tables étaient vides !!! Enfoirés ! J'ai même eu un refus dans un restaurant où j'allais en couple quelques fois par an depuis des années, ils ne m'ont évidemment plus revu...