l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> le séparatisme climatique des ultrariches ( partie 1/2 )

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Bunkers et fermes bio : comment les ultrariches préparent l’avenir

          Les ultrariches se préparent à la catastrophe qu’ils ont eux-mêmes contribué à provoquer. Alors que le monde plonge peu à peu dans le chaos climatique, ils se bâtissent des bunkers, s’achètent des îles privées et s’aménagent des existences qu’ils rêvent à l’abri des violences, pour continuer à vivre dans le luxe, le calme et la volupté.

          Voilà déjà quelques années que les médias ont révélé le phénomène. La pandémie de Covid-19 et la guerre en Ukraine ont tout accéléré. Avec leurs jets privés, leurs yachts et leurs « gated communities » (quartiers résidentiels privés), les milliardaires ont décidé de faire sécession.

          La Nouvelle-Zélande et la Patagonie sont devenues leurs repaires. Ils investissent aussi dans des contrées isolées comme l’Alaska, la Scandinavie ou le Kamtchatka en Russie. Steve Huffman, le cofondateur du réseau social Reddit, le dit lui-même : une bonne moitié de ses collègues milliardaires de la Silicon Valley ont acheté des « biens immobiliers apocalyptiques » dans le monde. Les médias anglo-saxons évoquent même « un rush ».

Des jets privés prêts à décoller pour la Nouvelle-Zélande

          Le dernier en date à avoir défrayé la chronique est le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg. Son bunker de luxe à Hawaï, baptisé « Koolau Ranch », devrait coûter plus de 250 millions d’euros. L’abri de 464 m2, protégé par une porte blindée et un système de vidéosurveillance hors norme, est capable de se fournir lui-même en électricité ainsi qu’en eau grâce à une gigantesque citerne. Une ferme biologique de 27 hectares lui est associée pour pouvoir vivre en autarcie. Au bord du Pacifique, le milliardaire attend la fin du monde en écoutant le bruit des vagues.

► pour lire la suite...

> La Poste, ça ne s’arrange pas...

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          Je vous adresse un bilan succinct de mes dernières expériences avec La Poste: trois colis Chronopost sur cinq perdus, des courriers recommandés déposés dans la boîte à lettres sans signature, un pli qui met 10 jours pour parcourir 5 kilomètres, des revues mensuelles reçues deux par deux, soit une accusant un mois de retard.
          C’est pathétique. Et les réclamations restent sans suite. ( Pierre Niederhauser, Valleiry (74))

la première moitié du 21ème siècle verra la destruction voulue et organisée des services publics français, grâce, il ne faut pas l'oublier à cette union européenne de merde et à l'Allemagne, mais aussi aux élus du peuple députés qui se sont succédés depuis 25 ans et qui l'ont permis par leurs votes...

ni l'hôpital public !!! :

Le pire dans tout cela, dans toute cette merde voulue, c'est que les professionnels font comme pratiquent les banquiers, la sourde oreille !!! Enfoirés !

 

> nos modes de vie sont dictés par le marché

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          C'est le principe même de la marchandisation du monde, et qui dit marchandisation du monde dit marchandisation des existences. Les sphères de l'existence humaine qui échappent encore à l'emprise de la logique marchande fondent comme la neige au soleil du capital. Dans son maître ouvrage, Karl Polanyi a dégagé la notion de « marchandise fictive » pour qualifier les biens non-marchands illégitimement transformés en marchandise par le capitalisme, en l'occurrence : la terre, le travail et la monnaie. Il est peu de dire que ce mouvement de marchandisation n'a pas reflué. « Le néolibéralisme y a ajouté la fiction de l’entreprise marchandise », note le juriste Alain Supiot. Et en effet, la globalisation a mis les entreprises au service de la finance et les États en situation de concurrence fiscale, sociale et écologique. Les entreprises deviennent des marchandises (simples outils de création de valeur pour les actionnaires) et puisque les États deviennent des entreprises...

          Le sociologue britannique Michael Burawoy a avancé l'idée que le « savoir » est également devenu une marchandise fictive, avec le développement du capitalisme cognitif et de l'économie de la connaissance. Même son de cloche chez l'économiste Geneviève Azam : « C'est un choc culturel qui sépare la connaissance, dans laquelle s'exprime et s'accomplit l'humanité, des autres activités de la vie pour la soumettre à l'appropriation et à la loi du marché. » Cette logique décrite par Geneviève Azam peut s'étendre à la vie sociale en général puisque le capitalisme est un « fait social total » (Michéa). C'est d'ailleurs ce que montre le philosophe Mark Hunyadi lorsqu'il parle de la « tyrannie des modes de vie ». Il met au jour un des paradoxes de l'époque : par la promotion libérale des droits individuels, chacun se trouve garanti et protégé dans son statut à un niveau jamais atteint dans l'histoire de la civilisation occidentale, mais ce règne de l'individu roi atomisé est simultanément la meilleure garantie pour les systèmes instrumentaux (économiques, financiers, technoscientifiques...) d'enrégimenter les vies collectives. Qui a été consulté pour la généralisation de Burger King, des QR codes, des écrans publicitaires et des caisses automatiques ?

          Les émotions humaines elles-mêmes ont été marchandisées, rationalisées, processualisées, ce que la sociologue Eva Illouz appelle « le capitalisme émotionnel » : « Les actes de consommation et la vie émotionnelle s'entrelacent désormais jusqu'à devenir inséparables. » Que reste-t-il de l'humanité, lorsque même l'amour n'est plus un miracle ? ( Maxime Le Nagard ) - extrait de la revue " Front Populaire " n° 15 trimestriel décembre 2023 / janvier - février 2024 )

> les pôvres agriculteurs, fonctionnaires européens...

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un petit tour sur ce site et vous serez édifié :

>>> c'est par ici

          Vous constaterez que tous les agriculteurs de votre commune touchent un salaire annuel ou "aides" de l'union européenne, ils sont donc rémunérés par l'UE comme des fonctionnaires. Les pôvres ! Et, c'est sans compter sur toutes les autres aides/primes/remises fiscales/... qu'ils perçoivent, évidemment plus discrètes ou secrètes les unes que les autres ! Et après ça pleure et ça détériore les biens publics comme des voyous de gilets jaunes, sans grandes réactions de l'état !

          On peut y voir que dans ma commune, il y a 23 agriculteurs. Ils ont perçu un don global de l'UE de 620 611 € en 2021 ou 2022 (pas très claire la période indiquée), soit une moyenne de 27 000€ par agriculteur. Bien évidemment pas de chiffres pour 2022 ? ou 2023, secret des affaires !

> même pas 700 000 bébés !

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          C’est la cata. Mardi 16, l'Insee a publié son bilan démographique 2023. « Chute de la natalité », titre « Le Parisien » (15/1). « La France à la traîne », titre « L'Express » (11/1). « Pourquoi il faut relancer la natalité ». titre « La Croix » (16/1). La France fait de moins en moins de bébés. Seulement 678 000 l’an dernier. Voilà dix ans, une femme avait 2 enfants, en moyenne. En 2023, elle n'en faisait plus que 1.68. Ça baisse d'année en année. Ce n’est pas sérieux.

          Qui va payer nos retraites ? Traverser la rue pour trouver du travail ? S'occuper des baby-boomeurs, nés entre 1945 et 1965, lesquels vont bientôt envahir les Ehpad ? C’est une menace pour la croissance. Une menace pour les finances publiques. Une menace pour la France.

          Certes, la population continue d’augmenter, mais très peu : seulement de 0,29 % en 2022. Nous sommes 68,4 millions. Quand atteindrons-nous les 70 millions ? Ce n'est pas pour demain. Pauvres de nous. Aujourd’hui, les femmes sont plus diplômées que les hommes. Elles travaillent, et, la double journée de travail, elles n'en veulent plus. Ajoutez à cela le coût de la vie, les logements trop chers et trop petits...

          Et l’éco-anxiété. La peur des catastrophes, des famines, du réchauffement, de la sixième extinction, de l'exploitation à mort des ressources naturelles. On nous a répété que nos « petits gestes » allaient sauver la planète. On peut dire que les femmes le font, ce petit geste : en faisant moins d’enfants.

          Marine Le Pen crie au feu, et Bayrou, et l’Eglise catholique. Vite, il faut une relance de la natalité bleu-blanc-rouge, avec des aides, des prêts, des primes. Maman !

          Bon, en Espagne c’est pire que chez nous : 1,29 enfant par femme. Et en Italie, en Allemagne, en Chine, en Corée du Sud. au Japon... A ce rythme-là, pas sûr que la planète héberge 10 milliards d’humains à la fin du siècle. Heureusement, Elon Musk nous montre le chemin. Il a déjà 10 ou 11 enfants. Il prône l'hypematalité. Il veut « sauver l'humanité ». C’est qu'il va en falloir, des Terriens, pour s'enfuir sur Mars et la transformer en planète habitable ! (J.-L. P. )

Quitte à me répéter, il faut être inconscient ou très riches pour faire des enfants aujourd'hui. Car ces enfants n'auront pas d'avenir radieux mais uniquement les esclaves ou soldats de dictatures financières cupides, perfides et impitoyables ; inconsciemment les gueux l'ont compris...

 

> le cartel des conserves au bisphénol

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          De mieux en mieux. On connaissait les ententes sur les prix entre géants de l'agroalimentaire sur le dos du consommateur, voilà qu'on découvre, avec effarement, que 11 grandes marques de l'alimentation, dont Unilever, Andros, D'Aucy et Bonduelle, ont comploté au détriment de la santé de leurs clients. Un cartel de la conserve sur lequel l'Autorité de la concurrence vient de taper en lui infligeant une amende de plus de 19 millions d'euros.

          L'occasion, pour « Le Canard », de raconter les détails d'une enquête qui révèle que, pour se faire de l'oseille, certains grands groupes alimentaires ont sciemment joué la montre afin d'utiliser le plus longtemps possible dans leurs canettes et boîtes de conserve une substance chimique qu'ils savaient dangereuse. Tout commence lorsque l'Assemblée nationale, alertée sur la nocivité du bisphénol A (BPA), décide de l'interdire dans les tétines de biberon dès le 1er janvier 2013, puis dans tous les contenants et ustensiles en contact avec les denrées alimentaires à partir du 1er janvier 2015.

          Dès 2010, l'Institut national de la santé et de la recherche médicale, l'Inserm, s'est en effet fendu d'un rapport sur les dangers du BPA sur le système de reproduction humain - des inquiétudes confirmées un an plus tard par l'Agence nationale de sécurité sanitaire.

          Consternation du lobby des fabricants de plastique, qui saisissent le Conseil constitutionnel pour torpiller la loi, en vain (« Conflit », 17/3/21).

          C'est alors que les industriels de la conserve s'entendent en loucedé pour empêcher quiconque, avant la date fatidique du 1er janvier 2015, de vendre des boîtes ou des canettes sans BPA en faisant un argument commercial. Et gare aux récalcitrants. L'Association nationale des industries alimentaires rappellera ainsi à l'ordre Tetra Pak, Fleury Michon ou encore Système U, qui avaient eu l'outrecuidance d'afficher une mention indiquant l'absence de bisphénol A sur leurs produits.

          Résultat : trois ans durant, les consommateurs ont fait leurs courses sans pouvoir identifier, dans les rayons, les conserves et les canettes exemptes de BPA. Non seulement le cartel s'est arrangé pour que la grande distribution, qui réclamait des conserves sans BPA, en reçoive le moins possible avant l'entrée en vigueur de la loi, mais il a continué après cette date d'écouler ses stocks au BPA jusqu'à la dernière boîte.

C'est ce qui s'appelle agir de conserve...

En macronie, les entreprises se sentent toutes puissantes et plus puissantes que l'état ( et l'union européenne de merde ) qui les dorlote,... D'ailleurs, 19 millions d'amende, c'est une goutte dans l'océan des profits de ce cartel. Une telle petite amende incite bien évidemment les entreprises à récidiver car, en bons commerçants, pourquoi se gêner, lorsque les profits sont largement supérieurs aux pertes !

précisions ( - source - ) Il s’agit d’Andros, Bonduelle, Charles et Alice, Cofigeo, Conserves France, D’Aucy, General Mills, et Unilever, conserveurs, ainsi que d’Ardagh, Crown et Massilly, fournisseurs de boîtes. = donc, tous inscrits sur ma liste rouge de produits à éviter...