l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...



La pauvreté est un refus de partager la grande fraternité de la merde - Romain Gary

> haro sur les bagnoles !

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Stationnement : ça va sulfater !

          Contrôles automatisés dans 50 villes. On y est déjà presque ! La plupart des grandes métropoles chargent déjà des “sulfateuses à PV” - ces voitures dotées de lecteurs de plaques d’immatriculation - de repérer ceux qui ont snobé l’horodateur. En ajoutant les nouvelles agglomérations engagées sur cette voie (Beauvais, Fontainebleau, Le Havre, Nancy, Nantes, Perpignan, Rennes...), elles seront bientôt cinquante à industrialiser leurs contrôles !

          Les places gratuites reculent, les prix augmentent. Plusieurs villes étendent le périmètre du stationnement payant. C’est d’ores et déjà le cas dans le centre-ville de La Rochelle (17), ça le sera à partir de février à Dijon (21), et de juin à Strasbourg (67) sur 8100 places (secteurs du Neudorf, de l’Orangerie, des quais Zorn et Mullenheim...). A Caen (14), ce sont les tarifs qui viennent de grimper, tout comme à Lourdes (65), où le FPS passe à 40 € et où la durée du stationnement payant s’allonge Jusqu’à 22h15 contre 18h15 auparavant). Enfin, à Boulogne-Billancourt, les deux-roues motorisés sont désormais priés de passer à... la caisse !

          Paiement “au poids”. C’est l’une des “tendances” 2024 : frapper au portefeuille les conducteurs de véhicules jugés trop encombrants. Ainsi, à Lyon l’abonnement résidentiel doit être majoré à 45 € pour les modèles thermiques de plus de 1 725 kg, les hybrides rechargeables de plus de 1,9 tonne et les électriques de plus de 2,2 tonnes. Quant à Paris, c’est le résultat de la votation “anti-SUV” du 4 février qui donnera le ton : pour ou contre le triplement du prix du stationnement pour les thermiques et hybrides rechargeables de plus de 1,6 tonne et les véhicules électriques de plus de 2 tonnes ?

C'est la fin annoncée de l'usage des véhicules pour les simples particuliers, cela fera de la place libre pour les friqués qui font, sans état d'âme, lois et réglements en leur faveur !

 

🔨 BLOB du jour

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          " Rachida Dati est à l'image du gouvernement, où il n'y a que des nuls, des voyous, des tricheurs et des mis en examen. C'est un gouvernement de riches déconnectés qui font la guerre aux plus précaires avec une arrogance terrible " - Philippe Poutou - (itw Franceinfo).


          l'extrait de France-Info sur le sujet ( 19/20 info jeudi 18 janvier ) : admirez la manière dont les deux journalistes invectivent interrogent Poutou, en style BFM ou CNews, et la coupure de l'écran en 2/3 - 1/3 pour privilégier la vue de Macron et Dati et minimiser celle de Poutou pour réduire ainsi l'impact de ses paroles ; sans oublier les coupures incessantes des 2 journalistes pour imposer leurs vues ou chercher à provoquer un scandale, journalistes qui ressemblent beaucoup à des "chiens de garde"...

 

> la "précarité étudiante" à la "pauvreté étudiante" : résultats alarmants

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 De la "précarité étudiante" à la "pauvreté étudiante" :
les résultats alarmants de la consultation de la Fage ( par Virginie Fauvel , Localtis )

 

          La consultation menée par le premier syndicat étudiant, la Fage, auprès de quelque 7.500 jeunes au dernier trimestre 2023 alerte sur les difficultés majeures que rencontrent les étudiants pour se loger, s'alimenter et remet en cause, selon le syndicat "les rêves d'un enseignement supérieur accessible à toutes et tous".

           Manque de logements, mauvais état des résidences universitaires, des restaus U éloignés des campus et surtout fermés le soir et le weekend... La Fage, premier syndicat étudiants, a présenté mercredi 10 janvier 2024 les résultats d'une consultation menée auprès de 7.531 d'étudiants, au dernier trimestre 2023. "La précarité, c'est le premier facteur d'échec académique", a souligné Maëlle Nizan, présidente de la Fage, lors d'une conférence de presse. Selon elle, "on ne veut plus parler de précarité étudiante mais de pauvreté étudiante".

          Résultat, le logement, premier poste de dépenses, concentre la majorité des préoccupations des étudiants. "La rentrée 2023 a été marquée par une hausse de 8,95% des loyers", peut-on lire dans les résultats de la consultation. L'annonce de l'objectif de construire 35.000 logements étudiants sur 2024-2027, détaillé par Sylvie Retailleau et Patrice Vergriete début décembre 2023 sera-t-elle suffisante ? Probablement pas.

          La consultation révèle aussi l'insuffisance de l'offre Crous. Ainsi 37% des étudiants qui n'ont pas pu décrocher une chambre universitaire aimeraient en avoir une (58% en Ile-de-France, où le loyer moyen payé par les étudiants est de 700 euros). Sur l'ensemble de la France, le Crous propose 173.430 places, pour 2,93 millions d'étudiants, dont 675.400 boursiers, selon la Fage.

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> Rachida Dati ; la dame d’affaires

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          Nouvelle ministre de la Culture reste maire du VIT arrondissement de Paris et n’en a pas non plus fini avec les ennuis judiciaires.

          Elle arrive quelque part, balance une vanne qui fait marrer les gens, fait son cirque, joue de sa différence, minaude, copine, prend des numéros de téléphone, arrange des coups, voit les failles des uns et des autres, qu’elle saura utiliser ultérieurement, ment effrontément et repart, laissant ses interlocuteurs sous le charme. Ça fait trente ans qu’elle fait ça. » Ce témoignage d’un socialiste qui l’a maintes fois croisée résume bien la méthode Dati. Culot, énergie, humour, génie pour se mettre les gens dans la poche... Rachida Dati n’est pas revenue au gouvernement par hasard. « Elle a su séduire Brigitte Macron, qui a soutenu sa nomination », assure un membre du gouvernement.

          Mais la nouvelle ministre de la Culture n’hésite pas non plus à utiliser la menace. En privé, bien sûr. Quand la journaliste Bérengère Bonte, auteure de « La République française du Qatar » (Fayard), enquête, en 2016 et en 2017, sur les liens de Dati avec l’émirat, elle reçoit un coup de fil virulent : « Eh bien, on se retrouvera au tribunal. » Evidemment, Bonte attend toujours. Qu’avait-elle découvert de si gênant ? Des petites histoires qu’on préfère glisser sous le tapis. Comme cette demande au fonds souverain qatari d’un modeste virement de 400 000 euros pour une vague association des ambassadeurs du Golfe qu’elle venait juste de créer. L’ambassadeur du Qatar l’ayant renvoyée dans ses buts, la sémillante Rachida Dati s’était pointée le lendemain à un dîner où elle avait fait la même demande au ministre des Affaires étrangères qatari, en visite à Paris. La lettre de refus fut cinglante. Petit détail marrant : Dati avait prévu, pour accueillir le magot, de créer une société immatriculée... au Luxembourg. Elle était, à l’époque, députée européenne. Oups.

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> il faut arrêter de financer l'école privée !

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          Le réel ne lui convient pas ? Elle a les moyens de le changer. Elle a les moyens de transformer un démantèlement systématique de l'école publique en un argument en faveur de l'école privée. C'est d'ailleurs un argument largement utilisé par beaucoup de familles. Sauf que ce qu'on oublie de dire c'est que ce choix de l'école privée détruit en retour toujours davantage l'école publique en la privant de moyens financiers, matériels et humains. En effet, chaque élève supplémentaire dans l'école privée c'est automatiquement moins de moyens et moins de mixité sociale pour l'école publique. Si l'objectif était de réduire l'école publique à un centre de tri et à un organisme de validation des inégalités sociales, cette position de l'école privée serait une chose tout à fait voulue.

          L'affaire de la ministre Oudéa-Castéra nous offre l'occasion de faire un point sur l'état de l'école publique ainsi que sur ses perspectives. Et le moins que l'on puisse dire c'est que la morosité du réel côtoie les faux-semblants des discours de nos gouvernants.

          L'école publique subit des attaques de plus en plus violentes depuis le début du règne de M. Macron. Il s'agit d'une véritable stratégie du choc permanente où les enseignants ainsi que tous les autres personnels mais aussi et surtout les élèves et leurs familles se trouvent désarmés face au rouleau compresseur qui avance et détruit tout méthodiquement.

          Mme Oudéa-Castéra ne participe donc pas qu'indirectement à cette entreprise destructrice, à l'instar d'autres familles. De par sa position elle attaque l'école publique non seulement par ricochet, en scolarisant ses enfants dans le privé, mais aussi directement, en poursuivant la ligne politique tracée par M. Macron depuis 2017.

          La politique éducative des différents gouvernements macronistes agit sur plusieurs plans : sur les contenus et les formes des apprentissages eux-mêmes, sur les conditions de travail des personnels et des élèves mais aussi sur l'enrobage et le maquillage de ces politiques en des mesures d'un soi-disant bon sens.

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> retraite, chômage, RSA : cette guerre sociale qui s’amplifie

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          Dans le monde imaginaire de l’exécutif, nous nous serions rapprochés du plein emploi, et il faudrait poursuivre dans les réformes pour enfin revenir à un marché du travail équilibré. Par-delà le mensonge statistique éhonté de ce discours, cela justifie une déconstruction toujours plus extrême de notre modèle social, que l’on peut qualifier de véritable guerre sociale.

Les basses œuvres oligarchistes

          Le titre du (bon) livre de Romaric Godin peut sembler excessif, mais en prenant du recul, c’est ce qui est à l’œuvre dans nos sociétés occidentales, avec la déconstruction du modèle social hérité des Trente Glorieuses. La réalité, c’est que nos dirigeants, de droite, de gauche, et du centre mènent une politique qui fait des intérêts de l’oligarchie l’objectif de toute la politique économique, dans l’espoir que cela finisse par ruisseler. Comme Warren Buffet l’a admis sur CNN en 2005 : « il y a une lutte des classes, évidemment, mais c’est ma classe, la classe des riches qui mène la lutte. Et nous sommes en train de gagner ». Cette lutte passe par une déconstruction des droits sociaux des classes moyennes et populaires pour donner toujours plus de liberté aux plus riches, ainsi qu’une fiscalité toujours plus douce.

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> radars routiers : en route pour un record

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          L’État table sur 769 millions d’euros de recettes issus des PV réglés dans les temps, et 1 milliard en ajoutant les amendes forfaitaires majorées.

Parc maintenu à 4600 radars fixes et mobiles.
Les modèles les plus anciens - dont 200 cabines Mesta 21OC - seront remplacés par autant de radars discriminants dotés de “flashs” infrarouges invisibles. Par ailleurs, les 1500 radars tourelles seront, a priori, tous actifs, alors qu’ils étaient prévus pour être “occupés” à tour de rôle. A voir, sachant que notre petit doigt nous dit que cette fonction “leurre” n’est pas totalement morte (voir p. 15).

Deux fois plus d’autonomes.
On comptera 800 radars “de chantier” fin 2024 ! Chacun flashant deux à cinq fois plus que les autres radars, les 10 millions de flashs sont à leur portée (contre 6,5 en 2022) !

Statu quo pour les mobiles.
Parc des 500 hiboux maintenu en l’état, tout comme celui des 500 voitures radars, dont la privatisation dans les quatre dernières régions attendra.

Les radars urbains mis en route ?
Prévue en mars 2023, la mise en service des “minitourelles” en test à Belfort, Marseille ou Toulouse a été reportée. A mi-janvier 2024, comme l’évoque la presse franc-comtoise ? Ou après les JO, sachant que leur gestion est désormais confiée aux collectivités locales ? Lorsque ce sera fait, les 400 radars de feu rouge céderont en tout cas leur place aux urbains. Nouveauté: il se pourrait bien que ces cabines contrôlent simultanément les feux rouges et la vitesse.

Premiers PV par les “radars de covoiturage”.
2024 devrait voir les grands débuts des dispositifs chargés de compter les passagers empruntant les voies “VR2+” (réservées aux véhicules transportant au moins deux personnes), mais aussi les voies olympiques parisiennes. Ces appareils déjà en test dans une dizaine d’agglomérations doivent - en principe - démarrer leurs verbalisations prochainement.

Objectifs de tout cela, facile ! Rendre l'usage des moyens de transports individuels de plus en plus difficiles et réduire ainsi leur nombre sur les routes. Le tout, certainement pour les plus grands profits des assureurs car moins de kms parcourus et des assurances de plus en plus chères => les actionnaires s'en mettent encore plus dans les poches...

 

> l’eau en bouteille déborde de centaines de milliers de nanoplastiques par litre !

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          Selon une nouvelle étude parue dans une revue américaine, la pollution aux nanoparticules dans l’eau en bouteille est 100 fois plus élevée qu’estimée auparavant.

          Nombre d’ONG et d’études avaient déjà démontré la présence de microplastiques dans l’eau des bouteilles en plastique. Mais elle contient en réalité jusqu’à 100 fois plus de minuscules particules de plastique qu’estimé jusqu’ici, selon une nouvelle étude publiée lundi. En utilisant une technique novatrice, les scientifiques ont comptabilisé en moyenne 240 000 fragments de plastique détectables par litre d’eau, après avoir testé le produit de plusieurs marques populaires.

          Cette étude, publiée dans la revue Pnas, soulève des questions sur les conséquences potentielles pour la santé. « Si les gens sont inquiets à propos des nanoplastiques dans l’eau en bouteille, il est raisonnable de considérer des alternatives, comme l’eau du robinet », a dit Beizhan Yan, coauteur de l’étude. Mais il a ajouté : «Nous ne recommandons pas de ne pas boire d’eau en bouteille quand c’est nécessaire, car le risque de déshydratation peut être plus grand que les conséquences potentielles de l’exposition aux nanoplastiques.»

Recherches sur leurs conséquences sur la santé encore limitées

          Les nanoplastiques attirent de plus en plus l’attention ces dernières années, et sont présents partout sur la planète. Les microplastiques font moins de 5 000 micromètres (soit 5 millimètres), tandis que les nanoplastiques font eux moins d’un micromètre. Ils sont si petits qu’ils peuvent entrer dans le système sanguin et donc jusque dans les organes, dont le cerveau et le cœur. Les recherches sur leurs conséquences sur les écosystèmes et la santé humaine sont encore limitées, mais certaines études ont déjà mis en évidence des effets néfastes, par exemple sur le système reproductif.

          Pour leur étude, les chercheurs ont eu recours à une toute nouvelle technique utilisant des lasers. Ils ont testé trois marques d’eau, sans révéler leur nom : « Nous pensons que toutes les eaux en bouteille contiennent des nanoplastiques, donc en mettre certaines en évidence pourrait être considéré comme injuste », a expliqué Beizhan Yan.

          Les résultats ont montré que chaque litre contenait entre 110 000 et 370 000 particules par litre, dont 90 % de nanoplastiques, le reste étant des microplastiques. Le type le plus communément retrouvé était le nylon – provenant probablement de filtres en plastique utilisés pour purifier l’eau –, suivi du polytéréphtalate d’éthylène (PET), dont les bouteilles sont faites. Les chercheurs espèrent à l’avenir tester l’eau du robinet, qui contient elle aussi des microplastiques, mais a priori en moindre quantité. - source -

Surtout pour les palettes remplies de bouteilles plastiques que l'on voit en plein soleil pendant des mois dans les réserves extérieures des supermarchés ; le plastique se délite rapidement lorsqu'il subit la chaleur. Il y a environ 4 ans, une étude allemande - vainement recherchée qui a disparu du Net - indiquait que les bouteilles plastiques recyclées contenaient 180 fois plus de microplastiques que les neuves... Quant à l'eau du robinet, elle a peut-être moins de microplastiques mais elle est pourrie de pesticides et autres. Bref, entre les lobbies de l'eau du robinet et ceux de l'eau en bouteilles plastiques, le consommateur a bien du mal à s'y retrouver. Et l’État fait bien évidemment le mort...

 

> à propos du « réarmement civique » des enfants et des adolescents

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(...) Une jeunesse piétinée

          L’inventaire des mesures qui ont récemment piétiné la jeunesse donne le vertige. On peut retenir deux images saillantes qui caractérisent à elles seules ce régime maltraitant. La première serait ces files d’attente, qui n’en finissent plus depuis la pandémie, d’étudiantes et étudiants en attente de distribution de nourriture ; la seconde celle des lycéens de Mantes La Jolie mis en joue et humiliés par une police heureuse d’assister enfin à la scène d’« une classe qui se tient sage ».

          Tout est concentré dans ces deux images : l’indifférence, l’inhumanité, la cruauté. Elles sont ont des ramifications : l’absence de prise en charge psychologique des jeunes en prise aux angoisses et velléités suicidaires qui saturent les services de psychiatrie pédiatrique ; la poursuite du démantèlement des pôles médicaux-sociaux dans les établissements scolaires ; l’encouragement du recours à la police dans les écoles au mépris des instances disciplinaires qui lui sont propres ; la médiatisation et criminalisation d’une infime minorité de cas d’élèves dérogeant aux minutes de silence ou proférant des propos indéfendables.

          Tout cela relève d’une même logique : la délégitimation du droit à la prise de parole, par la jeunesse elle-même, sur l’avenir sombre qui se dessine, sur leurs doutes, leurs craintes et les idées qu’ils pourraient avoir pour y remédier. Dans la foulée d’un gouvernement hostile à toute parole populaire, la société entière semble fermer la porte à toute considération pour les propos et gestes de sa jeunesse. Il n’y a qu’à écouter les ricanements lorsque des jeunes se mobilisent contre la réforme des retraites, comme si l’avenir du monde ne devait pas les regarder.

          C’est peut-être cette absence de considération et ce mépris qui expliquent l’atonie avec laquelle est accueillie la réforme du lycée professionnel brandie comme un étendard par Emmanuel Macron dans ses vœux pour la nouvelle année, et dont l’un des effets est de transférer dans l’Entreprise une partie des enfants dont l’Éducation nationale avait la charge. Une sérieuse régression historique quand on sait que l’un des combats des fondateurs de l’école républicaine a été de soustraire les enfants des usines pour les mettre à l’école. En roue libre, le gouvernement a désormais un blanc-seing pour poursuivre sa brutalisation sous-couvert de « réarmement civique ».

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> qui est Amélie Oudéa-Castéra, la nouvelle ministre de l'éducation nationale ?

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extrait de wikipedia :

         Amélie Claire Castéra naît le 9 avril 1978 dans le 14e arrondissement de Paris du mariage de Richard Castéra, directeur de Publicis et haut fonctionnaire, et de Dominique Duhamel, directrice des ressources humaines. Elle est la nièce du médecin Jean-François Duhamel, des journalistes politiques Alain et Patrice Duhamel et Nathalie Saint-Cricq et la cousine de Benjamin Duhamel, journaliste de BFMTV. (...)

           Le 22 juillet 2006, elle épouse Frédéric Oudéa, président-directeur général de la Société générale de 2008 à 2023 puis président de Sanofi à partir de mai 2023. De ce mariage naissent trois garçons, l'ainé s'appelle Vincent . Son mari a également deux enfants d'une précédente union. (...)

          Ancienne élève de la promotion Léopold-Sédar-Senghor de l'École nationale d'administration (au même titre qu'Emmanuel Macron), Amélie Castéra est nommée en 2004 à la Cour des comptes. En 2008, elle quitte la Cour des comptes pour être nommée chargée de mission auprès du directeur général du groupe Axa. Elle restera fonctionnaire en disponibilité, membre du corps des magistrats de la Cour des comptes, jusqu’à sa démission le 25 juin 2018. La même année, elle intègre le cercle des « Young Leaders » de la French-American Foundation-France. Elle évolue au sein du groupe Axa, où elle devient en 2010 directrice de la planification stratégique, puis en 2011 directrice marketing, marque, service et digital d'Axa France. (...)

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