l'union européenne et la finance sont les ennemis cupides, perfides et impitoyables de ses populations surexploitées...


-> Elections européennes le 9 juin, allez voter pour contrer ceux qui vous détroussent et vous oppriment depuis des décennies sans aucun état d'âme !...

> la dictature macroniste s'étend...

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La nouvelle loi anti-casseurs dont rêvent les macronistes

          Après une Saint-Sylvestre plutôt pépère mais à quinze jours d’une grève des policiers pour grappiller de plus grosses primes aux JO, la sécurité intérieure reste à la une. Et les initiatives des députés macronistes spécialistes de ces dossiers se succèdent avec un objectif affirmé : toujours mieux surveiller - et punir - l’agitation sociale. La contestation écolo et la « désobéissance civile » qui l’accompagne sont en effet considérées par eux comme le vrai « danger à venir », sans qu’ils récusent pour autant la menace de l’ultradroite (quelque 3 000 militants, dont 1 300 fichés S).

          Le député Renaissance de la Gironde Eric Poulliat, rapporteur d’une récente « mission d’information sur l’activisme violent », prévoit ainsi de transposer plusieurs de ses conclusions dans une proposition de loi d’ici au second semestre 2024. Objectif : mieux réprimer la participation à des manifestations interdites. Un projet souvent rembarré par le Conseil d’Etat. Mais une obsession chez les macronistes depuis les affrontements de Sainte-Soline, en mars dernier.

          Au-delà des joyeusetés déjà prévues par la loi anti-casseurs de 2019, le but est de relever jusqu’à 1 500 euros l’amende qui sanctionne cette infraction. En outre, un régime complémentaire d’interdiction administrative de manifester est imaginé à titre expérimental, et pour une durée de deux ans. Les préfectures pourraient alors plus facilement bannir toute « personne qui constitue une menace d’une particulière gravité pour l’ordre public du fait de ses comportements ».

          L’objectif avoué est d’éviter que les représentants de l’Etat dans les départements ne soient freinés par les cadres juridiques actuels, comme l’a été le préfet de Nice ces dernières semaines. Un multirécidiviste, celui-là, dont cinq arrêtés d’interdiction de manifestation du Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens ont été successivement retoqués par le tribunal administratif...

Les belles vérités de la police

          Une seconde proposition de loi est pareillement mise en chantier. A la suite du texte sur les « séparatismes » voté en 2021, des députés Renaissance, mobilisés autour d’Eric Poulliat et de Florent Boudié, veulent assouplir les procédures de dissolution d’organismes jugés dangereux. En s’appuyant sur la notion de « provocations implicites et indirectes à des agissements violents contre des personnes et des biens ». Ça existe ?

          Dans le même temps, l’incrimination des associations et des groupements serait rendue plus facile, en s’appuyant par exemple sur des courriels et des communiqués d’appel à des manifestations marquées ensuite par des échauffourées. Il s’agirait ainsi de retenir le « soutien indirect » - et plus seulement « direct » - à des agissements violents en s’adossant à une notion de « responsabilité commune » partagée avec des fauteurs de troubles. Les députés Renaissance mobilisés - tous proches de Gérald Darmanin - répondent là à l’odieux désaveu infligé au ministère de l’Intérieur par le Conseil d’Etat, qui a annulé l’interdiction du mouvement des Soulèvements de la Terre, le 9 novembre.

          Ces douceurs seraient accompagnées de mesures annexes permettant notamment la confiscation des biens des associations dissoutes. Dans la même logique, les initiateurs de ces (possibles) propositions de loi veulent assouplir les procédures de judiciarisation des notes du Renseignement territorial et de transmission aux procureurs pour faciliter leur utilisation par la justice.

          En revanche, rien n’est dit sur un contrôle de qualité de ces notes avant utilisation ! Il s’agirait simplement, indiquent les futurs législateurs, de réduire l’écart d’appréciation entre un préfet et un juge, au nom d’un « principe de précaution face aux menaces sociétales ». Et rien sur le principe de précaution relatif aux libertés publiques ? ( Jérôme Canard )

Au plus on donne des pouvoirs aux préfets et aux policiers, au plus la dictature s'intensifie...

 

> santé publique : la macronie sourde, aveugle et muette...

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L’année du foie gras

          Ça fiche les foies. A cause de la malbouffe, 900 000 Français souffrent de la « maladie du foie gras ». Une inflammation hépatique qui, sans la moindre goutte d'alcool ingérée, peut causer un cancer dutoie ou une cirrhose. D'après l'Inserm, l'Institutnational de la santé et de la recherche médicale, 220 000 de nos compatriotes auraient déjà une cirrhose non alcoolique ou seraient à deux doigts de la déclencher. Et le pire est à venir. Les spécialistes mondiaux de la maladie, gui se sont réunis en congrès a Paris en septembre dernier, estiment que le nombre de victimes aura doublé d'ici à 2030. La « NASH », acronyme anglais de « stéatohépatite non alcoolique », qui est actuellement la deuxième cause de greffe du foie en France, est sur le point de détrôner les cirrhoses alcooliques et virales.

          Cette « épidémie », qui sévit depuis plus de quarante ans, est en grande partie due au gavage en mauvais gras et en sucres que nous impose l'industrie agroalimentaire. Sans oublier notre appétence pour les fast-foods, dont le nombre d'enseignes a quintuplé en vingt ans. Alors que l'Organisation mondiale de la santé recommande de se limiter à 25 grammes de sucre par adulte et par jour, les Français en ingurgitent quatre fois plus, en moyenne. Notamment en sirotant des sodas (50,9 litres par an et par personne). Or le foie fabrique encore plus de mauvais gras lorsque le sucre est ingéré sous forme liquide.

          Les aliments ultra-transformés, eux aussi, pèsent lourd dans la balance : plus on en met dans l'assiette, plus le danger grandit. Une récente étude britannique menée sur 173 000 personnes vient ainsi de montrer que le risque de développer une maladie du foie gras est 43 % plus élevé chez les plus gros consommateurs de plats transformés, avec une probabilité de fibrose hépatique ou de cirrhose augmentée de 18 % et jusqu'à 50% pour les maladies hépatiques graves (« American Journal of Clinical Nutrition », 21/10/23).

          Encore une fois, ce sont les plus pauvres qui trinquent. En France, la NASH frappe 79 % des obèses, lesquels, selon l'Observatoire des inégalités, sont deux fois plus nombreux chez les ouvriers que chez les cadres supérieurs. De là à dire que les fabricants de malbouffe sont sans foie ni loi...

En macronie et dans cette union européenne de merde, c'est la priorité absolue aux bénéfices des entreprises...

 

> choisir une bouteille d'eau de source ou d'eau minérale naturelle ?

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          Les eaux de source n'ont pas l'obligation d'avoir une concentration en minéraux stable, à l'inverse des eaux minérales. Voici les critères différenciant une eau minérale naturelle d'une eau de source.

          L'eau minérale naturelle est une eau d'origine souterraine provenant d'une nappe phréatique profonde et protégée de toute pollution liée à l'activité humaine. Ses caractéristiques chimiques, c'est-à-dire sa concentration en minéraux, doivent être stables dans le temps, car elles peuvent donner lieu à des allégations et/ou des contre-indications pour certaines parties de la population. Et bien sûr, elle ne doit subir aucun traitement chimique de désinfection avant mise en bouteille.

          L'eau de source est également une eau d'origine souterraine, protégée de toute pollution, qui ne doit subir aucun traitement chimique de désinfection ni adjonction avant sa mise en bouteille. Elle doit par ailleurs être consommable par tous, ce qui n'est pas forcément le cas d'une eau minérale naturelle.  ( extrait de 60 millions de consommateurs de janvier 2024 )

Boire de l'eau de source en bouteille semble le choix le moins pire... Perso, j'utilise depuis des 10zaines d'années un osmoseur > wikipedia

 

> L’hénaurme farce des pesticides

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L’hénaurme farce des pesticides

          Oh ! l’énorme beau gros rapport de 407 pages que voilà ! Il est consacré à un énorme beau gros ratage : la prétendue chasse aux pesticides. Lors du fameux Grenelle de l’environnement de 2008 (merci, Sarkozy !), il avait été promis que dix ans plus tard, en 2018, donc, l’usage des pesticides aurait baissé de moitié. Ne sont-ils pas dangereux pour la santé ? responsables de l’effondrement du vivant ? ruineux à cause de leur impact sur l’eau potable ?

          Un beau plan Ecophyto allait tout régler. Mais, l’usage des pesticides ne cessant d’augmenter, un plan Ecophyto II lui a succédé, puis un plan Ecophyto II+. Ce dernier a toujours pour objectif de faire baisser de moitié l’usage des pesticides... mais cette fois d’ici à 2030, et par rapport à la moyenne 2015-2017, laquelle est bien plus élevée que celle d’il y a quinze ans.

          Les députés de la commission d’enquête parlementaire qui a enquêté sur la question sont formels : ces plans s’additionnent en pure perte. La France consomme aujourd’hui plus de pesticides qu’à l’époque du Grenelle ! Pourquoi ? Parce que c’est le cadet des soucis des gouvernements successifs. Un signe, un seul : le comité de pilotage interministériel ne s’est pas réuni une seule fois depuis quatre ans. Et aussi parce qu’entre décideurs politiques, agriculteurs, industriels et experts sanitaires la pagaille règne.

          Le rapporteur a cette belle image : le plan Ecophyto est « comme une voiture sans pilote et sans tableau de bord, qui circule sur une route sans radar et dont les passagers passent leur temps à discuter pour savoir si la direction est pertinente » (« Le Monde », 22/12). Le Père Ubu s’en taperait fort vigoureusement de rire sur la bedaine !

          Surtout que la pompe à phynances, elle, marche du tonnerre. Pour 2019, l’année de référence, pas moins de 643 millions jetés en l’air ! Ajoutez-y le milliard d’euros (environ) dépensé chaque année pour le traitement des eaux. Et les fermetures de captages d’eau pour cause de pollution qui se multiplient (plus de 4 000 en quarante ans, dont près de la moitié ont été définitivement abandonnés).

Vous reprendrez bien un verre de glyphosate ? ( J.-L. P.)

Une constante, le principal souci des gouvernements, et de la macronie en particulier, c'est la répression ; quant à la santé publique et, entre autres, les pesticides mortifères, ce dessin résume très bien la situation :

 

► pour lire la suite...

> 1146 raisons de se prendre un PV sur la route !

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          C’est démentiel : il existe en tout et pour tout 1146 motifs de verbalisation, répartis en douze familles de PV plus ou moins denses ! Chacune est sans rapport avec le nombre de PV établis, puisque c’est la vitesse qui compte à la fois le moins de natures d’infractions (21) et le plus grand nombre de PV (16,9 millions) grâce aux radars. A l’opposé, c’est un vrai maquis qui encadre le transport routier (270 motifs pour seulement 32500 PV), les règles administratives (257), voire les délits (163).
          Par ailleurs, un grand nombre de “fautes” sont tombées dans l’oubli, puisque 200 n’ont pas fait l’objet de la moindre prune en 2022, et la moitié (525 précisément) de moins de 10 PV dans l’année. Il faut dire que bien des motifs font preuve d’un luxe de précision, souvent pour des causes devenues quasi obsolètes (la traction animale en particulier). A quand un vaste ménage dans le code de la route, sachant qu’au final les 50 premiers motifs totalisent à eux seuls 93,3% de l’ensemble des PV !

C'est environ 43 millions de prunes qui ont été dressées en France en 2022 dont 29,6 millions ( env. 70 % ) par les systèmes automatisés !... Enquête intéressante d'Auto-Plus à lire en page 6 et 7 de leur n° 1843 du 29 décembre 2023.

          Les 30.000 agents municipaux ( dans 4.500 communes ) ont infligé 7,5 millions de PV et les 200.000 policiers et gendarmes ont infligé 5,9 millions de PV. Autrement dit, 250 PV par agent municipal et 30 PV par policier ou gendarme... C'est pour cela que je vais en "ville" que contraint et forcé,... D'autre part, il ne faut jamais oublier que derrière un agent municipal se cache un maire ou un conseil municipal...

 

> les cactus d'or 2023 du magazine 60 millions de consommateurs

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Cactus 2023 : le meilleur du pire

          Pour cette septième édition de nos Cactus de la consommation, qui épinglent les mauvaises pratiques vis-à-vis des consommateurs, dix enseignes se distinguent bien malgré elles !

CACTUS D'OR / CARREFOUR, la salade de l'année : l’enseigne a dénoncé publiquement ses fournisseurs qui s’adonnaient à la shrinkflation (baisser la quantité d’un produit en maintenant ou augmentant le prix). Quelques mois auparavant, elle faisait exactement la même chose avec ses légumes « premier prix ».

CACTUS DU GREENWASHING : Ikea s'assoit sur la reprise des canapés.

CACTUS DE LA DÉFAILLANCE : Cnam : personne au bout du fil

CACTUS DE LA PUB TROMPEUSE : Google, vérifie tes annonceurs !

CACTUS DE L'ARROSAGE : Urgo soigne les pharmaciens

CACTUS DU RÉCHAUFFEMENT : Shein, surproduction mortifère

CACTUS PERSISTANT : La SNCF, toujours pas en bonne voie

CACTUS DE L'EMBROUILLE : Ticketmaster abuse les « swifties »

CACTUS DU BIDONNAGE : ManoMano et ses avis clés en main

CACTUS DE L'OMISSION : Bayer n'a pas tout dit

et, ils piquent toujours... Buitoni, les industriels de la charcuterie et SFR

( article complet dans le magazine 60 millions de consommateurs n° 598 de janvier 2024 )

Dommage qu'on ait pas les cactus d'argent et de bronze...